Plombières-lès-Dijon


© André Beuchot


Côte-d'Or Tourisme © F. BONNARD


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© André Beuchot


Le port

Maire Monique BAYARD
Adresse - 21370 Plombières-lès-Dijon
Tél. 03 80 43 52 36 Fax 03 80 43 85 67
Email mairie@mairie-plombieres21.com
Site http://www.plombieres-les-dijon.fr
Population 2926 habitants. Les Plombièrois(es)
Altitude 270 mètres Superficie 1621 ha
Situation géographique Côte d'or
Communauté de Communes Dijon Métropole
Canton TALANT

Je suis fan de ma commune

Présentation

Traversée par l'Ouche, la commune de Plombières-lès-Dijon est située à 6 km au Nord-Ouest de Dijon, aux portes de la Vallée de l'Ouche.

Plus d'infos

www.grand-dijon.fr

Tourisme & Patrimoine

Eglise Saint-Baudele, XVè siècle.
L'église paroissiale dédiée à Saint-Baudèle se remarque par la présence d'un superbe clocher octogonal couvert de tuiles vernissées, classé Monument historique, très caractéristique de la région de Dijon.


Côte-d'Or Tourisme © F. BONNARD

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Le port


Un curieux de passage à Plombières-lès-Dijon

Un curieux de passage à… PLOMBIÈRES-LÈS-DIJON

Aux portes de Dijon, une multitude de curiosités nous attend. Le territoire de la commune fut occupé il y a fort longtemps comme en témoignent la découverte d'un petit établissement gallo-romain et d'un habitat du Ve avant notre ère dans la Peute combe, lors des travaux de la Lino.
Remplaçant un édifice du XIIe abritant des reliques de saint Baudèle, l'église Saint-Baudèle XV-XVIe, fut remaniée deux siècles plus tard. Son beau clocher octogonal en tuiles vernissées dont les faces sont différentes les unes des autres, ne doit pas faire oublier son élégant portail néo-Renaissance reconstruit au XIXe. Après la Révolution, l'église fut mise en vente en 1793 puis devint le Temple de la Raison. Il faudra attendre le XIXe pour la réhabiliter, reconstruire les trois nefs néo-gothiques et la doter de beaux vitraux. Plombières-lès-Dijon possédait jadis deux statues de saint Baudèle, l'une en bois, l'autre en pierre. Mais laquelle avait les faveurs du seigneur ? Pour le savoir, on organisa une procession jusqu'à l'Ouche où l'on jeta les deux représentations. On ne garda que celle qui, sauvée par Dieu, surnagea ! Selon une autre légende, saint Romule aurait déposé dans la chapelle de Plombières, au VIIe, des reliques de Saint-Baudèle martyrisé à la fin du IIIe à Nîmes. Saint Baudèle serait enfin, à l'origine du sobriquet de "baudets" donné aux habitants par leurs voisins de Talant. À propos de baudet, notons qu'un âne fut pendu en 1407 pour avoir tué un enfant !
Au XVIIIe, le nombre de maisons de maître et maisons de plaisance était si important qu'on surnommait la ville le "Petit Versailles". Face à la mairie au fier fronton édifiée au milieu du XIXe, se trouvait même "l'Hôtel du Petit Versailles". On repère toujours ces riches demeures en flânant au fil des rues, et voici les principales.
Construite au début du XVIIIe, la résidence des évêques de Dijon, dont monseigneur de Vogüe, est protégée par de belles grilles en fer forgé. Couverts de tuiles vernissées, les bâtiments s'organisent autour de la cour d'honneur tandis qu'un vaste parc s'étend jusqu'à l'Ouche. À la fin du XIXe, le domaine est complété par des constructions supplémentaires. Après la Révolution, la propriété fut transformée en séminaire en 1821. Pendant la guerre de 1870, le séminaire servit d'hôpital militaire. En avril 1871, remis en état, il rouvre ses portes jusqu'en 1911, accueillant entre autres, le célèbre Chanoine Kir. La tradition affirme que dès ces années-là, en observant la rivière, il imagina la possibilité de créer un lac. Le séminaire sera ensuite transféré à Flavigny-sur-Ozerain. La propriété est alors acquise par le département. En juin 1914, les locaux sont prêtés à l'Administration de la Guerre qui y installe un dépôt, un hôpital-militaire franco-américain puis un centre d'instruction de l'artillerie. L'armée utilise la chapelle comme entrepôt de ciment ! En 1946, la compagnie CRS 81 s'y installe, puis en 1962, la compagnie CRS 40. Enfin, en 1989, le ministère de l'intérieur rachète les bâtiments au département. Malgré ses diverses occupations, la résidence a conservé de belles boiseries et des décors en stuc.
Séparée du château des évêques par le bief de l'Ouche, la maison des Gauthier, Conseiller du Roi Louis XIV, Maître en la Chambre des Comptes, fut dressée au XVIIe. On raconte qu'en 1674, tandis que Louis XIV guerroyait en Franche Comté, le Dauphin âgé de 13 ans séjournant à Dijon, gagna Plombières pour visiter la maison Gauthier. Très honoré Jean Gauthier, fit dresser dans le parc un obélisque en pierre pour perpétuer le souvenir de cette visite. Le monument sera détruit en 1791. Pierrette Gauthier, sœur de Jean, hérita du domaine en 1701 et fit édifier une chapelle. En 1848, un projet d’installation des nouvelles écoles dans les bâtiments est envisagé puis, trop couteux, abandonné. La propriété rachetée par Jules Grenier Gustelle en 1858 est profondément modifiée, une nouvelle maison bourgeoise remplaçant une partie des constructions. Une grotte de rocaille servant de salon d'exposition donna son nom à un chemin, le "chemin de la Grotte". Aujourd'hui, l'ensemble comprend deux bâtiments des XVII et XIXe et la chapelle accolée au colombier rond XVIIe.
Au bord du bief, près du pont principal, la maison Dodoz, nom d’un ancien propriétaire, est aussi appelée "propriété Portalis", nom d'un autre propriétaire, magistrat au XIXe. Elle ne manque pas d'allure avec son toit couvert de tuiles vernissées, son pavillon latéral avec terrasse et ses chiens-assis "Belle Époque". Des arcades dominant le bief de l'Ouche supportent une terrasse d'où un pont rejoignait les jardins en rive droite. La maison du jardinier fut vendue à la municipalité en 1863 pour en faire une salle d'asile transformée aujourd'hui en salle des fêtes.
La maison de maître de la famille Maret parait comparativement bien modeste. Située plus à l'ouest, dans la propriété du collège, elle garde pourtant belle allure et a préservé une partie de son parc. À l'opposé, à l'entrée est, caché derrière un rideau d'arbres entre la route de Dijon et la voie ferrée, le castel des Vaulx-Brun (Veaux Bruns) a conservé sa tourelle en brique.
Le "Château d'Eau", demeure bourgeoise du XVIIIe, se dresse au bord du bief, presque face au lavoir Moisseniat, sans toit, qui bute contre le pont. Les observateurs noteront à proximité en aval, un minuscule lavoir privé calé dans les maisons au centre de la ville. Le grand lavoir se niche bien avant le pont, en amont. À proximité, on remarque un petit lavoir privé dont une partie du bac à laver est réglable en hauteur. Une intense activité se développa à Plombières-lès-Dijon sur les rives de l'Ouche, les laveuses. Ces dames se louaient à la semaine pour décrasser le linge dans la rivière, quelle que soit la saison. En 1875, on comptait une dizaine de buandiers, une vingtaine en 1889 selon l'annuaire du commerce. Les buandiers embauchaient 7 à 9 laveuses selon les besoins. Ils ramassaient le linge dans les rues de Dijon, rapportant à chaque voyage plus de 350 draps en supplément du petit linge. On disait en ces temps-là que Plombières mettait tout Dijon en lessive ! Le "Paquier" était alors recouvert de linge qui séchait.
Deux bras de l'Ouche traversent la cité. Le bief qui passe au centre, creusé à bras d'hommes, alimentait les nombreux moulins. Il ne subsiste du moulin Tamiset, que la voute qui enjambe le bief. Il fut d'abord une papeterie connue au XVe. En 1810, il céda la place à une filature. Plus loin s'activaient le moulin à blé, puis le moulin Bruan, seconde papeterie démolie lors du creusement du canal. Plus en aval encore, le moulin Vesson (Vaisson) et le foulon disparurent également. On construisit également un moulin à pomme de terre en 1817. Plombières fut à la pointe des techniques en matière de moulins. L'histoire locale des moulins remonte au XVe avec la permission de construire "un aguseur" ou deux avec roues et rouets dans une nouvelle maison. Les traces d'un premier moulin à grain et du foulon datent du XVIe. Le siècle suivant, un texte précise que "Les habitants sont tenus de moudre leur grain au moulin du seigneur", auquel ils payent "une chopine par mesure de bled à faire pain bis et une pinte par mesure de bled à main de boulanger propre à faire pain blanc et autant par mesure d'orge". Les moulins sont rénovés au XIXe et un article du Progrès de Lyon en 1880 nous éclaire sur le modernisme des installations : "Des moulins" à cylindres viennent d'être montés dans la magnifique usine de Plombières-lès-Dijon qui avait déjà, en 1852, inauguré dans nos pays, le système des moulins mixtes, c'est-à-dire à eau et à vapeur. Ces moulins à cylindres, construits sur le modèle de ceux de BudaPesth par une société française, sont aujourd'hui en pleine activité. La presse ne pouvait rester muette devant les merveilleux résultats obtenus à Plombières, non pour faire une "réclamation" dont les produits de Plombières n'ont nul besoin, car à bon vin, pas d'enseigne. Mais pour que l'on sache bien que nos grands industriels sont sur la brèche et ne se laissent pas distancer par ceux des nations rivales. C'est leur manière à eux de travailler au relèvement de la France". Le moulin à grain qui fut aussi moulin à moutarde, sera occupé en 1923 par la Société bourguignonne des cacaos, la Soboca, spécialisée dans la couverture du chocolat, puis par ADM Cocoa.
Plombières-lès-Dijon fut un lieu de passage privilégié. Routes, voies ferrées et canal traversent la bourgade. L'arrivée de l'autoroute a bouleversé le trafic routier. Aujourd'hui, la gare de la ligne d'Epinac a été réhabilitée et sa marquise a disparu. La maison du garde barrière est toujours là. Mais du côté de la grande ligne de Paris, la gare a été détruite. Pour sa part, le port du canal n'est plus actif que pour le tourisme. Au bord du canal, on trouve pourtant une borne posée en 1835 donnant la distance parcourue depuis Laroche. Ces bornes implantées tous les cinq kilomètres servaient au calcul des droits de navigation.
Durant le mois décembre 1791, trois manœuvres qui travaillaient au creusement du canal de Bourgogne découvrirent deux cercueils en pierre placés l'un sur l'autre. Sans rien dire à personne, ils explorèrent les tombes et les vidèrent promptement de leur contenu. Mais les bavardages aidant, le secret de cette trouvaille fit long feu. Les autorités informées exigèrent quelques explications et les ouvriers furent obligés de rendre le fruit de leurs larcins. Un vrai trésor avec un sabre dont la poignée était en or, une boucle de ceinturon ornée de pierreries et un petit coffre formé d'une lame d'or fermé par une sorte de cadenas, toujours en or. Ce coffre contenait trois lingots d'or et une bague également en or ornée d'une pierre précieuse. L'ensemble de ces découvertes fut rattaché à l'époque mérovingienne. Avant la construction du canal, l'Ouche fut également utilisée pour le flottage du bois et deux ports de récupération des billes furent implantés à Dijon et à Plombières.

Au sud-ouest, près de la ferme de la Cras, le camp préhistorique du bois Brûlé est défendu par un fossé et un épaulement de presque 300 m. Avant d'accueillir une exploitation agricole, la ferme de la Cras, autrefois ferme de la Craye, fut d'abord une bergerie. La craie signifie : terrain pierreux. La Craye : "terre pierreuse" ou "ferme installée au lieu-dit "Le Crai". La ferme devint au début des années 1980 un domaine viticole. Les premières donations de vignes connues à Dijon sont faites autour de 587 par le roi Gontran à l’abbaye de Saint-Bénigne. Le domaine englobe alors le finage de Plombières. La vigne prospère tout au long du XIVe, avec le Gamay, cépage apprécié pour son rendement, malgré son interdiction par Philippe le Hardi. Mais sa médiocrité va donner un avantage au profit des villages de la Côte planté en pinot noir. Selon les statistiques de la préfecture, la production viticole de Plombières s’élève en moyenne à 5440 hl, pour un peu plus de 150 hectares au XIXe, avant l'arrivée du phylloxéra. Les archives municipales relèvent de leur côté, 5 760 hl pour 120 ha en 1837, et en 1 852, 80 ha auraient donné 7 000 hl. En 1872, 190 vignerons exploitant 300 ha et 6 tonneliers sont dénombrés. Henri Vincenot dans la "Pie saoûle", décrit ces scènes de vendanges. Le vin était vendu dans toute la France. Avec l’arrivée du phylloxéra en 1888, la majorité des vignes seront arrachées. La Grande Guerre ralentira encore l'activité, faute de main d'œuvre. Seules quelques familles perdureront après la seconde guerre mondiale (Devillebichot, Morelot, Champy, Gevrey…). Cabottes et murées visibles sur le plateau de la Cras sont les vestiges des parcelles viticole. Le renouveau arrive en 1980, quand Jean Dubois, agriculteur céréalier, décide de replanter de la vigne sur le plateau de la Cras. Les premières vendanges auront lieu en 1986, en vin rouge puis en vin blanc. Progressivement, le "domaine de la Cras" va devenir le symbole des vignobles des coteaux dijonnais avec l'appellation AOC "Bourgogne" et les vignes d'en Bessey, Petit Bessey et coteau des Buis, maintenant bien connues des Dijonnais. En novembre 2013, la communauté du Grand Dijon fait l’acquisition du domaine agricole et viticole de 160 ha de la Cras. Une partie des terres agricoles sera remise en culture et l'ancienne ferme réhabilitée.

Gagnons la ferme de la Pérouse en passant devant la Roche Fendue, bloc coupé par la fameuse épée Durandal de Roland. Un chemin part vers l'ouest, gagne le vallon des sources de Fontenotte, où un micro aqueduc en fer enrobé de tuf alimente un réservoir, puis remonte au nord dans une belle prairie. Presque à l'extrémité de cette dernière, un sentier à droite conduit à la grotte de la Fontenotte. Accessible par un puits de 4 m, elle s'étire sur une centaine de mètres et deux niveaux. Cent mètres au nord-ouest, le Trou G2 s'ouvre tel un terrier dans une doline. Soixante-dix mètres d’un réseau étroit attendent le visiteur.
De l'autre côté de la combe, vers l'est, installée sur le plateau, la ferme en ruines du Contard (ou Gontard) se dissimule dans un bosquet. Mais ce nom est surtout connu pour la grotte du Contard, une des plus intéressantes cavernes de la région pour l'initiation à la spéléologie. Galeries, puits, laminoir... permettent la découverte de ce sport. L'entrée artificielle au niveau du sol facilita à partir de 1928 l'accès, jusqu'alors uniquement possible par les orifices ouverts dans le plafond des grandes salles. Sa visite doit être évitée en hiver car elle abrite plusieurs variétés de chauves-souris.
Le panorama alentour nous permet de découvrir un des nombreux viaducs SNCF en pierres construit suivant la technique du pont du Gard et qui compte parmi les ouvrages d'art les plus significatifs de l'époque de la construction de la ligne. Au pied du viaduc, le parc de l'ancien château XIX-XXe disparu du Neuvon abrite les canaux d'une ancienne pisciculture. Outre plusieurs bassins, un bélier hydraulique fut installé pour amener de l'eau supplémentaire. Derrière une grille, une source jaillit d'une caverne impénétrable. On disait jadis qu'il ne fallait pas la boire car elle était trop froide ! De l'ancien édifice détruit par un incendie, ne subsistent que les dépendances. Un des bâtiments n'est autre qu'une ancienne blanchisserie. Dans la combe du Gontard, on déniche encore d'anciens fourneaux métalliques à charbon de bois.
Les amateurs de spéléologie pourront également redécouvrir la grotte de la Bretelle, ancienne carrière souterraine au bord de l'autoroute et ses 225 m de développement ou la grotte Priel (Prielle), qui se cache à l'ouest, presque au niveau de la ligne électrique, dans la falaise au-dessus de la voie ferrée. Une galerie horizontale s'enfonce tandis qu'une cheminée débouche sur le plateau par un puits de sept mètres. Dans les buis voisins, les curieux trouverons de vieux murs et une belles cabotte avec cheminée.
Le réseau de la fantastique rivière souterraine du Neuvon atteint pour sa part plus de 19 250 m que l'on ne pouvait visiter qu'en plongée. Il s’agit-là de la cavité la plus concrétionnée de Côte-d'Or. Près de la Pérouse, un puits artificiel creusé par les spéléologues, "la Porte des Étoiles", rejoint la rivière souterraine du Neuvon depuis le printemps 2012. Ouverte à 100 m de la ferme, l'ancienne carrière de la Pérouse (Lapeyrouse), riche gisement fossilifère du jurassique moyen, recèle de nombreuses espèces, principalement distribuées dans la moitié supérieure accessible par une plate-forme.

Au chapitre anecdote, il faut évoquer l'incroyable aventure qui serait arrivée à un ressortissant anglais. À sa mort, le général en exil Jean Brown, fut inhumé en 1764 à Plombières, là où le chemin de Champmoron rencontre celui de Bonvaux. Amoureux de sa patrie, il avait demandé que son corps soit renvoyé dans son pays après son décès. Deux mois passés, on exhuma le cadavre pour le remettre à une femme qui fit bouillir les membres un à un pour les réduire ! Puis elle les rangea dans une boite et les expédia en Angleterre !
Terminons ce chapitre par une phrase traditionnelle : "Tu n'as pas de cœur, tu es comme la vache de Plombières, tu as deux mous". Quelle merveilleuse formule pour s'adresser à un tricheur par exemple et qui nous viendrait d'une ancienne rivalité entre les vignerons de Dijon et ceux de Plombières.

André Beuchot

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Que faire ?

De belles randonnées : le sentier Louis Braille de Plombières-lès-Dijon se situe à l'entrée de la forêt domaniale, sur la route forestière de la Tuilerie. D'une longueur de 2 kilomètres, cette boucle non adaptée pour les personnes à mobilité réduite, offre aux visiteurs la possibilité de se promener dans les bois, tout en découvrant la faune et la flore le long du chemin.


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