Is-sur-Tille


©André Beuchot


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Maire Thierry Darphin
Adresse 20, place Général-Leclerc - 21120 Is-sur-Tille
Tél. 03 80 95 02 08 Fax 03 80 95 08 33
Email mairie@is-sur-tille.fr
Site http://www.is-sur-tille.fr
Population 4405 habitants. Les Issois
Altitude 280 mètres Superficie 2252 ha
Situation géographique 20 km au nord de Dijon (D903)
Communauté de Communes Vallées de la Tille et de l'Ignon (Covati)
Canton IS-SUR-TILLE

Je suis fan de ma commune

Présentation

D’une altitude moyenne de 280 mètres, La Ville d’Is-sur-Tille s’étend sur 2252 hectares à la jonction des vallées de la Tille, affluent de la Saône et de l’Ignon. La ville est agrémentée par plusieurs bras de rivière que franchissent cinq ponts et de nombreuses passerelles, dont les plus pittoresques se situent dans la rue Gambetta. La présence de l'eau dans le site naturel de la ville a été déterminante dans son développement au cours des siècles, puisque les premières installations humaines connues, à l’époque gallo-romaine, se sont concentrées au bord de l’Ignon, dans le quartier de Villecharles. Au Moyen Âge, les quartiers ont peu à peu gravi la colline jusqu’au site de l’église, construite à partir du XIIè siècle, sans doute sur un lieu de culte ancien. L'économie locale repose essentiellement sur quelques entreprises de niveau international, telles que la Seb, les transports Cordier, System Group, les éditions Clouet. Un tissu de petites et moyennes entreprises est regroupé dans la zône industrielle et dans la zône artisanale. Le centre d'Is-sur-Tille doit son animation à un grand nombre de magasins de proximité dont la plupart sont fédérés au sein de l'union commerciale issoise. Près d'une centaine d'associations structurent la vie sportive, culturelle et sociale. La ville accueille un festival annuel des mots croisés depuis 1990, un festival de musiques actuelles, un festival de percussions et de nombreuses manifestations sportives et culturelles.

La ville d'Is-sur-Tille a un site Internet (www.is-sur-tille.fr).
Elle publie un magazine, Is ci et là, trois fois par an et un dépliant d'annonces des manifestations, Is Infos, une fois par mois.
Ces publications sont téléchargeables depuis le site Internet de la ville.
Aire de covoiturage aménagée par le Conseil Départemental :
www.covoiturage.mobigo-bourgogne.com

Is-sur-Tille est le chef-lieu d’un canton qui regroupe 24 communes dont 23 forment la Communauté de communes des vallées de la Tille et de l’Ignon (la Covati).
Cette collectivité territoriale exerce les compétences du développement économique, de l’enfance-jeunesse, de la voirie (pour certaines routes, de certains équipements sportifs (la piscine intercommunale d'Is-sur-Tille, la piste d'athlétisme intercommunale Kevin Chauvirey, le stade intercommunal du Réveil) et des énergies renouvelables. Elle gère également l’école de musique et l’office de tourisme. A tout cela s'ajoutent les compétences Petite enfance, Actions sociales, Service secrétaires de mairies intercommunal.

Plus d'infos

Is-sur-Tille figure souvent dans les grilles de mots croisés, avec des définitions telles que "Petite ville de Bourgogne" ou "sur la Tille". La ville a créé en 1990 un festival annuel de mots croisés. http://www.motscroises.org

Tourisme & Patrimoine

Village Fleuri

L'Office de tourisme d'Is-sur-Tille, situé au centre ville, est un point de rencontre où convergent beaucoup d'informations, des expositions, au service des habitants du canton et des visiteurs de passage.
Adresse : place de la République, 21120 IS-sur-TILLE tél : 03 80 95 24 03 courriel : ot.tille-et-ignon@covati.fr
Site Internet : http://tourisme.covati.fr





©André Beuchot

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UN CURIEUX EN BALADE

Le 17e opus d’un infatigable découvreur !
Passionné par son département, André Beuchot livre un formidable inventaire de ses communes, hameaux, histoires et légendes...
Marcheur, chercheur de pierres légendaires, randonneur au long cours André Beuchot sillonne, inventorie l’histoire des chemins, des pierres et des centaines de villages et de hameaux côte d’oriens... Un de ces oiseaux rares et discrets ? Allez savoir... en tous cas Un curieux en balade est un ouvrage à lire, à conserver comme les anciens almanachs qui font toute la saveur de nos villes et campagnes !


CONTACT
Éditions André Beuchot :
8 rue Pierre de Saint-Jacob 21000 DIJON
beuchot@numericable.fr



Un curieux de passage à Is-sur-Tille

Un curieux de passage à… IS-SUR-TILLE. CHEF LIEU DE CANTON.
Petite "Capitale " des mots croisés implantée sur la rivière l'Ignon et non pas sur la Tille, la cité devrait son nom à la déesse égyptienne Isis. L'histoire d'Is-sur-Tille remonte loin en arrière, puisque des monnaies en bronze et en argent ont été mises à jour à l'ouest, au lieu-dit Villecharles, nom d'un village séparé d'Is-sur-Tille jusqu'au XIe siècle.
Ancienne ville frontière entre la Bourgogne et la Champagne, la cité était jadis fortifiée. Au nord, près du fossé en eau et, dans le cimetière, on repère des vestiges de murailles. Au sud, la Porte de Dijon du XVIe siècle est maintenant transformée en bar ! Elle présente toujours son bossage rustique, les silhouettes de la porte piétonne et des rainures de chaînes du pont levis.
On raconte ici qu'après 1598 et la mise en place de l’édit de Nantes, les protestants venaient prier au temple d’Is-sur-Tille. On disait qu’ils y faisaient leurs "chienneries". Cela laissa aux habitants le sobriquet de "Chiens-d'Is-sur-Tille". Certains contestent cette version, affirmant que François 1er séjourna près d'un mois dans la ville avec son chien. Chien devenu célèbre qui entraîna des quolibets puis le fameux sobriquet.
La curieuse église Saint-Léger, du XIVe siècle pour les origines, fut très remaniée en particulier aux XVII et XVIIIe siècles. Les reconstructions entreprises après l'écroulement de son clocher en 1620, expliquent son allure étrange. La courte flèche du clocher se pare de tuiles vernissées. On découvre à l'intérieur les chapiteaux ornementés, les boiseries du chœur, de beaux vitraux, les deux chapelles encadrant le chœur rehaussées de décors en peintures murales, la chapelle de la Vierge, l'orgue… Le sanctuaire livra, lors de l'installation du chauffage, huit sarcophages en pierre.
Is-sur-Tille nous réserve de beaux hôtels particuliers en commençant par l'hôtel de ville du XVIIIe siècle, sur la droite de l'église. Sur la gauche, la salle d'asile Charbonnel destiné aux jeunes enfants, était dirigée autrefois par les sœurs de la Providence de Langres. Fenêtres à meneaux, gargouilles, corniche bordant le toit, l'hôtel Antoine de Chauvirey, construit au XVIe siècle à l'angle sud de la place, ne doit pas être confondu avec l'hôtel Chauvirey, plus modeste malgré sa tour d'escalier carrée surmontée d'un pigeonnier, situé dans une rue voisine. Presque en face du premier, l'hôtel Compasseur de Courtivron, érigé au XVIe siècle, profite d'une tour octogonale et de fenêtres à meneaux ornées de pilastres cannelés. Le château de Lenoncourt ou tour de Lenoncourt, fier de sa tour flanquée de deux gargouilles d'angle, n'est qu'à une centaine de mètres. Juste derrière, occupé par la COVADI, Le château Charbonnel, édifié au XVIIe siècle, accueillait naguère une chapelle disparue et servit d'école. Profondément remanié au XIXe siècle par le général Charbonnel, son propriétaire, puis par son épouse, il s'honore d'une roseraie installée sur la "pergola" aménagée au XIXe siècle. À proximité, on remarquera l'ancienne orangerie, également du XIXe siècle, transformée en salle polyvalente. Modeste côté rue, l'hôtel Guenebaud, construit au XVIe siècle, cache sa tour d'escalier carrée surmontée d'un pigeonnier dans sa cour. De son côté, l'hôtel Nicolas de Marcilly aux toits effilés, sans doute du XVIIIe siècle, abrita la Poste. À l'ouest de la ville, le Château de la Tour est de nos jours intégré dans le centre hospitalier.
Les découvertes se poursuivent avec les halles du XIXe, ou "salle de marché", dominées par une cloche, occupées à présent par l'office de tourisme. À cheval sur le bief, la maison de maitre au toit d'ardoises de l'ancienne huilerie ressemblant à une maison bourgeoise, se dresse à proximité. Pas loin de là, le joli pont à six arches du XVIIIe siècle, côtoie une maison bourgeoise aux tuiles colorées. La belle école communale de filles, dominée par son horloge, est pour sa part devenue un espace culturel.
Entre les deux grands lavoirs municipaux implantés sur le bief au XIXe siècle et doté, chose rare, de latrines, on remarque un petit lavoir privé. Le lavoir dit "des Tannerie", équipé d'un plancher mobile, a hélas été démoli. D'autres minuscules lavoirs privés bordent le bief en amont.
Les curieux s'attacheront à dénombrer les multiples passerelles pittoresques sur la rivière et ses biefs, les nombreux pigeonniers ronds ou carrés, parfois couverts en laves comme le colombier du XVIIe siècle qui pouvait accueillir 3 000 pigeons, situé près des ateliers municipaux, implantés sur l'emplacement des anciens abattoirs. Au milieu du XXe siècle, ils remplacèrent une multitude de "tueries" avant d'être à leur tour fermés en 1973.
Les curieux pourront également rechercher la grotte artificielle des Capucins, cachée au bord de la promenade éponyme, ou gagner le cimetière dominé par l'imposante chapelle Saint-Charles de style Renaissance. Devant le parvis trône la croix sculptée du cimetière et une curieuse tombe protégée par un encadrement en rocailles. Remplacé par une salle polyvalente, le couvent des Capucins lui, fut détruit après avoir servi de gendarmerie, de bureaux et de théâtre. La chapelle servit aussi de salle de bal ! On raconte que le couvent envoyait chaque dimanche un capucin dire la messe au château de Gemeaux. Après quoi, le moine rasait le crane du seigneur Lopin qui portait une perruque. En contrepartie, il leur versait une redevance de 250 livres.
Le foulon de Faiterive à l'est d'Is-sur-Tille, fut acquis en 1607 par Claude Fremyot. Il autorisa le sieur Antoine Guenard à établir une papeterie en 1662/63. La fabrication des draps étant florissante à cette époque, la fabrique fut sans doute implantée dans le moulin pour ne pas perturber le travail du foulon. Antoine Guenard transféra la papeterie dans le bâtiment annexe du moulin de Villecharles en 1675. Par la suite, une forge à gros fers remplaça ces activités jusqu'en 1845 environ. Un minuscule lavoir dort sur le bord du bief.

Au Moyen Âge, on mentionne au lieu-dit Villecharles, une paroisse, puis en 1312, un moulin banal. En 1675, la papeterie d'Antoine Guenard s'installe dans un bâtiment voisin. La transformation du site fut confiée à Guillaume Raille, né en 1634 à la papeterie de Bèze, maître papetier au moulin de la Serrée (Nuits-St-Georges). Un contrat fut établi le 15 avril 1675 devant notaire, le bailleur s’engageant à fournir tous les ustensiles nécessaires à la fabrication du papier. Mais quelques mois plus tard, Guillaume Raille est installé à la papeterie de Plombières-lès-Dijon. Le projet fut-il abandonné ? La papeterie de Villecharles fonctionna-t-elle ? Quoi qu'il en soit, le moulin cessera son activité au début du XXe et sera transformé en usine. En 1926, nous trouvons une manufacture de mesures linéaires (mètres pliants, règles de vitrier, jauges de charpentier). Malheureusement, l'entreprise fit faillite en 1936. L'usine des dérailleurs Simplex la remplaça l'année suivante. Cette marque équipa les vélos de nombreux champions comme Jacques Anquetil. L’entreprise sera transférée à Dijon en 1957-1958. On proposa alors au personnel d'aller travailler dans d'inconfortables camions équipés de bancs en bois. Entre temps, en février 1940, les installations œuvrèrent pour l'armée. Hélas, avec l'occupation, les ateliers passèrent au service de l'Allemagne. Une partie des construction devient des salles de classe, les écoles du bourg étant réquisitionnées. Seule une maison bourgeoise subsiste en souvenir de toute cette histoire, les installations ayant été détruites en 1970.

Comment croire qu'entre la voie ferrée actuelle et la départementale 959 séparées d'un kilomètre et demi, une gigantesque gare de triage envahit tout l'espace disponible ! En 1917, l'armée américaine choisit le site d'Is-sur-Tille, déjà aménagé en gare régulatrice, pour établir un camp de grande envergure et un vaste entrepôt pour l'approvisionnement de ses forces expéditionnaires. Les travaux d'agrandissement commencèrent en octobre 1917. En mars 1918, le "Camp Williams" fut opérationnel. Sa capacité atteignit 24 000 hommes ! On dénombrait 20 entrepôts de 15 m sur 150 m complétés par 20 hectares de stockage à ciel ouvert. On y entassait les besoins correspondant à 15 jours de ravitaillement de l'armée en campagne. Pour l'artillerie, on ajouta deux entrepôts supplémentaires en acier de plus de 70 m de large sur 150 de long. Aux baraquements pour les hommes de troupes, s'ajoutèrent les bâtiments administratifs, un théâtre de 2 500 places, une boulangerie géante et bien sûr, un mess équipé d'une cheminée pour les officiers. Dès le 11 mars 1918, l'hôpital de campagne d'une capacité de 500 lits entra en service. Il aura accueilli plus de 12 000 malades ou blessés à sa fermeture définitive le 23 mai 1919. Un hôpital militaire "complémentaire" fut installé à Is-sur-Tille dans l'école libre et le patronage. Il comptait 163 à 197 lits entre aout 1914 et décembre 1918. Des annexes créés dans l'école maternelle, l'hospice, l'orangerie du château et la Maison Minot, ajoutaient environ 80 lits.
Plus de 400 appareils de circulation orientent les trains sur les 175 km de voies, ce qui nécessite cette gare régulatrice implantée à proximité immédiate. Deux millions de soldats américains et environ quatre millions de tonnes d'approvisionnement passeront par Is-sur-Tille. En 1931, la gare de triage est transférée à Perrigny / Gevrey-Chambertin, puis tout est détruit.
De nos jours, le petit bois à la Cheminée voit défiler les visiteurs curieux de fouiller les buissons pour dénicher les derniers vestiges des bâtiments. Les découvertes seront inversement proportionnelles à l'activité d'autrefois car seule apparait la cheminée en briques du mess des officiers. Notons, pour l'anecdote, que la gare actuelle d'Is-sur-Tille se trouve en réalité à Marcilly-sur-Tille.

En 1964, à la sortie nord-est de la ville, le lieu-dit "Le Meuley", accueillit un hameau de harkis aujourd'hui disparu. (Voir aussi Marcilly-sur-Tille). La ferme de la Grange Noire, à l'est, ancienne motte féodale, possède toujours son colombier. Ancienne motte féodale également, la ferme équestre de Valbertier compte un petit manoir avec deux pavillons d'angle et deux tours carrées.

Au nord-ouest, on aperçoit sur la montagne une curieuse petite tour octogonale construite au XXe siècle surnommée "le Petit Clocher" et la Vierge "Notre Dame des Foyers", sculptée au XXe siècle. Le coteau qui s'étire vers l'ouest dissimule d'innombrables murets, plusieurs maisonnettes et une curieuse tour ronde avec escalier en encorbellement. Les rochers légendaires de la "Motte de Beurre" (ou Livre de Beurre) et les "Demi-Livres de Beurre" se tiennent à l'ouest d'Is-sur-Tille, dans le bois de la "Motte de Beurre", au bord d'un sentier absent sur les cartes. On les trouve dans la pente à 50 m de la lisière, 300 m au nord-est du croisement de la route de Diénay et de la limite de commune (900 m au sud-ouest du Petit Clocher).

Dans un autre domaine, à la sortie d'Is-sur-Tille, au bord de la D 120 qui file vers Avelanges, on trouve après 200 m un chemin qui conduit aux anciennes carrières. La seconde rencontrée, la plus importante, cachée dans le bois, renferme de nombreux fossiles, coquillages, radiales d'oursins,... etc. Dans la première, une cavité rectangulaire plutôt curieuse, est surnommée "glacière de la carrière de Montchevreuil". Elle tire son nom du domaine voisin de Montchevreuil (Mont Chevreuil) dont la construction remonterait au XVIIe mais sa forme et ses dimensions sont bien loin de ce que l'on attend d'une authentique glacière. On remarquera également plusieurs amorces de galeries aménagées dans les bas-côtés de cette carrière. La ville était autrefois renommée pour sa pierre. Elle aurait servi à la construction de l'église Saint-Michel, de la Sainte-Chapelle de Dijon, de la chartreuse de Champmol et même du puits de Moïse.

On exploita également les laves calcaires et aujourd'hui, le petit train touristique qui se faufile dans les anciennes lavières, est fier de posséder une locomotive diesel fabriquée dans l'usine dijonnaise Pétolat, à présent disparue. Créées en 1883, les Usines Pétolat Père et Fils, produisirent des chemins de fer portatifs à pose rapide, des wagons et wagonnets en acier, des locomotives, des tramways, mais aussi des grues, des broyeurs et des pompes. La société fournissait les grandes administrations de l'État et les compagnies de chemins de fer. Elle fut rachetée en 1968 par la firme parisienne "Manubat". Arrivée en 1980, la petite locomotive fut restaurée par l'association qui a créé de toute pièce le chemin de fer touristique. Ce locotracteur Pétolat de type 020, âgé de plus de 75 ans est peut-être le seul exemplaire complet existant de nos jours. Curiosité de taille pour les passionnés, ce vétéran toujours équipé de son moteur deux temps diésel mono cylindre, licence Deutz, puissant de 8 à 9 chevaux, fut construit en 1931 pour l'usine à gaz de Dijon. Puis il servit comme train touristique de paroisses dijonnaises, avant de finir à Is-sur-Tille. Outre ces carrières de pierre, on signale l'existence de minières après la Révolution.

Entre Is-sur-Tille et Diénay, le gué des Mazerottes se double d'une passerelle piétonne en pierre.
De son côté, le savant Nicolas Gautherot né à Is-sur-Tille en 1753, découvrit la polarisation de la pile de Volta.
Autre personnage, mais légendaire cette fois, le Foulleteu, lutin tout habillé de rouge, qui s'amuse à disperser les tas de foin ou de paille.
Terminons avec un évènement archivé par le GEIPAN (groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés). Une sphère bleutée tournant sur elle-même et se déplaçant à grande vitesse a été observée à Is-sur-Tille pendant une vingtaine de secondes par deux passagers d'un ULM, le 16 mai 1993 en fin d'après-midi. Ce fait étrange est resté inexpliqué malgré les éléments en possession du GEIPAN (CNES).
Les nombreux ouvrages forts bien documentés de la Société d' Histoire Tille/Ignon vous apporteront une multitude d'informations complémentaires : https://www.histoire-tille-ignon.fr/
André Beuchot





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Vie Sociale

Les services sociaux regroupent des structures municipales (le CCAS), communautaires (le portage des repas), départementales (l'accueil solidarité et famille), régionales (l'Hôpital local) ou associatives.
Contact CCAS : 03.80.95.47.70

Economie & Développement

Les rues du centre ville, très fréquentées, doivent leur animation à l'activité de près d'une centaine de magasins. Par ailleurs, un marché mensuel et deux foires annuelles affirment le rôle de la ville comme pôle d'attraction commerciale. Les possibilités d'installation sont variées pour les artisans et les entrepreneurs qui souhaitent venir renforcer un tissu économique et industriel en expansion.


Les 3 ZAE
(3 ha) ZI CHAMPS BEZANCON, (17 000 m²) ENTREE SUD DE LA VILLE, (2 ha) ZONE COMMERCIALE RUE FRANÇOIS MITTERRAND


Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.


CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial


En tant qu’élus, vous considérez sûrement le développement et l’animation de vos territoires comme des priorités de votre mandat. Face à la diversité des enjeux, la CCI Côte-d’Or-Saône-et-Loire s’est donc organisée pour vous apporter son expertise, ses outils et ses réseaux dans vos projets de développement socio-économique et territorial. Notre ambition est de travailler à vos côtés, dans un objectif partagé de développement, en s’appuyant sur nos équipes de terrain, notre réseau de partenaires, notre connaissance fine des territoires et notre relation de proximité avec les entreprises... LIRE+



Que faire ?

Découvrir la ville, par exemple à l'occasion de la Journée du Patrimoine, ou à partir d'indications fournies par l'office de tourisme. Le biefs et les bras de la rivière (l'Ignon) encouragent la flânerie, surtout à partir du printemps, quand commence l'effort de fleurissement annuel de la ville. On peut aussi visiter la ville à l'occasion d'un festival, ou en venant découvrir le Train touristique des Lavières tous les dimanches entre la mi-juin et la mi-septembre. Se renseigner à l'office de tourisme ou sur le blog de la ville*.


Fan de ma Commune

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