Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d'Or

10 décembre 2018

Temps de reconnaissance, d'échange et de partage, les 3èmes Assises du bénévolat en Côte-d'Or se sont déroulées dans la salle d'honneur de la Cité Henry-Berger sous la Présidence de François Sauvadet. A cette occasion a eu lieu la remise du prix du bénévolat Côte-d'Or 2018 aux 5 lauréats de l'année puis a été dressé le portrait de 4 associations qui œuvrent en faveur du « lien social ». Et si le bénévolat rend heureux, il est aussi une formidable richesse pour notre Département. 

Les 3èmes Assises du bénévolat en Côte-d'Or "sont un temps de reconnaissance des associations et des bénévoles, et de tous ceux qui donnent sans compter de leur énergie, de leur temps et de leurs idées au service des autres. C’est aussi un temps de concertation, d’écoute, d’échange et c’est un temps je l’espère, d’action et de décision" selon François Sauvadet, Président du Conseil départemental de la Côte-d'Or.
Le bénévolat est une formidable richesse pour le Département, en Côte-d’Or il représente environ 18.000 associations dont 50 % dans le domaine culturel, sportif ou de loisirs et 96 % des 704 communes abritent au moins un siège social d’association. 
Le secteur associatif est un point clé pour la prise en charge d’une multitude de problématiques d’intérêt général, les associations sont devenues "employeuses". Tous ces éléments ont incité le Conseil Départemental à sanctuariser le budget associatif aussi, chaque année, il lui consacre d'une manière générale un budget de 4,5 M € qui se concrétise par un partenariat avec près de 1.500 associations qui animent le territoire.

 

Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d’Or

Discours de François SAUVADET

En tant que collectivité chef de file des solidarités humaines et territoriales, le Département a besoin des associations et de leurs bénévoles qu'il considère comme des partenaires à part entière. 

"...Je suis heureux de vous accueillir pour cette 3ème édition des Assises du bénévolat. Notre rendez-vous est désormais un temps fort.

C’est en effet d’abord un temps de reconnaissance des associations et des bénévoles,  de tous ceux qui donnent sans compter de leur énergie, de leur temps et de leurs idées au service des autres. C’est aussi un temps de concertation, d’écoute, d’échange et c’est un temps je l’espère, d’action et de décision.
J’ai souhaité être parmi vous car je ne conçois pas de diriger le Département sans être à l’écoute de son tissu associatif.
D’autant plus qu’avec la diminution drastique des emplois aidés, la suppression de la réserve parlementaire, les coupes budgétaires, les temps sont durs pour les associations.

Tous, ici, vous avez choisi de consacrer du temps, de l’énergie au service d’un projet, au service d’une association, au service des autres, et vous œuvrez le plus souvent dans l’ombre et la modestie.
Si le bénévolat peut faire peur à certains, vous nous montrez chaque jour que le bénévolat rend heureux, les autres comme soi-même. Vous mettez en œuvre nos valeurs républicaines de fraternité dans une société trop souvent marquée par l’individualisme et la tentation du repli sur soi.

C’est donc pour moi un grand honneur de me retrouver parmi vous, aujourd’hui à l’occasion de cette journée mondiale du bénévolat, pour saluer  votre engagement. Plus que jamais, notre pays et notre Département ont besoin de votre engagement et je voudrais en profiter pour saluer la mémoire d’un grand bénévole qui nous a hélas quitté dernièrement, je veux parler de Marcel FOLLEA. Tout au long de sa carrière, aux Foyers ruraux de Côte-d’Or, puis avec l’Association départementale de développement et d’animation en milieu rural (Addamir), à l’Artdam – sans oublier ses mandats comme maire de Grancey-le-Château –, il n’a eu de cesse de se mettre au service des autres, avec une gentillesse, une attention et un respect que chacun s’accordait à trouver extraordinaires.
Le bénévolat, c’est l’art d’agir ensemble, collectivement, en équipe. C’est le contraire de l’action isolée et individualiste. C’est même une philosophie de la vie : pour vivre ensemble, il faut FAIRE ensemble.
Faire ensemble, à l’heure où l’idée que l’on ne peut compter que sur soi-même gagne du terrain. Faire ensemble, car l’autre est a priori une chance et non une menace. Faire ensemble, car nous ne nous épanouissons que dans la rencontre, la relation et le partage.
Comme le disait WALDECK-ROUSSEAU, le fondateur de la loi de 1901 : « L’homme ne peut rien faire en bien ou en mal qu’en s’associant. Il n’y a pas d’armure plus solide contre l’oppression ni d’outils plus merveilleux pour les grandes œuvres. »
Il y a, vous le savez mieux que quiconque, dans notre pays des doutes, il y a des inquiétudes, il y a des peurs : inquiétude des citoyens les plus démunis qui ne savent pas comment s’en sortir, inquiétude de beaucoup de parents sur l’avenir de leurs enfants, inquiétude aussi sur le défi du vieillissement de la population auquel de nombreuses familles doivent faire face, inquiétude enfin sur la capacité de notre pays à relever le défi du changement climatique et de la protection de l’environnement…
Ces inquiétudes, vous les connaissez et vous leur apportez la meilleure des réponses : votre engagement, votre générosité, votre volonté. Dans tous les domaines, le sport, la culture, le social, l’éducation, l’environnement, vous montrez que la solidarité est possible, notamment entre les générations, et vous construisez du lien social et intergénérationnel qui fait le ciment de notre société. Et en cette période de crise, vous êtes en première ligne pour aider nos concitoyens, pour animer nos quartiers, nos communes et nos territoires, pour créer davantage de cohésion sociale. Et c’est avec vous et c’est autour de vous que des milliers de Côte-d’oriens partagent leurs espoirs, leurs blessures, leurs passions. C’est donc avec une réelle gratitude pour l’engagement qui est le vôtre que je participe à cette soirée. Il est important d’avoir régulièrement un temps d’échanges comme celui-là avec les représentants des associations car dans le monde complexe dans lequel nous vivons, imaginer que tout peut être décidé d’en haut est une erreur.

Comment ne pas voir l’apport considérable du secteur associatif dans la prise en charge d’une multitude de problématiques d’intérêt général ? Non seulement en termes de présence humaine, de travail, mais aussi en termes d’innovation. Je suis intimement convaincu que les pouvoirs publics ne peuvent pas tout faire et qu’ils doivent faire confiance et s’appuyer sur le monde associatif.

Le bénévolat est ainsi une formidable richesse pour notre Département. C’est même une force. Aujourd’hui, il y a 1,3 millions d’associations en France qui mobilisent près de 18 millions de nos concitoyens Nous le voyons bien : les associations, ce sont peut-être les dernier corps intermédiaires qui gardent l’estime de nos concitoyens et qui jouent encore un rôle dans le maintien de la cohésion nationale.

En Côte-d’Or : cela représente environ 18.000 associations dont 50 % dans le domaine culturel, sportif ou de loisirs et 96 % de nos communes abritent au moins un siège social d’association.

L’année passée, il s’est créé 530 associations en Côte-d’Or. C’est beaucoup. Parmi les associations du département, 1.345 emploient un ou plusieurs salariés. Ce sont des emplois qui ne se délocalisent pas. Ils représentent 9,2 % des salariés du secteur privé de Côte-d’Or. Notre Département compte pratiquement 108.000 bénévoles, soit près de 20 % de la population côte-d’orienne, dont près de 40.000 participent à l'action d’une association au moins une fois par semaine. Ce dynamisme de la vie associative, c’est une richesse, et nous devons tout faire pour la préserver.

Le bénévolat n’est donc pas en crise, comme certains ont pu le dire, mais on assiste à un changement important dans la manière de s’engager. Ainsi, on peut voir que parmi les bénévoles, plus de 50 % ont plus de 65 ans.
Du fait de leur disponibilité et du besoin d’être encore utiles à la société, ils sont aussi très présents dans l’ossature des associations. La catégorie sous-représentée est celle des actifs qui a plus de difficultés à dégager du temps. Quant aux jeunes, ils préfèrent s’investir sur des projets précis et à court terme. Pour eux, l’engagement ne doit plus être un sacerdoce et leurs mobilisations sont devenues plus souples et de moins en moins formelles. Plus que le sentiment d’accomplir une bonne action, ils sont en quête d’épanouissement personnel à travers leur engagement associatif. De plus, on constate qu’ils prennent moins de responsabilité et s’investissent moins longtemps ou par épisodes intenses lorsqu’ils se sentent concernés par un sujet particulier, notamment dans leur environnement immédiat. On note aussi que les mobilisations se transforment via les réseaux sociaux, la mobilisation des gilets jaunes en est l’illustration. Une génération connectée arrive dans les associations et vit déjà la vie en réseau au quotidien.

L’opposition classique entre bénévolat et salariat a évolué vers une synergie : les associations peuvent elles-aussi être employeuses ; de l’autre côté, la professionnalisation du bénévolat permet d’exploiter des acquis et générer des compétences spécifiques. Pour les jeunes, le champ associatif est un espace de professionnalisation important. L’engagement n’est plus le seul fait des bénévoles, il peut être celui des jeunes engagés (service civique), des volontaires (sapeurs pompiers, les réservistes) et même des salariés qui ont fait le choix d’une association plutôt que du secteur public ou privé, mais encore le fruit de simples citoyens qui décident de prendre en main un problème ou une cause qui n’est réglé par personne d’autre. Le bénévolat a donc changé de visage en une génération et les associations doivent faire face à ces profonds bouleversements, en devant réinventer leur manière de s’adresser aux bénévoles.

Mais contrairement à ce que l’on dit souvent, il y a une vraie aspiration des Français à s’engager et à participer à la vie publique. Et faire participer cette société civile à la vie de notre pays, c'est bien sûr aider les associations à se développer. C’est en tout cas l’objectif que nous nous sommes fixés au Conseil Départemental et ce, malgré un contexte financier qui n’a jamais été aussi compliqué. C’est la raison pour laquelle j’ai souhaité faire évoluer nos relations et nos partenariats avec les associations, en développant la logique des appels à projets.

J’ai d’ailleurs sanctuarisé le budget associatif : chaque année, nous consacrons d'une manière générale un budget de 4,5 M € affectés à la vie associative. Nous avons ainsi un partenariat avec près de 1.500 associations qui animent le département. Je veux redire, avec Catherine LOUIS, la présidente de la Commission Education Tourisme Sport Culture, et avec Jean-Pierre REBOURGEON, Vice-Président du CD21, que le Département ne compte pas faire de la vie associative une variable d’ajustement budgétaire, moins encore en ces périodes agitées où elle constitue un élément stabilisateur de notre société. Le Département est et reste à vos côtés et à votre écoute.

En tant que collectivité chef de file des solidarités humaines et territoriales, le Département a besoin des associations et de leurs bénévoles que nous considérons comme des partenaires à part entière. L’Etat, de son côté, doit prendre ses responsabilités. Le Secrétaire d’Etat Gabriel ATTAL a annoncé quelques mesures la semaine dernière, sans préciser, hélas, les modalités de financement. Il est vraiment urgent de créer, en France, les meilleures conditions au développement du mécénat financier et du mécénat de compétences. Il est aussi temps que l’Etat s’attaque au dossier de la reconnaissance du travail des bénévoles, en leur ouvrant droit à des certificats de compétences, des crédits formation, des congés formation...

Voilà ce que je tenais à vous dire ce soir.

... Ces Assises ont été pensées comme une grande fête pour célébrer les valeurs qui vous animent. C'est pourquoi nous conclurons cette soirée en récompensant les 5 bénévoles de l’année, puis par un cocktail dinatoire, en musique.

Avant de laisser la parole aux différents intervenants, je voudrai mettre à l’honneur un bénévoles, le Capitaine Sylvère CHEVALLIER, Président de l’Union départementale des Sapeurs-Pompiers Volontaires de Côte-d’Or et à travers lui, je veux rendre hommage aux 1.500 sapeurs-pompiers volontaires.

Le Capitaine Sylvère CHEVALIER est aussi :
- Chef du centre de Grancey-le-Château-Neuvelle
- Vice-président de l’Union Régionale des Sapeurs-Pompiers de BFC
- Administrateur des Pompiers de France (Fédération nationale des sapeurs-pompiers)

En Côte-d’Or, l’UDSP compte environ 2.500 membres : 1.500 sapeurs-pompiers actifs, 500 jeunes sapeurs-pompiers et 500 retraités. L’UDSP est le pilier du réseau associatif de sapeurs-pompiers dans le département, et s’appuie sur les amicales de sapeurs-pompiers qui sont au cœur de la vie des 43 centres d’incendie et de secours (CIS) de Côte-d’Or.

Composée de sapeurs-pompiers élus, l’UDSP assure la représentation des sapeurs-pompiers et la défense de leurs intérêts auprès des pouvoirs publics locaux et des autorités d’emploi. Pour la gestion de ses activités, l’union s’appuie sur des commissions dont les travaux, relayés au niveau régional puis fédéral, permettent de mener des actions d’envergure au niveau national, de relayer les informations et de favoriser les échanges entre sapeurs-pompiers de tout le territoire.

Dans le domaine social, l’union peut porter secours à la famille en cas d’accident, de décès, ou de situation difficile. Elle agit en relais des associations nationales telles que l’Œuvre des Pupilles.

Les Jeunes sapeurs-pompiers (JSP) : l’UDSP, responsable de la section départementale des JSP, coordonne et garantit le bon fonctionnement des sections locales de JSP, animées par les amicales dans le département.

L’union est aussi habilitée, via la FNSPF, à la formation au secourisme du grand public.

Un grand bravo aux sapeurs-pompiers volontaires, qui non seulement donnent de leur temps, mais aussi risquent leur vie pour sauver la nôtre !

Je ne serai pas plus long et une nouvelle fois, je veux vous remercier pour votre mobilisation ce soir, pour votre engagement au quotidien, pour le temps que vous consacrez aux autres, qui est inestimable.

Je vous remercie."

Les accompagnements du Département et les outils aux services des associations
Trois thématiques sont proposées aux associations :
L'outil du Comité Départemental Olympique et Sportif (CDOS) aux services des associations
L'outil vise à calculer les frais de déplacement et à valoriser le bénévolat dans le double objectif :
- d'établir facilement les relevés de frais de déplacement des bénévoles. Ces relevés constituent une pièce comptable qui permet soit de rembourser le bénévole, soit de valoriser l'engagement du bénévole sous forme de don à l'association avec alors possibilité d'obtenir pour le bénévole une déduction fiscale sur la déclaration d'impôts sur le revenus ;
- de rendre compte de l'utilité sociale de l'association.
Cet outil est mis à disposition des associations gracieusement par le CDOS quel que soit leur champ d'activité (sportif, culturel, etc.) moyennant la signature d'une convention.

Présentation de la campagne de subvention aux associations : 100 % dématérialisé mais une démarche d'accompagnement des associations qui se veut exemplaire (accompagnement du Conseil Départemental) https://www.cotedor.fr/vous-etes-acteur-associatif-en-cote-dor

FAVA : rappel des modalités de dépôt des demandes et du calendrier (accompagnement du Conseil Départemental)
Le Fonds pour le Développement de la vie associative (FDVA) a été créé par la loi de Finances pour 2018, dans le but de remplacer la réserve parlementaire. Le FDVA vise à soutenir la formation des bénévoles ainsi que le fonctionnement et les projets innovants des associations. Dans les départements, ce sont les directions départementales de la cohésion sociale (DDCS), autrement dit l’Etat, qui organisent les modalités de l’appel à projet local « FDVA –fonctionnement et actions innovantes » et qui précisent les priorités territoriales identifiées par le collège départemental.

 

 Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d'Or Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d'Or

La chorale du collège de Nuits Saint Georges

Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d'Or Les 3èmes assises du bénévolat en Côte-d'Or

 

Remise des prix aux 5 bénévoles de l'année

Sur proposition de Catherine LOUIS et Jean-Pierre REBOURGEON cinq bénévoles très impliqués dans la vie locale au travers de leur engagement associatif seront invités à monter sur scène pour recevoir le "prix du bénévolat Côte-d'Or 2018 "

Monsieur Louis BERTHOU

Né le 7 novembre 1925 à Sousse, en Tunisie. Louis Berthou, ancien combattant de la 2ème DB, ancien combattant d'Indochine, aujourd'hui président de la 2ème DB, cumule les titres et les médailles honorifiques par son combat et son investissement personnel. Ce médaillé de la légion d'honneur fut le maire de Saint-Apollinaire durant 2 mandats, une ville dont il est fier et pour laquelle il a œuvré pour son développement avec cœur et envie. Il a porté le rôle de conseiller général de 1982 à 2001, il a également été député suppléant de M. Louis de Broissia, et la liste est encore longue. M. Berthou aime à dire que "rien n'est impossible" et qu'il n'est pas bénévole mais volontaire. Sur le plan professionnel, il était attaché principal d’administration centrale au Ministère de l’Industrie.

Monsieur Joël COHEN

Joël COHEN, entraînait déjà des équipes de rugby à l'âge de 16 ans. Le Rugby est très vite devenu sa famille, son refuge. Il embarque dans sa course plusieurs générations, fils, fille et petits-enfants qui eux aussi foulent les terrains. Son envie et son but : continuer de faire briller les yeux des enfants et leur proposer des choses extraordinaires comme un tournoi mondial. La relève des bénévoles est à assurer, cela fera parti des gros projets à venir.

Gaëlle MARCHAL

Gaëlle est une jeune femme bénévole très active ! Elle œuvre depuis des années auprès de diverses associations, allant du droit des femmes, au secourisme en passant par des associations animalières. C'est après avoir subi un traumatisme qu'elle décide de se tourner vers les autres et s'investir. Son but et sa motivation sont de tenter de limiter la souffrance humaine et redonner le sourire à un maximum de personnes. Aujourd'hui membre de l'association Animaliance, elle est famille d'accueil pour animaux, dans le but de les sociabiliser pour les préparer à l'adoption.

Yves OGEAS

Yves peut être fier de dire qu'il a 55 ans de bénévolat derrière lui. Il a œuvré durant de nombreuses années dans des associations de rugby ou encore de musique, étant musicien et membre du conservatoire. Aujourd'hui, et ce depuis sa création en 1994, il est le trésorier de la confrérie de la truffe de Bourgogne, qui a pour but de promouvoir le patrimoine culinaire bourguignon et plus précisément de Côte-d'Or.

Marie-Thérèse BONVALLOT

Marie-Thérèse mène des actions bénévoles depuis 20 ans. Elle œuvre en étroite relation avec la mairie de Beaune, tout d'abord auprès d'une association d'échanges scolaires avec l'Allemagne, et aujourd'hui, elle est à la présidence de l'association Beaune accueil. Cette association dont elle fait partie depuis 9 ans a pour but d'intégrer, d'informer et guider les nouveaux arrivants de la ville de Beaune.

Portraits de 4 associations qui œuvrent en faveur du « lien social »

Cette sélection de cinq associations a été effectuée par les services suivants : Service Jeunesse Sport et Vie Associative, Service Culture et la Direction Action Médico-Sociale Territorialisée du Pôle Solidarités du CD 21.

La Coudée à Mont-Saint-Jean : Monsieur Philippe DUCHARNE est le Président.
Il s'agit d'un café associatif proposant de nombreuses activités : spectacles, club nature, ateliers (danse, théâtre, yoga...), club nature...

Comité de Handball de Côte-d'Or : Monsieur André KOTYLA est le Président.
Le Comité de Handball est composé de 2 salariés, 2 services civiques, et 40 bénévoles. Présentation des missions fédérales (Formation, Détection jeunes sportifs prometteurs, Arbitrage, Services aux clubs).

Le Comité de Côte-d'Or se diversifie par ses actions comme un acteur de proximité, créateur de lien social dans le département
- auprès des jeunes (action Macadam, Aide Sociale à l'Enfance avec la JDA Dijon Hand)
- auprès des personnes en situation de handicap (Handfit et Hand'Ensemble)
- auprès des personnes âgées en EPHAD ou foyer de vie (Handfit)

Episourire à Dijon : Epicerie solidaire avec laquelle un partenariat est monté afin d'alimenter des comptes dans le cadre du Fonds d'Aide aux Jeunes, association présidée par Thierry FOUSSET. Epicerie sociale avec 6 salariés, 16 bénévoles permanents, presque 4 000 personnes aidées, financée par le CD dans le cadre du PDI (10 500 €), un travail étroit avec les Agences Solidarités Côte-d'Or (il y a aussi un financement Dijon Métropole à noter), un Président très dynamique et moteur qui veut faire bouger les lignes dans le domaine de l'aide alimentaire, qui fait un énorme travail (rayonnement au- delà de Dijon)

Saône Nature et Patrimoine à Saint-Jean-de-Losne :
c'est une association qui organise des manifestations culturelles dans le canton (salon de photo nature, Vill'en laine , concerts d'orgue) ; elle est présidée par Pierre-Marie Guéritey.

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