Chaque jour, le Signe de l’environnement fait disparaitre 400 à 500 mètre carrés de graffitis sur les murs et façades, partout dans le département. « Quand j’ai créé le Signe de l’environnement, c’était notre premier métier. Il y avait un besoin qui demandait une solution complexe que nous apportons. » François-Xavier Désertot fait allusion à la diversité des supports, des produits utilisés et des sites sur lesquels les tags peuvent être réalisés. « Chaque jour, c’est un peu l’inconnu qui nous attend. On ne sait pas à quelle taille ni à quelle surface on va devoir s’attaquer. » Depuis 2005, le Signe de l’environnement est devenu un expert reconnu de l’enlèvement de graffitis indésirables en faisant preuve d’une réactivité plébiscitée par ses clients. « A Dijon, nous avons 24 heures pour intervenir une fois que les services de la ville nous ont signalé un tag à enlever. Nous sommes équipés d’un véhicule électrique pour intervenir dans le centre-ville. » Pour aller plus loin dans sa démarche, François-Xavier Désertot a complété son offre de service par le nettoyage des sols et mobiliers urbains. « Un parvis ou une place tacheté de chewing-gum ou une rue pavée avec des traces d’hydrocarbures n’ont rien d’attractif. Nous avons le savoir-faire pour y remédier et une application permet aux élus de constater les travaux réalisés. » Sur les chantiers de nettoyage, les produits se montrent logiquement respectueux de l’environnement. « Nous avons choisi des produits qui respectent avant tout les hommes qui les utilisent. Ce choix exclut assez vite tout ce qui est toxique pour la planète. » Dans la même démarche, les camions du Signe de l’environnement recyclent l’eau afin d’en réduire la consommation. Si la dimension écologique s’impose aux donneurs d’ordre, François-Xavier Désertot se réjouit quand il voit qu’ils mesurent également l’intérêt d’investir pour la propreté d’un lieu. « Il est important d’admettre la propreté comme un élément de bien-être pour les habitants ou les visiteurs. Un lieu entretenu attire et incite à revenir. L’acte de nettoyer doit être valorisé. »

Aussi propre en ville qu’à la campagne

A côté de ces activités pour rendre les villes plus propres, le Signe de l’environnement, sollicité par les collectivités, a développé un nouveau volet : le nettoyage des contenants à déchets. « Nous sortons de notre contexte hyper-urbain pour répondre aux besoins de toutes les communes. » François-Xavier Désertot vient ainsi de gérer le nettoyage de 150 points de regroupement pour la communauté de communes d’Arnay-le-Duc. « Un point d’apport propre stimule l’acte de tri des citoyens. » Qu’ils soient jaunes pour le recyclage, verts pour le verre ou noire pour les déchets ordinaires, les conteneurs demandent à être entretenus et désinfectés. Le spécialiste de la propreté s’occupe aussi bien des bacs roulants d’une collectivité que des conteneurs aériens, point de collecte fixe. « Pour les bacs roulants, nous avons un camion machine à laver qui les nettoie en trois minutes. » L’entreprise est également équipée d’un camion grue pour intervenir sur les conteneurs enterrés. Pour proposer une offre globale aux collectivités, le Signe de l’environnement assure même la maintenance des contenants à déchets. « Nos équipes sont bien placés pour constater un couvercle cassé, une roue manquante ou un conteneur fendu. Nous apportons l’information aux élus et nous pouvons nous occuper de la réparation. » Intervenant aussi bien auprès des communes que sur les autoroutes ou auprès de la grande distribution, des syndics, hôpitaux, EPADH, … Le Signe de l’environnement agit dans tous les lieux qui génèrent des déchets pour les nettoyer et les désinfecter. En milieu urbain comme en milieu rural, ils ne manquent pas. Le Signe de l’environnement devrait d’ailleurs apporter une nouvelle solution technique innovante avant la fin de l’année pour renforcer encore son positionnement comme expert du nettoyage de contenants à déchets.