Fixin


Le village dans les vignes


Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON


© André Beuchot

Maire ARZUR André
Adresse 21 Route des Grands Crus - 21220 Fixin
Tél. 03 80 52 45 52 Fax 03 80 51 09 64
Email mairiedefixin@wanadoo.fr
Site mairiedefixin.fr
Population 768 habitants. Les Fixinois
Altitude 292 mètres Superficie 1012 ha
Situation géographique Fixin est situé à 10 km au Sud-Ouest de Dijon et à 12 km au Nord de Nuits-Saint-Georges.
Communauté de Communes CC de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges
Canton LONGVIC

Je suis fan de ma commune

Présentation

Fixin, situé au pied de la Côte Bourguignonne, est l'une des toutes premières étapes de la Côte de Nuits, sur la Route des Grands Crus.

Plus d'infos

Voir le site internet de la commune : www.mairiedefixin.fr

Tourisme & Patrimoine

Eglise Saint-Martin, XII-XIIIè siècles.
Eglise romane de Fixey, Xè, XIè et XIIè siècles, classée au titre des Monuments historiques." Sur les hauteurs du hameau de Fixey, cette petite église romane consacrée à Saint-Antoine possède un joli clocher carré coiffé de tuiles vernissées noir et or."
Le Manoir de La Perrière.
Le Four Banal de Fixey de plus de 500 ans.
Le Musée Noisot ; Musée dédié à Noisot, soldat de Napoléon : Ouvert du 15 avril au 18 septembre, les samedi et dimanche de 14 h à 18 h.
Le réveil de Napoléon ; sculpture réalisée en 1847 par François Rude.
Le lavoir.

La Combe de Fixin se termine par une paroi rocheuse, "le bout du monde". Un escalier appelé les Cent Marches fut aménagé en 1840 pour rappeler les Cent jours, période de retour au pouvoir de Napoléon entre la première et la deuxième Restauration en 1815. Cet escalier débouche sur le plateau. (www.mairiedefixin.fr)



Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON


UN CURIEUX EN BALADE

Le 17e opus d’un infatigable découvreur !
Passionné par son département, André Beuchot livre un formidable inventaire de ses communes, hameaux, histoires et légendes...
Marcheur, chercheur de pierres légendaires, randonneur au long cours André Beuchot sillonne, inventorie l’histoire des chemins, des pierres et des centaines de villages et de hameaux côte d’oriens... Un de ces oiseaux rares et discrets ? Allez savoir... en tous cas Un curieux en balade est un ouvrage à lire, à conserver comme les anciens almanachs qui font toute la saveur de nos villes et campagnes !


CONTACT
Éditions André Beuchot :
8 rue Pierre de Saint-Jacob 21000 DIJON
beuchot@numericable.fr



Un curieux de passage à Fixin


Commune de la "Côte" donnant son nom à un vin d'appellation d'origine contrôlée, le "Fixin", qu'il faut penser à prononcer "Fissin". On produit des vins rouges solides, charpentés, tanniques et de bonne garde. Les plus réputés restent les Hervelets, les Arvelets (cours d'eau dans les dialectes celtiques), le Clos du Chapitre (ici siégeait parfois un chapitre de chanoines qui, laissant les aligotés aux curés de campagne, se réservaient ce premier cru). Ajoutons le Clos Napoléon qui butte contre les maisons du domaine dissimulant une petite grotte de rocaille. N’oublions pas le Clos de la Perrière dont le manoir XI-XIIIe, ancien cellier cistercien des moines de Cîteaux, conserve de belles caves dotées d'un vieux pressoir XIIIe. Notons cependant que la tour ajoutée au XIXe, provient d'une ancienne maison des Chartreux située à Dijon, à l'emplacement des Galeries Lafayette.
Le bourg accueille l'église Saint-Martin du XIVe, ouverte sur le côté et entourée de belles pierres tombales. Aujourd'hui protégée par un clocher en forme de tour fortifiée, elle fut fondée en 1172. On aime rappeler que durant sa construction, Louis VII "Le Jeune" exempta les habitants de tailles et d'impôts. Bien des vignerons s'installèrent alors à Fixin et les travaux traînèrent évidemment en longueur.
L'ancienne magnanerie réhabilitée de la baronne Liégeard, témoigne de l'industrie séricicole d'autrefois, quand en 1845, sept hectares de muriers permettaient d'obtenir 700 kg de cocons de belle qualité. De son côté, la mairie-école prend des allures de petit château. En face, la "Grosse Maison" arbore une échauguette. Elle côtoyait la tour ronde voisine ayant servi de pigeonnier qui, gênant la circulation, fut déplacée après vingt années de procès, quelques dizaines de mètres plus loin. De l'autre côté de la rue, un domaine d'allure discrète cache une façade côté parc avec tour ronde et toiture aux tuiles colorées, le vaste parc accueillant une petite pièce d'eau. Tout à côté, le domaine voisin reçoit des charpentes débordantes style belle époque. Plusieurs autres belles propriétés comme celle de Noisot, parfois avec des parcs arborés, et de vieilles maisons XVe se cachent dans Fixin. La visite de la cité nous fait encore découvrir un pigeonnier carré et le beau lavoir XIXe en demi-cercle. L'eau de la source de Chaulois qui l'alimente possèderait d'étranges vertus. Très ferrugineuse, elle était recommandée pour combattre "les obstructions et maux d’estomac". Enfin, le four banal comme la halle ont disparu, remplacés par un abribus.
Claude Noisot est une des personnalités les plus célèbres de Fixin. Doué en dessin et comptabilité, il devient sous-économe de l’hospice de Dijon en 1808. Il a 21 ans. Lors de la conscription par tirage au sort, son numéro le désigne pour partir. Le marquis de La Perrière à Fixin, propose de lui payer un remplaçant. Il refuse et intègre le régiment de fusiliers de la Garde. Blessé à deux reprises, Claude Noisot a suivi l’Empereur sur tous les champs de bataille. Il est fait chevalier de la Légion d’Honneur. Le 31 mars 1814, Napoléon abdique à Fontainebleau. Le 11 avril suivant, lieutenant en second, Noisot va le suivre à l'île d'Elbe. Il sera sous-adjudant-major en janvier 1815. Le 1er mars 1815, Napoléon quitte son exil. Claude Noisot est nommé lieutenant en premier. Mais Waterloo, le 18 juin 1815, sonne le glas de l’aventure des Cent Jours. La Garde est licenciée. Claude Noisot revient à Auxonne. Il a 28 ans et touche la demi-solde de soldat d’infanterie. En décembre 1820, nombre d’officiers sont mis d’office en congé illimité. Il fera partie du lot. Le 18 juillet 1830, il épouse Nicole Françoise Zacharie Viénot, née à Premeaux, de vingt ans son ainée, deux fois veuve. Elle possède un domaine à Fixin et de la fortune. Il se fait vigneron. Son épouse possède des parcelles près du manoir de la Perrière. Il en achète d’autres, les réunit pour former le Clos Napoléon. Il achète également un grand terrain, fait aménager un parc avec de mini-fortifications inspirées de Longwood à Sainte-Hélène et construit un musée à la mémoire de l’Empereur en s’inspirant du style méditerranéen de l’Ile d’Elbe. Le musée conserve des objets lui ayant appartenu ou acquis par lui, qui sont tous en rapport avec Napoléon. En 1840, il fait creuser au fond de la combe Cent Marches (qui sont en fait 101 !), estampillées par une plaque en fonte portant l'aigle impérial inséré dans la paroi rocheuse pour évoquer les 100 jours d'exil de Napoléon. Le 15 décembre 1840, Claude Noisot participe à la translation des cendres de Napoléon aux Invalides. Il y fait la connaissance du sculpteur Rude, bourguignon et bonapartiste. Devenu ami de Noisot qui l'invite à Fixin, Rude accepte la commande d'un monument à la gloire de Napoléon en 1844 à des conditions exceptionnelles. Il ne se fera rembourser que le montant de ses frais. Sa première idée était de représenter l'empereur mort, veillé par l'aigle impérial. Mais il adopte finalement un autre parti, riche de symboles : les yeux clos, Napoléon engourdi par la mort se réveille jeune, immortel, ses chaînes brisées, prêt à saisir son épée, son aigle foudroyé à ses pieds. Sa couronne civique porte les noms des batailles de la campagne d'Italie (Rivoli, Lodi, Campo Formio…). Noisot voyait en Napoléon le "Christ moderne". C'est donc le jeune général de la République qui reprend vie. La première esquisse de Napoléon, mort et veillé par un aigle, est moulée puis fondue en bronze par Thiebaut Frères pour le Musée de Dijon. L'aigle mort suggère le destin malheureux de la politique extérieure de Napoléon et évoque Waterloo. Le musée d'Orsay pour sa part, conserve la statue en plâtre, modèle original de l'œuvre définitive fondue par Eck et Durand. Commencée en 1844-45, la statue fut achevée en 1846. L'ensemble est inauguré le 19 septembre 1847. Musique militaire, hommes en grand uniforme, tirs des canons offerts par le général Raymond, rien ne manque à la cérémonie. Les invités les plus prestigieux sont installés sur la terrasse crénelée de la maison du parc Noisot. Un grand banquet a lieu dans le manoir de la Perrière. Vingt mille personnes convergent ce jour-là à Fixin où les attendent plusieurs restaurants provisoires sous des tentes, 2 bals champêtres et moult attractions. Napoléon III vient visiter le monument le 13 août 1850, suivi d’une foule extrêmement nombreuse pour laquelle on aménage une station ferroviaire provisoire au lieu-dit "En Meuvin". Ce jour-là, Claude Noisot se fait la même tête que Napoléon III, moustache et barbichette, comme ce sera longtemps l'usage. En 1855, Rude disparaît. Noisot veut concrétiser le souvenir de l'ami et de l’artiste. Il demande à Paul Cabet, sculpteur de Nuits-Saint-Georges, élève de Rude, qui était aussi son beau-père, de réaliser un bronze installé deux ans plus tard. Début avril 1861, Noisot lève son verre au marché de Dijon en l’honneur de l’Empereur. Or, un voisin de table se permit d’attaquer Napoléon. Une vive altercation s’ensuivit, allant jusqu’à une provocation en duel. Noisot ayant 74 ans, ses amis lui conseillèrent d’abandonner l'idée. À son retour à Fixin, il s’alite après cet affront et huit jours après, meurt d’une crise cardiaque dans la maison édifiée au XVIIIe et héritée de sa femme. Là encore, il avait fait sculpter un aigle impérial sur la clé de voûte d’une chambre au premier étage. Son testament, daté du 20 mars 1856, contient des donations aux plus nécessiteux de Fixin et à ses vignerons, c’était sa priorité. Il lègue le monument à la commune ou à celle d’Auxonne si elle refuse. Le gardien sera choisi parmi les enfants de Fixin ou d’Auxonne, vieux soldat décoré de la légion d’Honneur. Il devra retirer son chapeau en entrant sur la plateforme où "repose" l’Empereur, en se gardant d’intimer cet ordre aux visiteurs qui devront être traités avec la plus grande politesse. Il lègue deux rentes à la commune, l’une pour l’entretien du parc Noisot, l’autre pour celui de l’escalier des cent marches. Pour conclure, il faut rappeler que Napoléon Bonaparte ne mit jamais les pieds à Fixin.
Fixin demeure également célèbre pour sa combe bordée de belles falaises calcaires, terrain d'escalade réputé. Si le "Pic Pointu" impose une traversée au-dessus du vide, celle-ci reste facile, contrairement aux voies du "Mur des Lamentations", presque entièrement en dévers, près des 100 Marches. La génération des nouveaux grimpeurs réussit l'ascension plusieurs passages en "libre", c'est à dire sans équipement autres que les prises naturelles. À l'entrée de la combe, on déniche en contrebas un petit lavoir sans toit en rive gauche. Plus loin, en rive droite, on croise une source appelée autrefois "fontaine du Parc" et décorée de rocailles.
Sur le plateau se trouve la rente de Chamerey, convertie en refuge d'étape pour les grimpeurs et les randonneurs, dont la première trace écrite remonte à 1285. Une charte de Saint-Etienne révèle qu'elle aurait des origines gallo-romaines, le lieu étant connu sous le nom de "Villa Camariacus" depuis longtemps. Plus tard, la liste de plusieurs propriétaires de 1598 à 1757 nous apporte quelques informations. On apprend que la ferme et ses dépendances appartenaient à une famille Dijonnaise aisée qui la louait à des paysans-éleveurs chargés d'exploiter les terres. Au départ, Chamerey ne comptait que les granges aujourd'hui en ruine et un modeste bâtiment d'habitation. Un pigeonnier fut ajouté à l'entrée à gauche où à la fin du XVIIIe, un nouveau bâtiment fut édifié. Avant la Révolution, Chamerey ressortissait de la justice seigneuriale de Gevrey. Les forêts environnantes fournissaient du bois, du charbon de bois et de la chaux. Sur les hauteurs de la ferme, au nord-ouest, on déniche encore dans les bois près de la limite de commune, d'anciens fourneaux à charbon de bois rouillés. D'autres fourneaux sont visibles dans la combe, au sud-est.
La ferme de la Fortelle, autrefois rente de la Fortelle, cache ses derniers pans de murs dans un bosquet. Les documents retraçant son histoire sont rares. On lit dans une notice historique de 1847, que Simon de Saint-Belin fit bâtir en 1587, au milieu d'une pièce de 69 journaux, ce qui correspond à 23 à 24 hectares, la métairie de la Forestelle ou de la Fortelle. Cet écart, situé en montagne, à peu de distance des bois, dépend ainsi que la rente de Chamerey de la commune de Fixin. Il "ressortissait" avant 1789, de la justice seigneuriale de Gevrey.
Deux Dames mystérieuses font partie du patrimoine local. La Jeannette ou Dame Verte, attirait les passants dans l'eau en fredonnant des mélodies envoûtantes, les enlaçait dans ses bras et les noyait. La Dame Noire elle, apparaissait sur le mur du cimetière où elle s'asseyait. On raconte à Fixin que faire son vin et aller à la messe n’était pas facilement conciliable au XVIe. Le curé décida alors de se plier aux exigences des vignerons et de décaler l’heure de l’office en échange d’une provision de bon vin. Chacun défila à tour de rôle, remplissant le tonneau d’autant de parts qu’il y avait de membres dans la famille. Hélas, par avarice ou économie, chacun remplaça sa ration de vin par de l’eau, pensant que cela ne se sentirait point. Inutile de vous conter la colère du prêtre qui traita haut et fort les habitants de huguenots, surnom qui leur resta au fil des siècles suivants.

Fixey. Le village est maintenant intégré à Fixin, alors que l'histoire des noms nous donne Fixin comme un diminutif de Fixey (Qui se prononce Fissey). Les rôles ont été inversés. Le hameau conserve son four banal, voisin d'un puits surmonté d'une pompe. Un peu plus bas, un vieux domaine a gardé dans son parc arboré, une grotte de rocaille. Comme celle de Fixin, la magnanerie crée par M. Darras, a été transformée en habitation. Fondée à Dijon, elle fut transférée ici en 1848 et produisit jusqu'à 1 500 kg de cocons, ce qui en faisait une des plus importantes magnaneries du département.
On pénètre dans la petite église romane X-XI-XIIe bien connue qui domine le bourg, par la petite porte du clocher en tuiles vernissées et on découvre à l'intérieur la belle charpente qui porte le lourd toit de laves.
Derrière le monument s'ouvre une belle combe bordée de roches. Moins célèbre que celle de Fixin, elle ne manque pourtant pas d'intérêt. Tout d'abord, le flanc nord, se borde de belles falaises calcaires équipées pour l'escalade "aventure". L'autre flanc est également bordé de falaises, mais la mauvaise orientation ne les prédispose pas à cette activité. Le rocher de médiocre qualité, envahi par la végétation, est percé de petites grottes. La plus importante, toujours modeste, surnommée le Cachot Mirbel, demandera néanmoins l'usage d'une corde. Certaines servirent d'abri au néolithique.
Dans le bois du Moulin à Vent, on trouve un imposant oratoire en rocaille abritant une Vierge. Plus loin au nord-ouest, au bord de la limite de commune, on déniche à l'altitude 483 m, les ruines d'une maison aux épais murs de pierres sèches. Les environs gardent la trace d'une intense activité visible dans le sous-bois.
André Beuchot






© André Beuchot


Vie Sociale

Ecoles Maternelle et Primaire. Les écoles de Fixin et Brochon font partie d'un regroupement pédagogique : le RPI Brochon/Fixin. Les classes sont réparties comme suit : Petite et moyenne sections, Mme Prin (Directrice maternelle), à Brochon. Grande section et cours préparatoire, M. Machin, à Fixin. Cours élémentaires 1 et 2, M. Colin, à Brochon. Cours moyens 1 et 2, M. Baillet (Directeur primaire), à Fixin.

Economie & Développement

Fixin est l'un des premiers villages de la Côte de Nuits, à son extrémité Nord. Ses vignobles situés sur un sol argilo-calcaire avec des marnes, sont pour la plupart exposés à l'Est, exposition qui fait la qualité des grands Bourgognes.
Actuellement le vignoble de Fixin se répartit ainsi :
Les vins d'appellation Fixin Premier Cru sur 18,50 ha.
Les vins d'appellation Village (Fixin ou Côte de Nuits) sur 85 ha.
Les vins d'appellation Bourgogne sur 30 ha environ.
.JOLIET ET FILS
Manoir de la Perrière
tél : 03 80 52 47 85

.MAISON DEFRANCE Michel
Caveau St Vincent
38 Route des Grands Crus
tél : 03 80 52 84 67

.DOMAINE GELIN Pierre
20 Rue de la Croix Blanche
03 80 52 45 24

.DOMAINE Armelle et J.Michel MOLIN
Route des Grands Crus
03 80 52 21 28

.DOMAINE MOINE CHAMPY
52 Route des Grands Crus
03 80 51 29 61

.DOMAINE DU CLOS ST LOUIS
Philippe BERNARD
4 Rue des Rosiers
03 80 52 45 51 .

MONIOT Gilbert
19 Rue du Chapitre
03 80 52 84 63

.DOMAINE DURAND Père et Fille
5 Rue Jules Violle
03 80 52 45 28

.DOMAINE BERTHAUT
Vincent et Denis
18 Rue Noisot
03 80 52 46 14

.DOMAINE Philippe NADDEF
30 Route des Grands Crus
03 80 51 45 99


Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.


CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial


En tant qu’élus, vous considérez sûrement le développement et l’animation de vos territoires comme des priorités de votre mandat. Face à la diversité des enjeux, la CCI Côte-d’Or-Saône-et-Loire s’est donc organisée pour vous apporter son expertise, ses outils et ses réseaux dans vos projets de développement socio-économique et territorial. Notre ambition est de travailler à vos côtés, dans un objectif partagé de développement, en s’appuyant sur nos équipes de terrain, notre réseau de partenaires, notre connaissance fine des territoires et notre relation de proximité avec les entreprises... LIRE+



Que faire ?

Visitez le Parc Noisot ; trois sentiers avec des panneaux d'interprétation vous informeront sur la flore, la faune et les phénomènes naturels.
Très belle combe.
Pour les amateurs d'escalade : un site magnifique : les falaises de Fixin.


Fan de ma Commune

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