Elections régionales : F. Sauvadet a inauguré ses permanences de campagne de Dijon et Besançon

12 octobre 2015

Candidat UDI-LR-DVD pour les élections régionales en Bourgogne-Franche Comté, François Sauvadet a inauguré symboliquement le même jour ses permanences de Dijon et Besançon,  c’est un signe qu'il veut adresser aux deux anciennes régions dont la fusion doit se faire gagnant-gagnant rappelant aussi sa volonté que chacun se sente écouté, entendu, respecté.

 

 

 

 

 

 


Elections régionales : François Sauvadet a inauguré ses permanences de campagne à Dijon et Besançon"Chers amis,



Aucun territoire ne doit se sentir oublié, par la grande région que nous aurons la responsabilité de construire.

Et quand je dis bien la responsabilité de construire car je vois mal comment ceux qui ont échoué dans notre pays aujourd’hui pourraient réussir demain le défi de l’avenir.
Le PS est divisé, sans vision d’avenir, il a conduit notre pays dans le mur, chacun le dit.
Et nous, qui voulons incarner l’alternance, nous avons une responsabilité, un devoir particulier, c’est de proposer une nouvelle voie un nouveau projet.

Il faut que ça change et je compte d’abord sur vous et votre mobilisation car nous n’avons que 56 jours, c'est-à-dire moins de deux mois, pour, ensemble, collectivement, provoquer le changement
que nous attendons tous pour la Bourgogne-Franche Comté.
C’est court, c’est même très court, et vous devez vous investir à fond pour remporter cette campagne et offrir un nouvel espoir aux 2,8 millions d’habitants de Bourgogne-Franche Comté, dans cette Région que je veux et que nous voulons voir en grand.


Donc le 1er appel que je veux lancer aujourd’hui, c’est un appel à la mobilisation de chacune et chacun d’entre vous.

C’est votre engagement sur le terrain ces derniers mois pour les départementales qui a permis de gagner, dans 6 département sur 8.
C’est le même engagement que je vous demande aujourd’hui pour gagner dans cette grande région Bourgogne –Franche Comté.
Car cette élection régionale est extrêmement importante pour deux raisons, c’est la dernière échéance qui se présente à nous avant les présidentielles et c’est l’occasion d’adresser à nouveau un carton rouge au gouvernement.

La 2ème raison c’est que c’est une élection importante pour notre avenir, pour l’avenir de nos territoires.
Les régions vont devenir plus que jamais un enjeu de croissance, de développement économique, d’emploi, pour l’avenir de nos territoires.
Et on ne peut pas laisser passer cette opportunité de changer les choses : l’enjeu est trop grand, trop important.
Pour gagner, l’union, le rassemblement ne sont pas une option, c’est une obligation.

Il ya eu des débats, ils étaient légitimes mais ils sont aujourd’hui derrière nous.
Quand tant de gens sont déçus, se désespèrent, souffrent, ne font plus confiance à la parole ou à l’action publique car ils se sentent trahis, nous avons l’obligation d’offrir un nouvel espoir.
Et la cohésion de nos équipes, c’est un gage d’efficacité pour réussir.
Regardez les spectacle affligeant d’une gauche éclatée, dispersée qui devra, entre les deux tours, en 36 heures, trouver des accords de coin de table, qui seront synomnime de statuts quo et d’impuissance.

Nous devons nous afficher notre cohésion qui est le gage de l’action et de sa réussite.
Comment pourrions nous prétendre assumer des responsabilités si nous, qui partageons des valeurs communes, une ambition commune, nous n’étions pas capable de nous entendre et de nous rassembler.
L’Union, elle a été le ferment, le levier de nos victoires récentes, elle sera demain de la même manière.

Grâce à vous, nous sommes en mesure de construire un projet cohérent et ambitieux pour une Région en Grand qui s’appuie un socle commun de valeur qui nous rassemblent : le mérite, la famille, la responsabilité, l’esprit d’entreprise, le travail…
Et tout cela nous l’assumons !
Oui nous devons être prêts à assumer l’avenir notre région, et quand je dis que nous assumerons c’est, sans doute, ce qui me différencie le plus de la candidate socialiste sortante.

Songez qu’elle vient de déclarer qu’elle ne voulait pas faire campagne sur son bilan.
C’est un comble, c’est un déni de démocratie, car qu’est ce que c’est que la démocratie si ce n’est, précisément, rendre compte de l’action qu’on a pu mener.
Je suis Président du Conseil Départemental de la Côte-d’Or : je suis fier du bilan de la majorité départementale et j’assume mon bilan à la tête du département.

J’ai été ministre de la Fonction Publique : j’assume mon action en tant que Ministre et au sein du Gouvernement de Nicolas SARKOZY.
Je suis député, j’assume mes choix et mes votes !
La candidate du PS me rappelle ce que disaient naguère certains socialistes « pas responsable, pas coupable ».
Là, la candidate du PS nous refait le même scénario : « circulez il n’y a rien à voir ».
Mais on ne va pas s’y laisser prendre !
Car son bilan il est là :
- multiplication par 3 de la dette en 10 ans,
- baisse de 15% des investissements de 2008 à 2014,
- 10 fois plus de défaillance d’entreprise,
- 20% des habitants qui n’ont pas accès au haut débit,
- une baisse de 10% du nombre d’apprenti et de 12 % des crédits ces 4 dernières années,
Le pire c’est quand elle dit qu’elle veut faire campagne sur ses « valeurs ».

Là franchement ça fout la trouille : car ses valeurs on les connait : c’est la décroissance, l’économie administrée, l’assistanat et les normes contraignantes que vivent nos agriculteurs et nos artisans.
Et la voilà, maintenant, qu'elle m’accuse de vouloir faire une campagne « populiste » !
Si défendre une région, vouloir qu’elle rayonne c’est populiste alors oui j’assume !

Si soutenir l’aéroport de DOLE, les grands projets d’infrastructures, doubler les crédits pour le Très Haut Débit, c’est populiste, alors oui j’assume.
Si proposer à nos artisans, à nos agriculteurs, à nos industriels, un contrat de confiance au service de l’emploi, c’est populiste, alors oui, j’assume.

J’assume, parce que moi, le message, je ne veux pas l’adresser uniquement à mes proches, à mes amis ou à mes copains, je veux l’adresser aux 2,8 millions d’habitants.

Mais tout ceci n’est que le révélateur d’une seule chose, c’est que le PS ne sait plus se parler qu’à lui-même, son logiciel « bugue » à tel point que même son programme est resté bloqué au siècle dernier alors que le monde bouge, change, est en pleine mutation, et que nous devons nous mettre en ordre de marche.
Et ne nous y trompons pas, ce n’est pas un défaut local ou régional : c’est global, c’est ce qui caractérise l’ensemble de la politique menée par les socialistes à tous les échelons et qui mène notre pays droit dans le mur.

C’est idéologique, la gauche n’est pas seulement déconnectée du réel, elle le refuse si ça ne correspond pas à sa matrice idéologique clanique.
Quand je vois qu’un ancien ministre du chômage, qui aura vu sous son ministère le nombre de demandeurs d’emploi croître de plus de 200 000 personnes, c'est-à-dire peu ou prou l’agglomération dijonnaise, nous dire que son plus grand regret c’est de ne pas avoir pu sortir un livre sur le football, c’est indécent, c’est même obscène.
Ce déni de réalité c’est la source de tous les échecs et de leurs conséquences.

C’est la source de sentiment de désespoir et de défiance qui est celui de nos compatriotes
Moi, avec vous, je veux dire stop, ça ne peut pas continuer comme ça, il faut changer de braquet.
Là où il y a du renoncement, je veux redonner de l’envie !
Là où il y a de la défiance, je veux redonner de la confiance !
Là où il y a du fatalisme, je veux redonner l’esprit d’entreprise, la volonté de créer !
Là où il y a de la résignation, je veux redonner du sens, des perspectives.
Là où il ya du désespoir, je veux redonner de l’espérance !
C’est comme ça que je la vois, je veux avec vous cette région en grand.
Une région qui s’ouvre, qui dialogue avec tous les acteurs des territoires, qui leur donne leur place, qui libère les énergies, qui reconnecte avec le réel.
Et notre région, elle a toutes les ressources à sa disposition, elles doivent être la pierre d’angle de notre action.

Nous sommes une région carrefour, au centre des échanges entre la Suisse, l’Allemagne et les grands pôles parisiens et lyonnais : c’est une chance et il faudra que nous tirions les bénéfices du dynamisme de nos voisins.
Nous sommes une grande région industrielle, qui accueille des références mondiales et un réseau de PME dynamiques, des pépites dans le domaine des transports, de la santé et de l’énergie que ce soit en production ou en innovation.
Je suis allé à la rencontre de ceux qui font vivre l’innovation, qui en sont les incubateurs.

Ma volonté c’est qu’ils deviennent les « fers de lance » d’une expertise «100 % made in Bourgogne - Franche Comté ».
Là aussi, il faut donner à ces entreprises les moyens de leur développement, de leur expansion dans les territoires.
Cela passe naturellement par le Très Haut Débit, car il ne doit pas exister de territoires abandonnés, de fracture numérique en Bourgogne - Franche Comté, c’est une condition essentielle de notre attractivité.

Je l’ai annoncé, je doublerai les aides pour le déploiement du Très Haut Débit car il est la condition sine qua non du développement économique de nos territoires et de leur attractivité, c’est la condition d’une ruralité dynamique, et à ce jour 20% de la population de Bourgogne - Franche Comté n’a pas au Très Haut Débit.
Nous aurons également un dialogue permanent avec l’ensemble des départements, dialogue que j’ai déjà initié à ce jour.

Nous travaillerons avec les artisans et les commerçants pour former les jeunes aux métiers de demain.
Et je veux dire à nos agriculteurs et à nos industries agroalimentaires que nous serons engagés à leur côté.
Une région en grand doit être en pointe dans l’innovation et de la recherche là aussi dans les domaines agricoles et agroalimentaires.
Il faut que nous sortions de cette vision d’une écologie punitive, de cette vision administrée.

Nous avons également de formidables atouts touristiques et de qualité de vie qui sont autant de facteurs incontournables de notre attractivité.
Tous ces atouts il faut qu’ils puissent se développer, se mettre en réseau, et notre rôle sera de l’accompagner et plus encore quand l’Etat central se montre impuissant, car il revient alors aux territoires de tout faire pour libérer l’activité.
Je le redis, nous ne chercherons pas à « faire » comme le disent les socialistes, nous avons pour ambition de la réussir au service des habitants.

Nous la réussirons, avec vous, en nous appuyant sur tous les territoires, sur les départements et les villes structurantes.
Je ne veux pas d’une région qui écrase, qui uniformise, qui joue le tout-urbain, je veux une région qui respecte et qui dialogue avec les territoires.
Je ne veux plus d’une région repliée sur elle-même, qui joue petit-bras, je veux au contraire une région ouverte et qui rayonne, qui se fasse connaître et qui valorise ses atouts.
Voilà ce projet que je veux porter avec vous, mes chers amis, un projet pour une Région en Grand qui rentre de plein pied dans du XXIème siècle.

Et ce projet je veux particulièrement le porter avec les jeunes dont je veux saluer la mobilisation.
Car ce projet c’est d’abord pour vous que nous le portons, pour que chacun puisse trouver sa place en Bourgogne - Franche Comté et s’y voir un avenir.
Vous avez toujours répondu présent à mes appels, et êtes à la fois à l’avantgarde de la mobilisation militante et force de proposition.
J’en veux pour preuve les propositions que vous m’avez remises, et qui seront intégrées dans le projet régional.

Je sais que votre génération connaît des heures difficiles quand 25% des jeunes sont touchés par le chômage.
Mais je veux dire qu’il n’y a pas de fatalité, et que les votes de désespoirs ne peuvent être une solution.
Nous ferons de l’emploi des jeunes une priorité en identifiant les emplois du futur et en retravaillant la carte des formations en fonction des emplois d’aujourd’hui et de demain.
Je compte sur vous pour porter ce message.

Mes chers amis, je vous l’ai dit, nous avons 56 jours devant nous et nous devons y aller à fond, ne rien lâcher, tout donner.
Nous sommes rassemblés, nous sommes mobilisés, et nous avons, avec cette permanence de campagne, tous les outils nécessaires pour la reconquête et la victoire.
Cette campagne je la veux offensive, mais aussi exemplaire, sobre et ferme.
Nous avons un projet et nous avons un bilan, celui des collectivités que nous dirigeons.

Alors mobilisez-vous, mobilisez autour de vous.
Ce message pour une Région en Grand, je vous demande de le porter avec moi et avec tous les candidats, de m’aider autant que vous le pourrez.
Ne la laissons pas passer cette chance nouvelle que nous devons construire.
Mobilisez-vous, allez-y à fond, cette campagne c’est la vôtre et nous allons gagner pour que : Vive la Bourgogne - Franche Comté et Vive la France."

 

 

Elections régionales : François Sauvadet a inauguré ses permanences de campagne à Dijon et Besançon



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