Gissey a été pendant longtemps partagé entre un grand nombre de seigneurs franc-comtois et nivernais entre autres. D'après une enquête de 1510 il résulte que Gissey, après avoir été morcelé en de nombreux petits fiefs relevait en partie du comté domanial de Salmaise (du roi) et pour la partie restante de la baronnie de Saffres et de l'Abbé de Flavigny. En langage celte, Gissey signifie « lieu gorgé d'eau » et les habitants se nomment Gisseyens ou Gisseens. Mais ils ont aussi des petits surnoms qui parlent d'eux mêmes ... « Egrenous de chapté », Les égreneurs de chapelet, « Buveu d'eat », Les buveurs d'eau ou « Les vendous d'eat », Les vendeurs d'eau.
La commune son histoire et ses élus
« L'humble village a les mêmes droits que les plus vastes cités à être mis en possession de tous les souvenirs qui peuvent être attachés à sa circonscription, de tous les rapprochements qu'une saine critique sera en mesure de présenter sur ses origines, la signification et la date approximative de son nom. Traitée avec ce soin et dans cet esprit, l'histoire locale ne saurait manquer de présenter un vif intérêt aux populations dont elle constitue les annales domestiques. Elle pourrait souvent fournir des ressources aussi utiles qu'inattendues à des recherches ou à des compositions d'un ordre plus élevé. »
"PREVOST, membre de l'Académie des Belles Lettres "
Gissey sous Flavigny est située, pour le bas du village à 291 mètres d'altitude et 360 pour le haut.
La commune est traversée par l'Oze, et le ruisseau du Canal.
Occupée à l’époque des gallo-romains, la commune s'est enrichie au cours des siècles. Ainsi on voit le château dit " Tour Marmont " construit dès le 13ème siècle pour être achevé au 16ème, propriété privée, dont la Tour est classée aux monuments historiques.
L'église Saint Martin construite à partir du 12 ème siècle est elle aussi classée aux monuments historiques. Parmi les autres bâtiments remarquables, une maison rurale "l'orée de l'Oze" bâtisse d'au moins 7 siècles récemment rénovée par André Mercuzot et dans la forêt, une chapelle et un ermitage, le long de l'Oze en direction de Thenissey le moulin de la Sérrée restauré par Damien Boudier, l'oratoire Saint Marcoul...
Le conseil municipal est composé du maire Roland Canesse, de la 1ère adjointe Catherine Boucherot, du 2ème adjoint Fredy Scacchi. Les conseillers sont Odette Commaret, Marie-Angèle Montuelle, Maurice Gueneau, Josselin Laligant.
La mairie compte 3 employés.
Gary, le cantonnier qui entretient la voirie, les plantations... Gary est un perfectionniste !
Christine qui fait le nettoyage de la mairie et de la salle commune… Christine, qui est aide à domicile, est le zébulon de Gissey, maman de 6 enfants !
Sabine la secrétaire de mairie qui est présente les jeudis après midi de 13h00 à 18h00 et un mercredi sur deux de 13h30 à 17h30… qui est une perle de secrétaire !
Gissey sous Flavigny fait partie des 24 villages de la Communauté de communes d’Alésia et de Seine.
Les communes du territoire sont associées pour mener de front de nombreuses actions et portent une attention particulière à l’accès aux services, à la préservation du cadre de vie, à la valorisation patrimoniale et prospectent pour un aménagement du territoire cohérent.
Bien… !
Après cette présentation GPS de la commune qui, cela dit en passant compte 97 habitants, si nous parlions un peu avec monsieur le maire et ses administrés ?
Ce sera peut-être informel et surtout convivial comme monsieur le maire finalement.
Roland Canesse, a rempilé pour un 4ème mandat. Après un mandat de conseiller et deux de 2ème adjoint, le voici maire depuis mars 2014.
Et ce n’est pas si facile, dit-il !
Quatre mandats aussi pour Catherine Boucherot, 1ère adjointe qui a rempilé, à la demande de ses enfants et ses petits enfants, après 2 mandats de conseiller, un de premier adjoint attrapé au vol au départ d’un ancien premier adjoint et premier adjointe depuis 2014.
Pour Roland Canesse et ses adjoints, on n’est pas « engagé en politique » et quelles qu’aient été les sensibilités politiques des maires précédents, à Gissey sous Flavigny on s’engage pour la commune, dans le sens de l’intérêt public et général et surtout au service des habitants.
Quand on creuse un peu, le constat est là.
Une partie de l’équipe qui s’engage vraiment travaille à l’extérieur, comme Fredy et Josseliin, alors les réunions, les préparatifs de festivité, les questions courantes se traitent par échange de mail et beaucoup de téléphone avant les conseils.
Pas toujours facile à gérer s’accordent à dire les membres du conseil… mais ça marche pour le « noyau dur qui a envie de faire »
Et l’envie de faire, ce n’est pas cela qui manque.
Roland Canesse y va pas à pas ! Mais se pose des questions.
Que va devenir la proximité avec nos habitants si vous devons intégrer de grandes intercommunalités ?
Que restera-t-il comme compétence à la commune ?
« Je réfléchis beaucoup et j’ai du mal à saisir ce qui va nous arriver »
La législation renforcée sur la « compétence eau » devrait être transférée aux intercommunalités… tout cela aura un coût et va rejaillir sur mes administrés sachant que nos réseaux sont parfois endommagés et que nous faisons tout pour garder cette compétence… sans augmenter les impôts.
«Tout ceci réduit le petit, densifie le grand et éloigne des gens de la base… Mais rien n’est vraiment préconisé, ni fiable…on soupçonne juste des choses et je m’inquiète ! »
*POUR MEMOIRE *
L’Assemblée nationale a voté le 4 mars le transfert obligatoire des communes aux intercommunalités à fiscalité propre des compétences concernant l’eau et l’assainissement, mais avec une entrée en vigueur repoussée à fin 2017 maximum. Ces modifications du projet de loi sur la nouvelle organisation territoriale de la république (NOTRe) visant notamment à réduire l’émiettement des responsabilités ont suscité de longs débats dans l’hémicycle, où l’UMP mais aussi le Front de gauche ont critiqué le caractère obligatoire et « à marche forcée » de ces mesures.
Concernant le représentativité au conseil intercommunal, la loi à statué, mais malheureusement pas dans le bons sens, me soufflera Roland Canesse qui s’indigne du peu de prise en compte des « petits ».
Avec la COPAS, notre relation est saine et notamment avec Guillaume Bluzat et la Régie des Déchets
Sur le sujet de la scolarité et du pôle scolaire, monsieur le maire dira simplement qu’il ne faut pas mélanger et les conséquences malheureusement logiques d’une mutation qui est la réalité de terrain que vit notre pays.
C’est surtout sur les actions intergénérationnelles de terrain que se bat Roland Canesse qui refuse de voir se creuser la fracture sociale entre genres et générations qui existent déjà par l’éclatement des familles « Etre vieux ce n’est quand même pas une maladie » !
Et pour vaincre la fracture rural/urbain, il ne suffit pas de construire des logements communaux si on ne sait pas quand va les remplir sans que ce soit au détriment de l’existant. Et ici à Gissey sous Flavigny « on n’est pas pauvre on n’est pas vraiment riche mais des lotissements... non pas chez nous ! Et l’éolien ? Qu’il ne défigure pas un environnement préservé »
Il ya des projets à Gissey sous Flavigny
Restaurer la salle communale et transformer l’étage en « logement d’étape « notamment pour les randonneurs, les scouts très présents dans notre vallée et les pèlerins de Compostelle.
Il va falloir remettre en état « potable » le local jeunes qui possède déjà un baby foot et une table de ping pong, les jeunes sont volontaires pour « y mettre la patte »
Lorsque je demande quel est le pire souvenir des élus la réponse est une sorte de chœur un peu amer « Le premier conseil municipal de cette mandature »…
Et le meilleur ? « La journée d’aujourd’hui » … Ah bon rien d’autre ?
Un petit coup de jus d’orange trois chips le repas improvisé qui se prépare et les langues se délient comme une pelote de laine.
Les 14 juillet interminables, les jeux inter-villages, les téléthon inter-villages, les biathlon (marathon et vélo route et cros) , le remise en état du four à pain de la Cure...
Et nous voilà arrivés à la prochaine grande manifestation co produite par les habitants de Gissey sous Flavigny LE JUILLET avec cette année le grand jeu !!
Jeux et concours de quilles traditionnelles, tir à la carabine, pêche à la truite (c’est génial d’avoir un bassin en plein cœur de village), jeux en bois qui seront animés par une association de Pontaillier sur Saône… rôtisseur… feu d’artifice !!
Les jeunes s’y mettent aussi, et Odette voit avec bonheur s’ouvrir la solidarité entre jeunes et plus anciens, le partage des valeurs et celui de l’exemple et du respect.
Le maire de Gissey sous Flavigny voit aussi poindre avec enthousiasme d’autres projets pour un patrimoine auquel tout le monde est attaché, comme la poursuite de la rénovation des portes de granges et fenêtres du village, la mise en conservation d’un patrimoine paroissial remarquable et la possible et très espérée restauration d’un tableau très blessé qui fut autrefois dans l’église et qui intrigue nombre de conservateurs-restaurateurs… au point de les déléguer dans ce petit village du fond de l’Auxois Morvan.
Mais l’aventure de notre maire ne s’arrête pas aux obligations de son mandat. Profondément humain et ancré dans des valeurs solidaires, c’est lui qui anime l’atelier informatique qui réunit des usagers de Gissey, Hauteroche, Corpoyer. Un vrai lieu d’échanges de compétences de savoir où personne ne reste en rade.
Et puis la commune a maintenant un site internet et une page Facebook. Un vrai PLUS grâce à Pascale à l’œil complice et artiste auquel rien n’échappe au fil des saisons.
C’est ce même sens de la solidarité qui a poussé monsieur le maire à s’associer à son voisin de Thenissey pour instaurer la tournée d’un boucher traditionnel et à accueillir Rodolphe Haudron et son bus-épicerie une fois par semaine.
Tout cela c’est du lien qui se crée, même si parfois « il faut attendre son tour une heure avant de faire ses emplettes ».
Alors les villageois se retrouvent sur le banc, papotent et réfléchissent à une solution « sèche » pour les rudes hivers de l’Auxois.
Si nous parlions patrimoine ?
Comme dans beaucoup de village les noms de lieux ou de rue chantent comme des poésies apprises sur les bancs de bois.
Chemin du crot : trou, caverne, grotte
Rue du Saussy : lieu planté de saules
Ville Amont : formation toponymique médiévale où "ville" a encore son sens de groupe d'habitations
Rue du Cras : côte, coteau, pente
Ruelle du Clou : Clousot, lieu clos, verger, jardin
Rue du Sachot : dérivé de sachet, on peut supposer qu'il y a eu une fabrique de sacs ou sachets, ou un marchand . ou aussi que cette rue composait un de ces petits fiefs appartenant à Jean SACHET damoiseau seigneur de Plombières vers 1400
Rue Bourrot : Rue où habitait le bourreau ou lieu où se situait la salle des tortures ou le carcan ....
La toponymie s'enrichit avec des noms de personnes, ou de lieux dits selon l'usage qui en était fait, les plantations, les défrichements ( Bussière = planté de buis, Essards et ses dérivés, friches, brulat = défriché ; La Borde , le champ nieu , villenave = lieu nouveau qui borde, ou un nouveau bourg etc ..)
L'église St-Martin
L’église a été édifiée au XIIIe siècle, sous le vocable de St Martin. Le chœur gothique à cinq pans fut construit au XVe siècle. Dans les siècles qui vont suivre, d’autres travaux seront réalisés modifiant l’architecture primitive.
En 1860, une flèche de 8 mètres remplacera la toiture romane couverte en lauze s’élevant de 1.90m surmontée d’une croix qui fut remplacée sur le clocher actuel.
Ce qui lui donne cette forme unique.
C’est au début du XXe siècle, en 1904, que l’ensemble des toitures de l’église seront refaites en ardoise, remplaçant les couvertures de laves . C’est lors de ces travaux que la corniche de pignon qui avait en son sommet une croix de pierre fut descendue ; (la dite croix fut replacée au dessus de la porte d’entrée de l’église)
Le porche de l’église a été modifié par une toiture à double pans ; primitivement, il occupait toute la largeur de l’église avec une toiture à un seul pan ; les corbeaux encore en place attestent la disposition en cul levé.
La nef est datée du XIIIe siècle. Au niveau du transept, lors de travaux en 1902, l’astragale (moulure) à la naissance de voûtes fut supprimé.
Sur la droite, se trouvait une chapelle réservée à la noblesse seigneurie ; elle était fermée d’une clôture dont la poutre engoulée, sculptée aux extrémités de têtes de crocodiles maintenait une grille et le chambranle de la porte d’accès.
A l’intérieur de cette dite chapelle, on aperçoit une ouverture horizontale qui est « l’hagioscope » (du grec « agios » qui signifie « sacré ») ; cette ouverture permettait aux seigneurs de suivre les offices, sans « se mélanger aux villageois ».
LA STATUAIRE INSOLITE
Dans la nef, sur la droite, Sainte Catherine en bois doré du XVIIe siècle.
Sur l’autel à droite de la nef, une vierge à l’enfant, debout sur le globe terrestre, écrasant le serpent ‘en cours de restauration) bois doré du XVIIe – XVIIIe siècle.
Sur la gauche de la nef, St Marcoul, lui aussi en bois doré XVIIe – XVIIe siècle.
En avant du chœur, deux statues en plâtre sur âme de pierre du XVIIIe siècle ; à gauche St Nicolas, à droite un autre St Evèque.
Dans le chœur, deux statues de bois polychrome, ç gauche St Martin, à droite St Marcoul.
Au centre, le Christ en bois peint du XVIIIe siècle ; l’ensemble des statues du chœur et avant chœur ont été repeintes en 1902.
SAINT MARCOUL
St Marcoul naquit en la ville de Bayeux au diocèse de Coutances vers l’an 490.
Le culte de St Marcoul est célébré le 30 avril de chaque année depuis le milieu du XVIe siècle où les pèlerins nombreux venaient de très loin assister aux offices.
Avant la messe, une longue procession cheminait jusqu’à un oratoire situé en plein champ près d’une source. A cette occasion, les reliques de St Marcoul étaient portées sur des brancards. Au retour, avait lieu l’office divin.
C’est exceptionnellement, pour les journées du patrimoine que les reliques de St Marcoul sont présentées au public.
« St Marcoul » bâton de procession en bois doré XVIIe siècle.
St Martin bâton de procession en bois polychrome XVIIe siècle.Chasses en bois doré du XIXe siècle.
Et derrière l’église le jardin classé conservatoire ou les abeilles butinent les osiers en fleurs, où les coings se forment au soleil alors que les poires de curé sont prometteuses !
L’Orée de l’Oze restaurée par André Mercuzot.
La maisondaterait du XIIIe ou du XIVe siècle. On retrouve sa trace dans des archives du XIVe siècle, au titre de possession d’un seigneur franc-comtois du nom de Girard de Vaîtes.
André Mercuzot est un passionné de belles pierres et d’outils. Il est féru d’histoire médiévale, collectionneur d’outils et d’objets anciens, auteur de plusieurs ouvrages traitant de l’histoire de la ferronnerie et des objets domestiques (ouvrages de référence), artisan et artiste lui-même à ses heures, passionné de restauration de patrimoine ancien depuis une trentaine d’années,
Délégué du Chatilonnais pour la Fondation du Patrimoine, il œuvre dans une action quotidienne de proximité aux quatre coins de la Bourgogne.
« Depuis que j’ai entrepris ce chantier en juillet 2011, mon travail a été plusieurs fois récompensé avec le prix 2013 de l’association Sauvegarde des édifices ruraux 21 (Aser 21), le prix départemental 2014 des Vieilles Maisons françaises et le deuxième prix régional du Patrimoine.
Aujourd’hui, après avoir remplacé la toiture, restitué une partie du plancher et de la cheminée médiévale, grâce à l’appui financier de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et de la Fondation du patrimoine, il ne me reste plus que les enduits intérieurs. Je concours pour les Maisons paysannes de France et j’ai déposé en mai dernier mon dossier pour le prix Fontaines qui jugera de l’aspect extérieur. »
Gissey, la belle aux portes d’ocre
Les murs de pierres sèches côtoient les portes d’ocre et les fleurs sauvages qui font de Gissey sous Flavigny un lieu tout en rues qui montent, qui montent qui montent odorantes et colorées.
La municipalité de Gissey sous Flavigny, les commissions “Eglise et patrimoine” et “Manifestations animations et communication “ ont organisé un deuxième chantier de mise en peinture de 12 portes de Granges dans le village.
Propriétaires et bénévoles ont appliqué sur ces éléments une peinture a base d’ocre fabriquée sur place.
Cette opération s’inspire des préconisations de Félicien Carli architecte du CAUE et de son association “ Terres et Couleurs”. Elle a reçu l’aval de Mme Virginie Broutin, architecte des Bâtiments De France. Les couleurs retenues sont le rouge de Bourgogne, l’ocre jaune, sienne naturelle et sienne calcinée.
André Mercuzot a piloté le poste de fabrication de peinture sur la place du village dès 8 h du matin.. Aux alentours de 9 h tout le monde était perché sur une échelle, un échafaudage improbable, accroupi ou grimpé sur une grosse pierre (comme votre « serviteuse ») pinceaux et brosse en mains.
L’ocre c’est comme la lave des volcans, ça cuit, ça glougloute, ça bulle et c’est beau ! C’est un très beau moment fédérateur pour le village que monsieur le maire et sa troupe ont organisé avec maestria.
Au passage bravo aux cuisiniers qui ont concocté la salade et les tartes maison pour une belle et grande tablée de bénévoles qui ne demandent qu’une chose « On recommence quand ? »
Gissey sous Flavigny ce sont des petites entreprises qui marchent bie
Psychologue : Marie Christine Lenoir
http://lenoir-psychologue.fr
Pizz'Alesia : Restauration
Les meilleurs pizzas et burgers de tout l’Auxois (j’ai testé pour vous… petit faible pour la chèvre miel… mais la Mandubienne est une vraie tuerie)
http://www.pizzalesia.errance.net/
Massages bien être : La parenthèse douceur
Le plus grand secret pour le bonheur, c'est d'être bien avec soi et pour cela vous pouvez faire confiance à Pascale (et oui… j’ai aussi testé pour vous… quel dévouement n’est-il pas ?)
http://www.laparenthesedouceur.com/
Le temple de boucoba : dressage canin
Alex et Christelle Sulliot, plus de diplôme c’est difficile… Ici on travaille aussi pour les gendarmes !
Bon accueil et prise en main assurés
http://letempledeboucoba.pagesperso-orange.fr/alex_chris.html
Et sans oublier le café de l’Oze à qui personne n’accordait plus de 3 ans de vie il y a… 30 ans !
Et enfin, pour vous accueillir à Gissey sous Flavigny, deux gites et deux chambres d'hôtes pour un total de 17 couchages ( 4 supplémentaires sur canapé lit )
Domus Paschalis, gîte classé 3 étoiles (préfecture) et 3 épis (gites de France) pouvant accueillir jusqu'à 7 personnes ( éventuellement 2 de plus sur un canapé lit )
Le paradis n'est pas toujours blanc, il peut être vert !
Originaires d'Aix en provence et de Rome, Pascale et Fernando sont tombés sous le charme de ce coin de bourgogne.
Installés à Gissey depuis peu ils ont à coeur de vous faire partager leurs émotions au milieu de cette nature riche et paisible .
Le contraste avec leurs terres natales certes plus ensoleillées, mais tellement moins colorées et variées, le climat justement où l'automne est flamboyant, l'hiver blanc, le printemps fleuri et l'été enchanteur , les ont définitivement conquis.
Et comme il parait que le bonheur est dans le pré, ils vous invitent à venir vérifier par vous même à quel point cela peut être vrai !
contactezmoi@domuspaschalis.fr.
La Ruche de Reyne
Originaire de Suisse, c’est après une carrière au service des autres ( infirmière ) que Reyne a ouvert son gîte au coeur de ce village gaulois. Son gîte peut accueillir 5 personnes (+ éventuellement 2 : clic-clac). 2 chambres, un grand salon salle à manger, cuisine indépendante.
L’environnement calme avec un grand jardin arboré avec salon et barbecue.
Le garage privé est clos.
Toujours ce besoin de partager. Elle vous accueille donc avec bonne humeur, rigueur et générosité !
Son café matinal, partagé avec qui veut passer par là… car sa porte est toujours ouverte, est un délice.
Bon... il faut dire qu’il ya le petit chocolat qui va bien avec… gourmandise quand tu nous tiens !
Chez Reyne c'est le royaume des fleurs insolentes, des murs frais et des jolis meubles.
Le bonheur des enfants dans le grand jardin... Et le soir Reyne emmène et ramène ses hôtes là où ils vont faire la fête et goûter aux... spécialités régionales. Tout le monde rentre entier et chacun peut dormir tranquille...
12 place de la Croix Tél. : 06 01 71 34 08
Gissey sous Flavigny c’est un petit coin paisible comme l’Oze qui borde ses jardins et prairies avec douceur.
Et puis à Gissey il y a aussi des figures, comme Jacques qui au travers du jazz qu’il affectionne a appris le respect et la tolérance !
Crédit photos Pascale Sauze et Marie Quiquemelle
m.quiquemelle@echodescommunes.com