Semur en Auxois, c'est un pari sur l'avenir au coeur d'un territoire rural... Rencontre avec Catherine Sadon

Semur en Auxois, c'est un pari sur l'avenir au coeur d'un territoire rural... Rencontre avec Catherine Sadon

Info+ :

 Mairie

7 bis Place de l'Ancienne Comédie

21140 Semur-en-Auxois

Téléphone : 03 80 97 01 11

 

Office de tourisme des Terres d’Auxois

2 Place Gustave Gaveau

21140 Semur-en-Auxois

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La mise en place d'un secteur sauvegardé permet de conserver, de restaurer, et de mettre en valeur l'ensemble du patrimoine urbain dans son périmètre. Cet enjeu autour de la protection du patrimoine architectural et urbain rassemble beaucoup d'acteurs du patrimoine mais doit surtout sensibiliser les habitants de la commune.

Origine du secteur sauvegardé ?

Les premières démarches concernant le secteur sauvegardé de Semur-en-Auxois datent de 1973... La cité médiévale de Semur-en-Auxois, depuis l'arrêté ministériel du 29 décembre En 1998 Semur en Auxois est classée “secteur sauvegardé”.
 

Quelles raisons ont fait de Semur un site à préserver ?

Un site naturel sensible et exceptionnel, classé ZNIEF (ZNIEF Zone Naturelle d’Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique)
Un patrimoine architectural et urbain très dense avec ses maisons médiévales, ses maisons renaissances, ses maisons classiques
Un patrimoine fragile qui nécessite une gestion attentive pour ce qui est des réfections de façades et de couvertures, des remplacements de menuiseries des châssis de toitures, des vitrines commerciales et des enseignes et des aménagements des espaces publics, rues et places.
Il convient donc de demander des autorisations de travaux, afin d’assurer une bonne maitrise des multiples interventions dans le souci de donner à la ville une harmonie et cohérence d'ensemble, tout en protégeant son patrimoine.


 

Qu'implique le secteur sauvegardé pour le citoyen ?

Tous les projets de travaux susceptibles de modifier l'état des constructions et des espaces – y compris les travaux d'aménagements intérieurs des immeubles, abattages d'arbres ou implantations de certaines essences, situés à l'intérieur du secteur sauvegardé doivent être soumis à autorisation spéciale de l'Architecte des Bâtiments de France. (art-L.313/L.313.3 du code de l'urbanisme)

 

Ce lavoir a été construit au 19éme siècle sur les rives de l'Armançon, à quelque distance du pont des Minimes. Il faisait en quelque sorte pendant avec le bateau-lavoir situé à l'autre extrémité de la ville.


06 avril 2021

Quatre tours imposantes, une collégiale aux allures de cathédrale, un musée étonnant, un bateau lavoir et une nature omniprésente avec ses sentiers qui courent jusque dans la ville… C’est Semur en Auxois, sentinelle de granit rose qui, de puits en ponts de pierres domine la vallée de l’Armançon. Avec ses 190 hectares, le secteur sauvegardé est le plus vaste de Bourgogne et le 6ème au niveau national. Une empreinte historique, un passé unique et aussi des industries de pointe, une vie culturelle intense… un tout dont Catherine Sadon, maire de la cité, souhaite tirer le meilleur pour hisser sa commune au plus haut niveau des petites villes où il fait bon vivre.

Deuxième mandat de maire pour Catherine Sadon, sur trois mandats municipaux, avec un score quasi doublé à l'occasion des dernières élections… soit 72% ce qui note aussi l'augmentation du capital sympathie après une période difficile ! Un score qui montre Semur en Auxois comme une commune redevenue apaisée alors qu'elle était en proie à des conflits permanents. Un sujet de satisfaction pour madame le maire et aussi les habitants.

«C'était assez pénible cette polémique permanente divisant tout le monde alors que je suis plutôt dans une posture fédératrice… autour d'un projet, autour de la commune et de la vie de la commune, et sans diviser en évoquant la façon dont je gère la collectivité… ou plutôt la commune. Car j'aime les gens et suis attentive à ce qu'ils vivent le mieux possible, qu'ils se sentent bien dans la ville et c’est nécessairement, beaucoup de temps passé à les écouter, aller à leur rencontre, comprendre ce qu'ils attendent ou quels sont leurs problèmes » !

Le ton est ainsi donné à notre échange avec Catherine Sadon qui fait passer l’humain avant toute chose car c’est aussi, mais pas seulement, pour cela qu’elle a choisi la fonction de maire… Une sorte d’essentiel, finalement, pour un maire qui s’est attachée à ne pas changer, à rester elle-même, à ne pas être la personnalité construite qui est celle du maire tout en gardant la foi dans la proximité avec les gens « C’est vraiment ce que vous évoquez en parlant de l’âme, de l’affectif… »

Et c’est bien ce qui porte l’édile semuroise pour développer la commune, et développer une ville comme Semur en Auxois est un exercice complexe entre construire l'avenir, en étant bloqué par le passé. Construire l'avenir c'est faire des projets, c'est conforter le rôle de la commune dans un territoire plus large. Préparer l'avenir d'une petite ville comme celle-ci fut, tout d’abord, un premier mandat essentiellement passé à réparer et pas seulement à rénover. Réparer le théâtre, réparer les remparts mais au-delà de ce qui est visible, il y a toutes celles moins visibles avec beaucoup, beaucoup de choses à reprendre « on n’a d’ailleurs pas fini de reprendre des dossiers pour lesquels il y demeure des dettes à rembourser depuis 20 ans ». Tout un passif à reprendre dans une ville patrimoniale comme Semur en Auxois reste, pour Catherine Sadon, un sujet d’énervement car avant de bâtir de nouveaux projets il faut prendre en compte tout ce passé et le passif qui va avec !

Une ville patrimoniale a un coût d'entretien extrêmement important. Semur en Auxois ce sont 190 hectares de secteur sauvegardé, avec la particularité d’être à la fois en patrimoine bâti et en patrimoine naturel. Ce qui la place derrière Laon, Besançon, Poitiers, Toulouse et Versailles, soit le 6ème du classement sur les 97 secteurs sauvegardés de France. Un secteur sauvegardé qui engloutit une partie des finances de la commune et une collégiale aux allures de cathédrale… mais qui n’est pas une cathédrale et dont l’entretien est donc dévolu à la commune, un deuxième gouffre un peu agaçant pour madame le maire. Certes l'état abonde quand même un petit peu pour la restauration de ces patrimoines uniques à hauteur de 40 ou 50%, le Département investit aussi, mais s'il reste 30 ou même ne serait-ce que 20% sur un coût des 3 millions… Cela affiche une grosse ardoise pour la commune tout de même !

Et puis il faut réparer aussi l’école des Remparts et aussi des travaux en attente ici et ailleurs qui font que Semur est un chantier permanent, avec des enjeux importants. Et si Catherine Sadon prend tout ceci très au sérieux, c’est qu’à ses yeux, le patrimoine historique de Semur est essentiel à son identité si particulière mais aussi un atout de premier ordre dans l’attractivité de la ville. Un caractère qu’il faut donc conforter pour le faire vivre pour que le cadre soit beau, certes, mais aussi vivant et qu'il donne envie de vivre ici !  « C'est pour ça qu'on fait des fêtes, de nombreuses manifestations et qu'on est en train de réfléchir à comment s'appuyer sur ce caractère patrimonial pour être un atout de développement. C'est ce qui est différenciateur aussi par rapport aux autres communes du territoire ».

Dans la façon dont madame le maire voit la vie municipale ou les points d'intérêts de la gestion de la ville nous évoquerons largement le volet économique. Semur ayant cette singularité de voir se côtoyer patrimoine médiéval, espaces naturels protégés et industrie de pointe. Car si l'image de Semur est une image patrimoniale, elle dispose d’une zone d'activité extrêmement étendue avec de très belles entreprises parmi elles la plus grosse entreprise du nord de la Côte-d'Or. En effet les Ateliers d’Armançon, le siège social est ici, avec plus de 700 salariés, est certes un peu secrète en termes de communication, mais on parle bien là de maroquinerie très haut de gamme, de renommée mondiale, premier sous-traitant de Louis Vuitton.

La ruralité comme territoire d’innovation !

Dans l’ordre ou le désordre, c’est aussi l’entreprise De Dietrich, qui conçoit des équipements pour l’industrie chimique et pharmaceutique permettant de produire des principes actifs pharmaceutiques, développe des projets très innovants…et recrute largement ces temps derniers, dans une démarche RSE, c’est-à-dire des recrutements ouverts à tous dans le respect des différences et des compétences.

Avec ces deux entreprises, ce sont des implantations industrielles performantes et de pointe dans un territoire rural. On citera bien sûr, Bon Vivant et De Kroes Feuilletage travaillant main dans la main sur un principe fort sympathique… considérant l’apérocomme une institution, la fabrique de biscuits apéritifs salés et sucrés partant du constat qu’en France à chaque seconde, 61 apéros sont potentiellement en train d’être partagés » donna naissance à Bon Vivant qui met en avant des producteurs régionaux et locaux.

« Avec Bon Vivant, qui lui aussi est en train de se développer et de mettre en place des modes de fabrication très innovants, on est, dans tous ces cas tout repose sur le triplé innovation, qualité et performance… Tout comme avec Mistral qui se développe, rajeunit une image beaucoup plus moderne et très attractive avec des productions qui s'appuient sur des produits locaux de qualité. Un savant compromis entre une construction récente mais c'est quelque part un produit patrimonial parce que lié à l'image de SemurNous avons aussi Procovès qui a le privilège de fabriquer des gants avec la fibre Diamond Technology, ce qui fait de l’entreprise une des huit entreprises mondiales leaders dans le domaine de la protection de la mainC’est aussi Kreiss innovant dans l’énergie solaire, Dream dans le domaine de la musique numérique et de nombreuses autres entreprises générant environ 1500 emplois sur la seule zone d’activité de Semur où se situe également le GRETA ».

 

Côté services publics Semur n’a pas à rougir !

Catherine Sadon, qui est présidente BFC de la Fédération hospitalière de France, est très attentive à l’offre de santé sur un territoire rural en mal d’attractivité. Le centre hospitalier est un élément phare de la commune comme premier employeur de la ville qui a la chance un centre hospitalier à part entière avec des urgences, une maternité, des services de chirurgie, de médecine et d’imagerie médicale avec IRM ainsi qu’un hôpital psychiatrique avec le service de pédopsychiatrie.

C’est aussi un et l’EPHAD et l’IFSI (institut de formation de soins infirmiers). En prolongement de tout cela, mais qui rien à voir avec l’hôpital, et c'est un des sujets de très grande satisfaction pour madame le maire, la Maison de santé a été créée il y a un an, ce qui représente environ 25 professionnels de santé qui voient grandir leurs rangs avec l’arrivée de deux nouveaux médecins généralistes portant à 4 l’effectifs de jeunes médecins. Un point capital autant qu’essentiel, un véritable atout d’attractivité au cœur du monde rural.

Concernant les services rendus au public, on compte à Semur en Auxois une Maison France Service labellisée il y a un an, avec une quinzaine de service présents, qui accueille plus de 800 personnes par an, répondant à une attente importante de la population en termes d’accompagnement, tant sur l’accès aux droits que celui au numérique. Ce sont aussi plusieurs établissements scolaires avec 1 lycée, 2 collèges, 5 écoles publiques et privées, une Maison familiale et rurale. Une offre importante renforcée par la présence du GRETA dans le domaine de la formation continue.

La ruralité c’est pas une maladie !

Avec la candidature de Semur au Territoire zéro chômeur de longue durée, Catherine Sadon livre son sentiment « là aussi c'est dans un territoire avec toute sa ruralité …. Je n’aime pas ce mot là que je trouve péjoratif … alors qu'en fait on doit être comme les autres et on vit ici comme en ville, voire mieux qu'en ville…voilà… donc on a exactement tout alors c'est plus difficile peut être que dans certains territoires urbains mais il y a tellement d'avantages à vivre ici mais il faut se battre tout le temps, pour tout et rien n'est acquis car il faut se justifier en permanence. On applique les mêmes règles partout y compris ici, mais c’est en permanence des bâtons dans les roues… que ce soit sur les questions d'urbanisme, d’artificialisation des sols ou je ne sais pas quoi !! Mais si on veut se développer il faut bien sinon on va continuer de vivre repliés sur soi en disant que tout va mal … cependant on ne va pas hésiter à développer des banlieues auprès des grandes villes ce qui ne pose pas de problème ! »

Entre nature et culture, le cœur de madame le maire ne balance pas, c’est les deux depuis toujours !

On parle de véritable programmation culturelle dans un théâtre rénové, mais aussi dans la ville au plus près de tous. Une politique aussi culturelle qui s'adresse à tous et pas seulement à une élite intellectuelle. La culture a rendez-vous aux quatre coins de Semur et notamment dans les écoles car au programme CLEA permettant de favoriser l'accès à la culture et à l'éducation artistique à travers la mise en place de projets artistiques au bénéfice des élèves des écoles du territoire semurois qui vont pouvoir, ainsi, se constituer un véritable parcours d'éducation artistique et culturelle. « On a une vraie politique culturelle, à la fois en direction du grand public avec des programmations de qualité au théâtre, des scolaires et bien sûr des publics plus éloignés avec le centre social où beaucoup de choses passent aussi pour amener au spectacle des publics qui n'ont pas l'habitude… La vie culturelle est un élément de qualité de vie et d’attractivité du territoire et qui correspond à l'image de la ville et qui doit être largement partagée » !

Un glissement culture nature se fait aisément, car l’équipe municipale (fort rajeunie) prend les questions environnementales très au sérieux dans un territoire ou l'environnement a une place très importante, ce qui se lit dans le PNSV (Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur) concernantle secteur sauvegardé où la partie naturelle est très importante, ce qui induit une action forte en faveur de l'environnement, un capital à préserver ! « On a déjà fermé la lumière la nuit, ensuite on se concentre sur la question vélo, le travail sur une coulée verte, l'approche des jardins partagés pour en augmenter le nombre et réflexion aussi sur du maraîchage pour installer un exploitant. On travaille aussi sur le stationnement en centre-ville pour l’améliorer. Et notre gros sujet du moment est la candidature, auprès de l’Office français de la Biodiversité, pour participer à la création de l’Atlas de la biodiversité communale. »

D’autre part, la commune travaille beaucoup à l'amélioration des bâtiments pour diminuer la consommation d'énergie, que ce soit par rapport à l’économie d’énergie ou par rapport aux dépenses de fonctionnement. Par exemple la commune a déjà remplacé les fenêtres de la mairie qui étaient de vraies passoires et va e remplacer aussi les chaudières « communales » car l'une des caractéristiques de la commune est d'avoir une soixantaine de bâtiments. Il faut donc améliorer cet état c'est une priorité étalée sur plusieurs années « parce qu’on ne peut pas faire tout d'un coup mais en tout cas c'est un texte orientation qui est très important… nous avons aussi éteint l’éclairage public la nuit ».

Catherine Sadon, en maire déterminée, fondamentalement développeuse et qui ne lâche jamais, se réjouit que Semur ait été retenue dans le cadre des Petites Villes de Demain. D’où pourrait découler le renforcement du rôle de centralité de Semur au bénéfice de l’ensemble du territoire de la communauté de communes des Terres d’Auxois. De nouvelles formes de financements permettraient de mettre en œuvre des projets contribuant à donner et à conforter la ville dans son rôle de centralité et à rayonner sur l'ensemble du territoire… Une belle ingénierie financière en perspective !

La journée se poursuit, et dans la ville pluvieuse et fraiche, Catherine Sadon, attachée aux traditions de sa ville, évoque un grand regret…avoir dû annuler les grandes fêtes qui caractérisent Semur en Auxois… Les fêtes médiévales et la les fêtes de la Bague. Une sorte de crève-cœur ! « C'est un peu la mort dans l'âme que j'ai pris cette décision j'ai repoussé, j'ai repoussé, j'ai repoussé puis à un moment c'est plus possible …on n’aurait même pas le temps préparer les fêtes et puis c'est prendre le risque de se faire arrêter net par monsieur le Préfet … mais mais on sent que ça manque parce que Semur a une tradition festive qui est bien là, cette tradition de convivialité, d'accueil, de grandes fêtes et c’est aussi une des caractéristiques de la ville ».

 

Pour notre édile viscéralement attaché à sa ville avec ses ruelles, ses chemins qui courent de la campagne au cœur de la cité, avec sa collégiale, ses coins cachés et charmants le point « magique » est le belvédère René Cassin d’où on voit toute la ville ! Pour Catherine Sadon, Dame de chemins et de jardins, le moment de la semaine qui lui permet de se livrer à son exercice favori LA RENCONTRE avec les semurois, reste le marché du dimanche, avec ses producteurs locaux, ses associations qui partagent conseils et savoir-faire, ses odeurs de campagne au cœur de la ville… cet espace vivant et coloré qui est une des âmes de cette belle cité médiévale. Le moment à ne pas manquer où on profite aussi de beaux intermèdes musicaux... The palce to be, en quelque sorte pour se retrouver, papoter… Bref un vrai bon moment à partager, un vecteur de communication, l’endroit où il faut être pour trouver de bons produits ou croquer une crêpe !

 

Edifiée aux XIIIe et 14ème, l’une des églises les plus raffinées du gothique bourguignon veille sur la ville médiévale en compagnie de tout un petit monde grotesque accroché à ses corniches. Le porche à pinacles flamboyants, les chapelles rayonnantes de l'abside et les reliefs du tympan de la Porte des Bleds sont remarquables tout comme la décoration intérieure, le mobilier et les vitraux. Les grands orgues classés datent du 18ème.

Édifié à la fin du XIIIème siècle, le donjon de Semur est constitué par un ensemble de 4 tours massives, réunies par de hautes murailles disparues, les courtines, destinées à fermer l'accès à l'espace situé à l'intérieur du méandre de l'Armançon. Forteresse appartenant aux ducs de Bourgogne, le donjon de Semur constituait, au Moyen âge, une place forte quasi imprenable.

 

Marie Quiquemelle

Crédits photos "Madame le maire sur le terrain" ©Mairie de Semur en Auxois

Crédits toutes autres photos ©Marie Quiquemelle, tous droits réservés

 

 

Entreprise RougeotEntreprise Rougeot, Un partenaire engagé pour les communes et leur média 
L’histoire de l’entreprise Rougeot s’inscrit au plus près des communes du département. Sur le modèle de leur père, Hubert Rougeot, Christophe et Thierry s’engagent dans leur territoire. Quand leur aîné était élu local, les deux dirigeants choisissent de soutenir des actions de mécénat auprès des clubs sportifs ou d’associations culturelles. Pour l’entreprise Rougeot, c’est une façon concrète de participer au bien-être du territoire. Avec ses différentes activités, l’entreprise intervient du nord au sud de la Côte-d’Or, aux côtés des collectivités de toutes tailles pour les accompagner dans la réalisation de leurs projets. Pour combiner ses différents aspects, l’entreprise Rougeot poursuit son implication en choisissant d’accompagner l’Echo des Communes. Son soutien s’est naturellement tourné vers la rubrique "Au cœur de communes", destinée à valoriser le territoire et ses acteurs publics.www.rougeot-tp.com

 

 

 

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