Christophe Lucand déclare sa candidature à la présidence de la Com Com fusionnée de Gevrey-Chambertin, Nuits-Saint-Georges et du Sud-Dijonnais

13 décembre 2016

Devant une cinquantaine de maires et de délégués communautaires, Christophe Lucand, actuel président de la Communauté de communes de Gevrey-Chambertin à déclaré sa candidature pour la présidence de la Communauté de communes fusionnée de Gevrey-Chambertin, Nuits-Saint-Georges et du Sud-Dijonnais.

Lundi 12 décembre, près d'une cinquantaine de Maires et de Délégués communautaires étaient présents sur les 80 élus invités.

Aprés avoir remercié chaleureusement Maurice Chevallier, Maire de Vosne-Romanée et son équipe municipale, pour leur accueil, leur amitié et leur soutien à sa candidature et au projet de fusion - c'est en effet à Vosne-Romanée que tout a commencé, il y a presque un an lors de la tenue de la première réunion rassemblant tous les partisans favorables au projet de fusion - Christophe Lucand a présenté son programme fondé sur 3 piliers :

"Ma candidature repose sur une légitimité, celle de la réalisation d’une fusion que je porte avec enthousiasme depuis plus d'un an... sur un projet de territoire, qui sera réfléchi et bâti collectivement avec toutes celles et tous ceux qui sont fermement convaincus (et non résignés), et qui exprimera avec fierté l’identité remarquable et exceptionnelle de notre territoire et de ses atouts... sur une gouvernance équilibrée, plurielle, respectueuse de toutes les Communes et de leurs représentations, opposée à la mise sous tutelle de nos petites Communes par une seule ville."

Des échanges ont suivi avec les élus présents. Plusieurs Maires sont intervenus pour apporter leur soutien à la démarche de Christophe Lucand.

 

Christophe LUCAND

 

Discours Vosne-Romanée – Christophe LUCAND

12 décembre 2016

"Chers collègues,

Chers Amis,

Permettez-moi tout d’abord de vous remercier, toutes et tous, pour votre présence en nombre ce soir, alors que plusieurs de nos collègues, Maires et Délégués communautaires, m’ont fait part de leurs regrets de ne pouvoir être présents. Je me permets de les excuser tous collectivement.

Je veux saluer et remercier Maurice Chevallier, Maire de Vosne-Romanée, pour son accueil, sa sympathie, son soutien et son amitié.

Maurice tu as très aimablement (et très spontanément) répondu favorablement à ma proposition en acceptant de nous accueillir ce soir à l’occasion de ma déclaration de candidature pour la présidence de notre future Communauté de Communes fusionnée.

C’est un geste, Cher Maurice, qui n’est pas seulement amical, tu le sais, puisqu’il marque symboliquement un an de cheminement commun, avec tous nos amis, pour qu’existe et pour que vive cette future grande Communauté de Communes, à l’échelle de toute la Côte entre Dijon et Beaune.

Alors vous le savez, c’est il y a un peu plus d’un an, qu’avec les élus favorables à ce projet, nous avons lancé un cycle de réunions, d’échanges et de travail, dont la première s’est tenue ici, à Vosne-Romanée, dans cette même salle.

La fidélité, on le sait, a du cœur, mais elle a aussi de la mémoire. Donc merci Maurice d’être resté fidèle à tes convictions.

On aurait pu croire d’ailleurs, Chers Amis, que cette orientation vers une fusion de nos intercommunalités devait aller de soi.

Quoi de plus évident d’ailleurs que de vouloir réunir, comme nous le faisons, des habitants et des espaces ancrés dans une même identité, dans un même équilibre économique, social et culturel, et dans une même histoire !?

Pourtant, c’est au mois d’août 2015, quelques semaines après le vote de la fameuse loi sur la Nouvelle Organisation Territoriale, que j’apprenais (avec surprise) qu’une toute autre orientation se dessinait. Elle était celle d’un « arrangement » de coulisses, pour une fusion a minima.

Ce choix, alors reconnu et accepté par le Préfet (inspiré et soutenu par de grands élus extérieurs à nos Communes et à notre territoire, de droite comme de gauche) aurait eu une conséquence très simple :

Celle d’une coupure irréversible de notre belle Côte en deux espaces : l’un mis en orbite par l’agglomération dijonnaise, l’autre satellisé par l’agglomération beaunoise.

En somme, nos campagnes et nos Communes auraient été prises en charge par les villes : le rêve de certains, apparemment !

Au moment où la loi prévoit une très rapide montée en compétence des intercommunalités qui, à l’avenir, ne seront plus que les seuls interlocuteurs de l’État (avec les grandes régions), une telle orientation devenait d’emblée irréversible.

Mais, est-ce vraiment ce que nous souhaitions tous ?

En tout cas, Chers Amis, ce projet n’était ni le mien, ni celui de très nombreux autres élus.

C’est pour cette raison que, lors de la tenue de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale (CDCI) au mois de septembre 2015, j’ai dénoncé devant le Préfet et les élus du Département cette orientation comme étant un « non-sens politique majeur », une « aberration géographique irresponsable » et une « erreur historique sans précédent pour notre territoire ».

La suite de cette histoire, vous la connaissez. Sans l’énergie déployée avec les élus qui m’ont entouré, l’affaire était faite : notre Côte aurait été séparée en deux versants, d’autant plus facilement que la Communauté de Communes de Gevrey-Chambertin n’avait pas obligation de fusionner.

Nous avons, depuis, obtenu l’approbation du Préfet pour une fusion à trois, puis l’approbation, par deux fois, de la majorité de nos Communes et de nos Communautés de Communes.

Je vous avoue que je ne suis pas peu fier d’avoir contribué à cette orientation qui, selon moi, à sauvé l’intégrité de notre territoire pour les années à venir.

 Vous savez que ce choix ne s’est pas fait sans opposants. L’un d’entre eux (et non des moindres) a jugé cette fusion « irresponsable » (je cite), arguant que la Côte de Nuits (je cite) « ça n’existe pas », car « Nuits n’a rien à voir avec Gevrey ».

Si tous les avis sont respectables, là encore, il est important d’avoir un minimum de mémoire, un minimum de cohérence et, j’allais dire, un minimum de principes, lorsque l’on croit en ce que l’on fait.

Depuis, vous le savez, nous avons beaucoup avancé. Le cycle de nos réunions plénières et de nos ateliers de travail ont associé toutes celles et tous ceux qui ont souhaité se joindre à nous pour bâtir ensemble notre future Communauté de Communes.

Je me félicite que ces moments de travail et d’échanges aient permis de joindre nos efforts, de mieux nous connaître et même d’effacer progressivement les frontières administratives artificielles qui séparaient nos territoires.

Toutes celles et tous ceux qui partagent avec enthousiasme le projet de fusion ont été, et sont toujours, les bienvenus. Je voudrais ici saluer et remercier tous les élus qui ont donné de leur temps, parfois sans compter, et qui se sont engagés dans des pistes de réflexion qui serviront demain de base à nos futurs échanges.

Alors vous l’avez compris, c’est dans cette perspective, et au regard de tout ce qui a déjà été fait depuis un an, que je vous présente ma candidature à la présidence de la future Communauté de Communes fusionnée de Gevrey-Chambertin, du Pays de Nuits-Saint-Georges et du Sud-Dijonnais.

La légitimité de cette candidature s’appuie sur les initiatives que j’ai personnellement engagées depuis 2015 afin que cette grande Communauté de Communes que j’appelais de mes vœux puisse enfin exister.

Mais elle s’ancre surtout sur ma volonté de porter un projet de territoire qui s’impose selon moi comme une évidence et surtout comme une chance pour tous nos habitants.

Cette chance, elle est celle de notre territoire. Et quel territoire nous avons !

Avec 30000 habitants et 56 Communes membres, notre future intercommunalité sera la plus grande Communauté de Communes de la Côte-d’Or.

Assez grande pour que l’on échappe aux prochaines réformes territoriales qui ne manqueront pas, dans un avenir proche.

Assez grande pour acquérir le seuil critique qui nous permette de mutualiser nos services de proximité, dans l’intérêt de tous, et en dégageant des économies pour tous, sans pour autant perdre le contact avec les Maires, avec les élus et avec nos habitants.

Assez grande, encore, pour exister et construire son avenir, entre Dijon et Beaune, grâce à son identité exceptionnelle :

Celle de son immense parcellaire viticole consacré par l’UNESCO l’an dernier et qui rassemble les trois-quarts des Grands Crus de toute la Bourgogne et une histoire millénaire. Quel trésor patrimonial, avec notamment Cîteaux, le Clos-Vougeot, les Romanée, les Chambertin, Vergy et la dizaine d’autres sites connus et reconnus mondialement.

Vu de l’extérieur, notre territoire est un rêve éveillé ! Il restera à le faire vivre à l’échelle de notre future Communauté de Communes !

Elle est donc celle de son potentiel naturel, culturel et touristique hors du commun, mais aussi de son monde associatif, de ses commerces, de ses petites et moyennes entreprises, de ses artisans.

Elle est celle de ses élus et de leurs Communes qui, associés dans un monde majoritairement rural, pourront faire vivre leurs choix, indépendamment des villes et des métropoles.

Cette combinaison d’atouts, il faut en prendre conscience, est sans égal parmi toutes les autres intercommunalités comparables en France. Nous représentons un territoire exceptionnel dans son identité, comme dans son potentiel.

Demain, nous serons une Communauté de Communes de référence avec toutes celles et avec tous ceux qui y croient et surtout avec toutes celles, et avec tous ceux,… qui le veulent !

Mais pour croire en notre future Communauté de Communes, il faut croire en nous, en notre avenir dans la fusion, et être fier de ce que nous sommes et de ce que nous représentons !

Il faut le dire et il faut le faire savoir avec un vrai enthousiasme et avec une vraie volonté !

Il faut surtout cesser d’agiter les peurs et les dénigrements infondés, qui discréditent leurs auteurs, et avec lesquels on ne bâtit jamais rien !

Ma volonté, vous le savez, elle est là, depuis le début.

Elle repose sans doute un peu sur mon itinéraire de vie. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai vécu et travaillé un peu partout sur notre territoire. J’ai passé toute mon enfance et mon adolescence à Saint-Bernard, dans les écoles de Flagey, Gilly, Vougeot, puis au collège de Nuits-Saint-Georges, en vacances chaque été, ou presque, dans nos Hautes-Côtes, en emploi étudiant à Gevrey-Chambertin et à Nuits-Saint-Georges.

Mes études à l’Université de Bourgogne m’ont conduit à l’enseignement dans le secondaire et le supérieur, en tant que professeur agrégé et docteur en histoire, puis à l’Université et à Sciences Po Paris où j’enseigne l’Histoire contemporaine depuis 15 ans.

Mais c’est par mes recherches sur l’Histoire des Mondes de la Vigne et du Vin que je me suis aussi maintenu dans des préoccupations et des enjeux très locaux. C’est ce que je prolonge aujourd’hui encore au sein de la Chaire UNESCO Culture et traditions du vin de l’Université de Bourgogne Franche-Comté, où j’enseigne et où je publie.

Ma volonté repose enfin sur mon expérience d’élu, depuis huit ans au sein de l’exécutif de la Communauté de Communes de Gevrey-Chambertin, en tant que vice-président, puis en tant que président.

Alors, tous les Maires et tous les élus avec qui je travaille depuis pourront témoigner de l’exceptionnelle entente qui règne entre nous. Sans parti pris, sans clivage politique, sans décisions prises de manière unilatérale.

Toutes nos délibérations sont votées à l’unanimité, ou presque, sans qu’aucune Commune n’ait l’ascendant jamais sur les autres ; ni en Bureau communautaire, ni en Conseil.

Je veux ici saluer le travail et l’énergie des Maires et des élus des petites Communes, constamment malmenés par des réformes territoriales et financières néfastes, et qui tiennent la barre sans faillir. Je suis et j’ai toujours été à leurs côtés.

Sans eux, sans nos Maires de petites Communes, l’intercommunalité n’est rien.

C’est pour cette raison que je ne veux pas d’une Communauté de Communes « sous tutelle » ; d’une Communauté de Communes qui ne serait qu’une excroissance d’une ville qui organiserait tout et déciderait de tout.

Pour cela, nous avons besoin d’un Président « équitable », qui ne décide pas le matin (en tant que Maire de la plus grande Commune) d’un choix bon pour sa Municipalité, avant de le faire, le soir, entériner (en tant que Président) par un Bureau communautaire omnipotent, en lieu et place de toutes les autres Communes.

Nous avons besoin de Maires et d’élus acteurs de leurs choix, qui participent à leur destin, sans le soumettre ou le déléguer à d’autres.

Je vous l’ai écrit et je vous le redis, mon projet repose donc sur une gouvernance respectueuse de toutes les Communes, dans un souci d’équilibre territorial partagé, en rejetant toute polarisation politique, toute polarisation fonctionnelle d’une seule ville, au détriment des autres.

Ce que je vous propose ici, si vous l’acceptez, c’est une « Communauté DES Communes ».

Pour cela, la gouvernance que je mettrai en place reposera sur un Bureau de 15 vice-Présidents, élargi à 5 membres.

Je propose que des membres puissent être ponctuellement associés, et indemnisés, lorsqu’ils seront en charge de projets ou de missions.

Concernant l’enveloppe globale des indemnités, je m’engage à ce qu’elle soit inférieure à celle couvrant la somme des indemnités des exécutifs actuels : je dis bien « inférieure ».

Je montrerai l’exemple d’ailleurs, sans aucune démagogie, car je considère les indemnités comme nécessaires au dédommagement des frais assumés par les élus.

Mais pour ma part, j’ai abaissé de 60% mon actuelle indemnité de Président de Communauté de Communes.

Je fais ce que je dis, et je dis ce que je fais.

J’associerai bien entendu à ce Bureau les deux autres Présidents des actuelles Communautés de Communes, sans délégation spécifique, et cela pour assurer la nécessaire transition qui s’opérera durant le reste de ce mandat.

Dans ce schéma que je vous propose, le rôle du Bureau communautaire sera de préparer, bâtir, proposer le travail au Conseil. Mais, dans la pratique, il ne sera pas un organe décisionnel.

Seul le Conseil communautaire réunit en assemblée décide et vote.

Dans le domaine politique, sous ma présidence, notre Communauté de Communes ne sera ni de droite, ni de gauche, mais fermement rattachée à un « projet de territoire collectif » que nous aurons voté en assemblée, tous ensemble.

Je considère comme un non-sens une quelconque orientation politique dans les dossiers que nous avons à traiter au quotidien. Lorsque je défends nos intérêts, nos Communes, nos habitants, et notre territoire, je ne m’inscris pas dans une orientation nationale, mais dans nos préoccupations locales.

Le futur Bureau communautaire sera donc ouvert à toutes celles et à tous ceux qui veulent s’associer à moi et à notre projet collectif, et je souhaite, pour tous ceux avec qui je n’ai pas encore discuté, qu’ils puissent me contacter et me faire part de leurs avis et de leurs propositions.

C’est sur ces principes simples, clairs et mesurés, que nous nous orienterons vers les choix qui seront à prendre rapidement : celui des compétences, de leurs périmètres respectifs et des orientations budgétaires et fiscales.

Mon objectif sera de préparer notre Communauté de Communes aux défis de 2020. Une réflexion nouvelle devra s’engager sur des compétences en rapide mutation, notamment : le développement économique (avec la reprise des zones d’activités, de leurs voiries, de leurs luminaires), l’assainissement, l’eau, le développement touristique, le scolaire et le péri-scolaire, par exemple.

Pour relever ces défis, nous bénéficierons des nombreux diagnostics déjà établis en interne, portés par nos ateliers de travail.

Je m’engage à ce qu’aucune décision lourde, entrainant la modification de compétences, ne l’emporte sans une concertation partagée.

Mon mode de gouvernance repose sur l’échange, la discussion et la concertation. Il n’y a pas, et n’y aura jamais, de passages en force d’une décision en cherchant à s’appuyer sur les uns, contre les autres.

Voilà, décrit en quelques mots mon projet et tout le sens de ma candidature.

Alors, en somme, et pour conclure, je voulais vous dire que :

Ma candidature repose sur une légitimité ; celle de la réalisation d’une fusion que je porte avec enthousiasme depuis des mois.

Ma candidature repose sur un projet de territoire, qui sera réfléchi et bâti collectivement avec toutes celles et tous ceux qui sont fermement convaincus (et non résignés), et qui exprimera avec fierté l’identité remarquable et exceptionnelle de notre territoire et de ses atouts.

Ma candidature repose enfin sur une gouvernance équilibrée, plurielle, respectueuse de toutes les Communes et de leurs représentations.

Voilà, Chers collègues, Chers Amis, j’espère vous avoir convaincu du bon sens de mon engagement et de ma sincérité.

Dans quelques semaines, au cours du mois de janvier, vous serez les seuls acteurs de notre destin.

Ce sera l’engagement d’un projet collectif d’avenir …ou bien, la résignation et l’immobilisme.

Ce sera construire l’avenir ensemble et nous projeter vers demain, ou bien, penser aujourd’hui comme hier, se replier sur soi et sur le passé, pour que rien ne bouge, au moment où tout change autour de nous !

Vous choisirez celui qui vous inspire. D’ici-là, on cherchera peut-être à vous dissuader, à dénigrer ou à vous intimider. C’est ainsi. Il faut le savoir.

Mais quoi qu’il en soit, sachez que sans vous, rien ne sera possible, mais qu’avec vous, nous serons tous fiers d’avoir participé, ensemble, à un moment historique pour l’avenir de notre territoire : celui de la fondation d’une Communauté de Communes forte, équilibrée et respectueuse de tous.

Je vous remercie."

 

 

 

 

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