Maire Didier Duriaux
Adresse 12 Place de la Mairie - 21200 Bligny-lès-Beaune
Tél. 03 80 26 81 98 Fax 03 80 22 43 66
Email mairie.bligny.les.beaune@wanadoo.fr
Site http://www.bligny-les-beaune.fr/
Population 1230 habitants. Les Bélinéens
Altitude 215 mètres
Superficie 783 ha
Situation géographique Sud de Beaune
Communauté de Communes CA Beaune Côte et Sud
Canton LADOIX-SERRIGNY
Village Côte-d'Orien du centre de la Bourgogne, au Sud de Beaune, desservi par une gare autoroutière à 2 km, d'une superficie de 730 ha, Bligny-lès-Beaune est traversé par deux affluents de la Dheune : le Montpoulain et l'avant-Dheune. Essentiellement à vocation agricole, l'activité viticole est cependant très présente du fait de la présence de nombreux vignerons, les sols étant très propices à l'élaboration de bons bourgognes blancs et rouges. Ses atouts : il est bordé par les coteaux viticoles de Beaune, Pommard, Volnay et Meursault. La mairie offre tous les renseignements utiles aux habitants et aux visiteurs et met à disposition diverses structures, notamment un groupe scolaire et ses services annexes, une spacieuse salle des fêtes, une salle des sports, une splendide église avec ses trésors d'artistes.
Son centre historique est très prisé des touristes avec son église du XIIè siècle, son château du XIVè siècle et ses anciennes maisons vigneronnes.
©André Beuchot
Un curieux de passage à… BLIGNY-LÈS-BEAUNE. Canton de Ladoix-Serrigny. (Autrefois canton de Beaune sud).
Autrefois Beligny-sous Beaune puis Bligny-sous-Beaune jusqu'en 1949, ce village très étiré est riche en découvertes. La première église fut sans doute édifiée au VIIe, sur l'emplacement d'un temple païen dédié à Bélénus qui donna son nom au village. Détruite dès le siècle suivant, puis reconstruite, elle sera finalement remplacée une fois encore au XIe ou XIIe siècle. De cette époque, il ne reste que le chœur et la tour du clocher, dominée par une flèche en pierre ajoutée au XVe. Guerre religieuse et incendie vont bouleverser son aspect à tour de rôle. Elle sera restaurée et agrandie au XVIIIe puis au XIXe pour arriver à son allure actuelle. Aujourd'hui, l'église Saint-Baldoux ne manque pas d'allure avec son abside romane couverte en laves. À l'intérieur, on admire une longue tapisserie et les boiseries du chœur.
Plus loin, cachée dans un parc, la chapelle de la famille Foisset remonte au XIXe. Piquée contre le mur d'enceinte, elle laisse entrevoir son fin clocher d'ardoises. Né en mars 1800, l'écrivain Joseph Théophile Foisset a fondé le journal : "Le Provincial". Historien bourguignon, il publie en 1852 : "Causes secrètes de la chute de Charles le Téméraire". Il se consacre aussi aux sciences religieuses, proposant plusieurs ouvrages comme en 1847 : "Catholicisme et protestantisme", ou en 1856, "Les Affaires de l'Église". Autre écrivain, Jean des Vignes Rouges, de son vrai nom Jean Taboureau, naquit ici en 1879. On connaît plus de 2000 articles et essais écrits de sa plume. Ouvrages de souvenirs militaires, psychologie, romans, poésies et régionalisme.
Dressé sur l'emplacement d'une maison forte du Xe, le château actuel remonterait au XIVe. On y accédait jadis par un pont-levis. Sa construction serait due à Philibert Paillart, les travaux ayant débuté, entre 1360 et 1387, pendant la guerre de Cent ans. Il fut très remanié au fil des siècles, notamment à la Révolution où les fossés qui l'entouraient disparurent. On rapporte qu'en 1356 Hugues de Géanges, son propriétaire, fut fait prisonnier à la bataille de Poitiers avec le roi de France Jean le Bon. Les habitants du bourg versèrent le montant de la rançon demandée pour sa libération. Plus tard, il les affranchira de toute servitude en signe de reconnaissance.
Autre curiosité locale, la mairie, originale, au pignon décoré rehaussé d'une ogive en pierre de taille et qui accueille une cloche abritée sous un curieux campanile circulaire. De nombreux puits parfois originaux parsèment la cité. Au fil des rues, on admire plusieurs domaines, maisons bourgeoises cachées dans leur parc. La maison de Jacques-Gabriel Lorenchet de Montjamont garde des portes en plein cintre.
À l'est, une demeure aux belles fenêtres à accolade et petit colombier carré étonnant, dissimule dans son parc une maison en bois accrochée dans la cime d'un arbre et accessible par un escalier en spirale.
Autrefois, on trouvait la magnanerie de M. Sandier.
Dans la forêt au sud-est, l'oratoire de Montby reste le seul vestige d'un hameau disparu au XVIIIe.
Curtil. (Bligny-lès-Beaune). On rendait jadis la justice près d'une chapelle du Xe, remplacée maintenant par l'oratoire de la Rèpe. Le hameau possède un joli domaine XVIIIe avec pigeonnier carré.
André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
La vie associative est très riche grâce au foyer rural et à d'autres associations indépendantes qui proposent de nombreuses activités.
Son économie est dynamisée par la présence de commerces, d'artisans, de médecins, d'activités secondaires, de nombreux gîtes et chambres d'hôtes
Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.
CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial
En tant qu’élus, vous considérez sûrement le développement et l’animation de vos territoires comme des priorités de votre mandat. Face à la diversité des enjeux, la CCI Côte-d’Or-Saône-et-Loire s’est donc organisée pour vous apporter son expertise, ses outils et ses réseaux dans vos projets de développement socio-économique et territorial. Notre ambition est de travailler à vos côtés, dans un objectif partagé de développement, en s’appuyant sur nos équipes de terrain, notre réseau de partenaires, notre connaissance fine des territoires et notre relation de proximité avec les entreprises... LIRE+