Dijon, nouvelle capitale mondiale de la vigne et du vin

Dijon, nouvelle capitale mondiale de la vigne et du vin

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Découvrez la nouvelle brochure ville d’art et d’histoire Focus : l’hôtel Bouchu dit d’Esterno pour en savoir plus sur le bâtiment, le chantier et l’OIV içi

 

Les portes ouvertes de l’Hôtel Bouchu dit d’Esterno, ont lieu ces samedi 19 octobre 2024 de 12h à 19h et dimanche 20 octobre de 10h à 19h.

Tout le programme est à retrouver au lien suivant : https://www.dijon.fr/actualites/dijon-vignes-et-gastronomie/


16 octobre 2024

Dijon, capitale historique de la Bourgogne, s’affirme comme un acteur central de la scène viticole mondiale. L'installation officielle de l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV) dans son nouvel écrin de l’Hôtel Bouchu dit d’Esterno, ainsi que l'accueil du 45ème Congrès mondial de la vigne et du vin en octobre 2024, confèrent à la ville un tout nouveau statut. Dijon se positionne ainsi au coeur des discussions stratégiques sur l'avenir du vin et se hisse parmi les cités où se joue la diplomatie internationale.

Une décision stratégique pour l’OIV, un tournant historique pour Dijon

Le choix de l'OIV d'établir son siège à Dijon et de quitter Paris marque un tournant historique pour la ville de Dijon. L'OIV aussi appelée l'« ONU du vin », regroupe 50 États membres et joue un rôle essentiel dans l'élaboration des politiques internationales en matière de production et de commerce viticole. Son nouveau siège, installé dans l'emblématique Hôtel Bouchu dit d'Esterno à rayonnement à l’international.

Inauguration du nouveau siège de l'OIV©Margot Dupuis-Ville de Dijon

« Si l’Organisation internationale de la vigne et du vin a choisi de quitter Paris pour installer son siège à Dijon, ce n’est pas un hasard. Si notre ville accueille, avec la Cité internationale de la gastronomie et du vin, le premier lieu en France de promotion du Repas gastronomique des Français inscrit au Patrimoine immatériel de l’Unesco, ce n’est pas une coïncidence. Dijon, dont le centre-ville fait partie du périmètre des Climats du vignoble de Bourgogne classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, est devenue un haut-lieu du patrimoine culinaire et viticole mondial. Le vin du Dijonnais connait, sous l’impulsion de la ville et de la métropole, un renouveau spectaculaire. Le tissu d’entreprises historiques, de laboratoires reconnus et d’écoles prestigieuses, conjugués au déploiement de politiques publiques ambitieuses positionnent Dijon comme la nouvelle place forte mondiale de la vigne et du vin ».
François REBSAMEN, maire de Dijon et président de Dijon métropole, ancien ministre.

 

45ème Congrès mondial de la vigne et du vin : Dijon au centre des réflexions internationales sur l’avenir du vin

Du 14 au 18 octobre 2024, Dijon accueille le 45ème Congrès mondial de la vigne et du vin organisé par l’OIV, réunissant plus de 1000 experts,  scientifiques, décideurs internationaux du secteur de 50 pays différents. Ce congrès sera l'occasion pour les participants de partager leurs connaissances et de débattre des enjeux actuels du secteur vitivinicole, de l’adaptation aux changements climatiques qui impacte les terroirs et les cépages, aux innovations technologiques dans la production viticole, à l’évolution des marchés mondiaux du vin. Il promet d’être le plus important depuis 2008, avec un nombre impressionnant de 646 communications soumises par 45 pays différents.

 Inauguration du nouveau siège de l'OIV©Margot Dupuis-Ville de Dijon

Dijon et l’OIV, une alliance qui incarne le nouveau cœur diplomatique de la viticulture mondiale

Avec l’installation du siège de l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), Dijon devient le centre névralgique des discussions mondiales autour de la vitiviniculture.

Un territoire viticole historique propice aux réflexions sur l’avenir de la vigne et du vin

L'OIV regroupe 50 pays qui représentent à eux seuls 87% de la production et 71% de la consommation mondiale de vin. Son siège historique était à Paris, mais ses responsables plaidaient pour une installation en région, notamment de l’exiguïté des anciens locaux et du coût de l’immobilier pour en trouver de nouveaux sur Paris.

Dijon, alors en concurrence avec Bordeaux et Reims, l’a emporté grâce à un dossier de qualité et une proposition ambitieuse: la restauration d’un lieu remarquable et d’un joyau patrimonial, l’Hôtel Bouchu dit d’Esterno, dans un délai très contraint. Les atouts scientifiques et culturels de la ville en matière vitivinicole ont aussi fait la différence: la présence de centres de formation et de recherche de haut niveau comme l’Université de Bourgogne et l’Institut Universitaire de la Vigne et du Vin Jules Guyot, une Chaire Unesco "Culture et Traditions de développement et d’attractivité.

Le 25 octobre 2021, réunis au palais des Ducs et des États de Bourgogne, les représentants des pays membres de l’OIV votaient à l’unanimité le transfert du siège de l’organisation de Paris vers Dijon.

Un siècle de sciences et de diplomatie de la vigne et du vin

L’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), qui fête cette année son centenaire (1924-2024), est l’organisme de référence du secteur vitivinicole mondial. L'OIV joue en effet un rôle central dans la définition des normes scientifiques et techniques qui encadrent la production viticole, garantissant la qualité et la sécurité des vins à l’échelle internationale, tout en prenant en compte les intérêts des consommateurs (édiction de normes sanitaires, vis-à-vis des pratiques viticoles, des étiquetages, …).

Avec ses recommandations, l’OIV agit directement sur les pratiques agricoles et œnologiques, en répondant aux enjeux contemporains, tels que le changement climatique, l'innovation technologique et l'évolution des législations internationales. 1432 résolutions ont ainsi été adoptées par l'OIV depuis sa création, influençant les régulations nationales et internationales afin de garantir la traçabilité, la qualité et l’éthique dans la production de vin.

 

À SAVOIR

Dijon est une terre de vin. Elle a entrepris une reconquête de son vignoble dit « du Dijonnais » avec déjà plus de 50 hectares d’AOC Bourgogne replantés en 10 ans.

Elle jouit aujourd’hui d’une triple reconnaissance.

UNESCO : au Patrimoine mondial depuis 2015. Ce périmètre englobe le site patrimonial remarquable de Dijon.

Immatérielle: au titre du repas Gastronomique des Français inscrit sur la liste du Patrimoine immatériel de l’humanité depuis 2010. C’est en 2013 que la Capitale des Ducs s’est vu spécifier par le Réseau des Cités de la Gastronomie l’aspect pôle moteur « valorisation de la culture de la vigne et du vin ». C’est à ce titre qu’a été inaugurée en 2022 la Cité internationale de la gastronomie et du vin. Elle est symboliquement implantée au 1er kilomètre de la Route des Grands Crus.

Universitaire: au titre de la Chaire Unesco « Culture et traditions vitivinicoles »  au  cœur  de  l’Université  de  Bourgogne.  Ses activités sont ciblées sur une approche pluridisciplinaire et internationale du vin comme produit « culturel » d’excellence.

 

L'Hôtel Bouchu dit d'Esterno : un joyau patrimonial au service du rayonnement vitivinicole français

En 1638, Jean Bouchu devient le premier président du Parlement de Bourgogne. Il veut un logis à la hauteur de sa fonction. Il rachète une bâtisse du 15ème  siècle et la fait raser pour édifier entre 1641 et 1643 un hôtel particulier de toute beauté, considéré comme un exemple d’architecture du 17ème siècle, sur un modèle de bâtiment en H inédit pour l’époque.

Cette résidence passe aux mains de la famille d’Esterno à la fin du 18ème  siècle puis est achetée par la Ville de Dijon en 1884. Inscrit au titre des monuments historiques en 1928, l'Hôtel Bouchu dit d'Esterno accueille diverses administrations, notamment une délégation militaire mais aussi ICOVIL, l’Institut pour une meilleure connaissances des villes, avant d’être confié à l’OIV.

Une réhabilitation d’envergure a été menée pour rendre son lustre à l’architecture classique mais aussi de créer de nouvelles fonctionnalités contemporaines nécessaires à une organisation internationale du 21ème siècle.

Une telle restauration impose un préalable incontournable: s’entourer d’architectes expérimentés, partageant une vision commune et une expertise éprouvée. Fabien Drubigny, architecte du patrimoine, et Alexandre Lenoble de Bernard Quirot Architecture et Associés incarnent cette synergie, déjà prouvée dans des projets emblématiques comme la Maison de santé de Vézelay (Équerre d’argent 2015) ou la réhabilitation de la DRAC Bourgogne-Franche-Comté à Dijon. Une équipe régionale de spécialistes vient renforcer cette dynamique, garantissant réactivité et maîtrise des délais, entourée d’entreprises généralistes et patrimoniales spécialisées.

Le projet s'attache à préserver l'intégrité patrimoniale et à magnifier le bâti historique tout en modernisant les infrastructures. Les volumes d’origine sont restaurés avec une attention particulière à l’accessibilité, à la luminosité ou à la fonctionnalité des espaces, tandis qu’à l’extérieur, le bâtiment retrouve sa silhouette classique et son jardin réaménagé. Enfin, une nouvelle construction sous la terrasse accueille un amphithéâtre de 90 places, alliant modernité et respect des lignes architecturales classiques. Cette approche, audacieuse et respectueuse, redonne à l'Hôtel Bouchu dit d’Esterno tout son éclat, en harmonie avec l’histoire et l’esthétique de Dijon.

Un lieu emblématique qui accueillera les 18 collaborateurs permanents de l’OIV et vers lequel convergeront les 500 experts internationaux auxquels l’organisation fait appel tout au long de l’année.

Façade de l’hôtel Bouchu © François Weckerlé – Ville de Dijon

Façade de l’hôtel Bouchu © François Weckerlé – Ville de Dijon

À SAVOIR

La ville, propriétaire de l’Hôtel, le met à disposition de l’OIV par un bail emphytéotique administratif d’une durée de 50 ans. Il s’agit d’un contrat spécifique pour la location de biens immobiliers de longue durée pour un motif d’intérêt général.
C’est le cas de l’OIV, organisation non gouvernementale internationale. Le loyer est pris en charge par la France en qualité d’État hôte de l’OIV, et il couvrira à terme la quasi-totalité des dépenses de la ville effectuées pour cette opération.

Chiffres clés du chantier

17 mois de travaux
Jusqu’à 60 ouvriers à l’oeuvre simultanément durant l’été 2024 129 fenêtres conservées et restaurées dont 3 du 18ème siècle
14,5 millions d’euros de travaux (maîtrise d’oeuvre comprise), presque intégralement remboursés par l’État qui versera des loyers à la ville de Dijon
2 millions d’euros financés par la Région Bourgogne-Franche-Comté

Entre tradition et innovation, Dijon renoue avec son prestigieux passé vitivinicole

Dijon est en pleine reconquête de son patrimoine viticole, autrefois florissant. Au 19ème siècle, le vignoble dijonnais couvrait plus 800 hectares, mais a décliné avec l'urbanisation et le coup de grâce des ravages du philloxera. La ville et la métropole se sont engagées dans un vaste projet visant à faire renaître ses vignobles historiques, tout en adoptant des pratiques modernes et respectueuses de l'environnement.

La renaissance d’un vignoble oublié

L'histoire de Dijon et du vin est ancrée dans une tradition séculaire qui remonte à l'Antiquité et s'est poursuivie jusqu'à la fin du 19ème  siècle. Les ducs de Bourgogne et la noblesse ont contribué à établir la réputation des vins locaux, souvent considérés au même niveau que ceux des appellations prestigieuses comme Gevrey-Chambertin. Cependant, un tournant décisif a eu lieu à la fin du 19ème siècle avec deux événements majeurs: l'urbanisation rapide de Dijon, notamment après l'arrivée du train, et l'épidémie de phylloxéra, qui a dévasté les vignobles dijonnais. Ce double choc a conduit à la disparition progressive des vignes autour de 1900, transformant les terres viticoles en zones urbaines. Pourtant, avant cette période, les vignobles de Dijon occupaient une place centrale dans la culture et l'économie locale. Des quartiers actuels de Dijon comme ceux des Perrières, de Larrey ou des Poussots étaient autrefois des terres viticoles réputées.

À SAVOIR

Le cépage dominant de la région, le pinot noir, a été imposé en 1395 par Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, lors de son célèbre décret interdisant la plantation de gamay en Bourgogne. Ce choix a jeté les bases de la réputation mondiale des vins de Bourgogne, qui perdure encore aujourd'hui.

Jusqu'à la fin du 19ème siècle, les vins de Dijon jouissaient d'une grande réputation. Des auteurs comme Courtépée au 18ème siècle vantaient les qualités exceptionnelles des vins issus des terroirs dijonnais. En parallèle, la place Bossuet accueillait dès le 13ème siècle un grand marché du vin, appelé l’Estape, où les vignerons du "Dijonnois" venaient vendre leur production. Ce marché, actif jusqu'en 1850 environ, avait ses propres règles et traditions, fixant la qualité et les prix des vins locaux.

Le renouveau des vignobles dijonnais, un siècle plus tard, s’inscrit donc dans une dynamique de redécouverte de ce patrimoine viticole oublié. L’histoire de la vigne à Dijon, marquée par des siècles de savoir-faire et de renommée, connaît un nouveau souffle avec des projets visant à racheter et remembrer des parcelles historiquement en AOC Bourgogne, qui n’étaient plus plantées ou dédiées à d’autres cultures que le raisin, pour les confier à des viticulteurs qui s’engagent à promouvoir des pratiques viticoles durables.

Dijon à la reconquête de ses vignes

Depuis les années 1980, et plus intensément à partir des années 2000, Dijon s'engage dans une reconquête ambitieuse de son patrimoine viticole, marquant une véritable renaissance de la vigne sur ses terres.

Face à l’urbanisation croissante, une démarche proactive a été entreprise par la ville et par la métropole pour préserver et revitaliser les terroirs historiques, avec un effort massif de replantation. Parmi les actions les plus emblématiques figure le rachat progressif de 200 hectares de terres viticoles, dont 60 sont déjà en production, une grande partie sur le plateau de La Cras, mais aussi sur les secteurs de la Rente Giron, du fameux Montre-Cul et des Valendons.

 

 À SAVOIR

Racheté par Dijon métropole, le plateau de La Cras était autrefois promis à l’urbanisation. En 2013, François REBSAMEN fait l’annonce de son acquisition par la collectivité, pour protéger les terres et conserver sa vocation agricole, devenant un symbole du renouveau viticole dijonnais avec un potentiel foncier en AOC Bourgogne très important.

L’acquisition et la réhabilitation de vignobles historiques, comme le clos des Marcs-d’Or, situé en plein cœur du quartier populaire de Fontaine d’Ouche, témoignent de cette volonté politique de redonner vie à des climats viticoles jadis prestigieux. Sur ce clos, environ 40 ares de chardonnay ont été plantés.

Cette renaissance viticole incarne la volonté de la ville et de la métropole de renouer avec son prestigieux passé tout en se tournant vers l’avenir, faisant de Dijon une cité viticole en plein essor et de la vigne et du vin un levier d’attractivité et de rayonnement national et international pour le territoire.

Dijon, terre de vin : vers une appellation « Bourgogne- Dijon »

Après un siècle d’oubli, l’âme viticole de Dijon renait. Dijon Métropole a impulsé un projet de territoire inédit sur le plan national, et dont la 1ère pierre fut le rachat du plateau de la Cras dès 2013.

La reconquête du vignoble du Dijonnais est le résultat d'une politique audacieuse initiée par François Rebsamen, maire de Dijon et président de Dijon métropole, qui a su insuffler une dynamique collective en mobilisant viticulteurs et exploitants locaux.

Sous son impulsion, un véritable élan a vu le jour pour restaurer les terroirs viticoles et redonner à Dijon sa place dans le paysage viticole bourguignon. Cette démarche s'est concrétisée par le dépôt d'une demande auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao) pour l'obtention d'une Dénomination Géographique Complémentaire (DGC) « Bourgogne-Dijon », portée par une association regroupant une trentaine de vignerons.

Cette appellation vise à reconnaître la qualité et l’authenticité des vins produits dans les communes de Corcelles-les-Monts, Daix, Dijon, Plombières-lès-Dijon et Talant.

Ce projet s'inscrit dans une vision stratégique de long terme qui associe préservation des paysages, valorisation du patrimoine viticole et promotion de pratiques agricoles plus durables. En obtenant cette DGC, les producteurs de vin locaux pourront s'appuyer sur une reconnaissance officielle qui renforcera leur compétitivité sur les marchés et positionnera Dijon comme un acteur incontournable dans la production viticole bourguignonne.

 

La Cité internationale de la gastronomie et du vin : une vitrine mondiale du patrimoine vitivinicole

La Cité internationale de la gastronomie et du vin de Dijon s'impose comme une destination phare célébrant l'art de vivre à la française, racontant les valeurs reconnues par l’Unesco du Repas gastronomique des Français et des Climats du vignoble de Bourgogne.

Inaugurée en mai 2022, elle propose un parcours immersif d'expositions, d’ateliers culinaires et œnologiques, des restaurants, un village gastronomique, au premier kilomètre de la route des grands crus.

Ce projet, fruit d'une réhabilitation urbaine ambitieuse, est une vitrine de l’excellence bourguignonne et un moteur de dynamisme économique et touristique pour la région. Avec l’installation du siège de l’OIV, Dijon s’affirme comme une place forte mondiale dans le domaine du vin et de la gastronomie.

L’union de la gastronomie et du vin plébiscitée par les visiteurs

Indissociable de la gastronomie française, le vin est célébré par la Cité internationale de la gastronomie et du vin dans ses dimensions culturelle, scientifique, historique et patrimoniale à travers l’ensemble des expositions, ateliers et commerces. La Cité relie ces deux piliers de l’identité bourguignonne. En mai 2024, elle avait accueilli plus de 1,5 million de visiteurs, attirant visiteurs locaux et touristes du monde entier.

« En décidant de s’installer à Dijon, l’OIV fait de notre ville un carrefour stratégique des débats internationaux sur l’avenir du secteur vitivinicole. L’Hôtel Bouchu dit d’Esterno, un joyau rare et remarquable du 17ème siècle installé au cœur d’un ancien quartier vigneron, est aujourd’hui entièrement restauré. Il symbolise à la fois l’ancrage historique de la vigne et du vin dans notre cité et son nouveau statut de capitale mondiale de la diplomatie vitivinicole. »
François REBSAMEN, maire de Dijon et président de Dijon métropole, ancien ministre.

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