Seurre


Seurre vue du ciel@AFETES


Le port de plaisance @LBON


Côte-d'Or Tourisme©M.Beigenger


©André Beuchot


La fête de la musique sous les Maronniers@PTURC


©André Beuchot


©André Beuchot


©André Beuchot


©André Beuchot


©André Beuchot


©André Beuchot


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Maire Alain Becquet
Adresse 4 Place de l'Hôtel de Ville - 21250 Seurre
Tél. 03 80 21 15 92 Fax 03 80 21 00 69
Email secretariat@mairie-seurre.fr
Site www.seurre.fr
Population 2310 habitants. Les Seurrois
Altitude 180 mètres Superficie 899 ha
Situation géographique Vallée de la Saône entre la Bresse, les Côtes des vins de Bourgogne et le Jura
Communauté de Communes Rives de Saône
Canton BRAZEY-EN-PLAINE

Je suis fan de ma commune

Présentation

Cité, au centre ville ancien, située au carrefour de la Bresse, du Jura et de la Côte des Vins de Bourgogne, traversée par la Saône et son canal à grand gabarit.

Plus d'infos

Services à la population :
Centre de loisirs, Centre de découverte sportive.



Tourisme & Patrimoine

Village Fleuri

Visitez le centre historique de Seurre en suivant le parcours patrimonial dit parcours du Jacquemart, au fil de votre balade vous découvrirez : L’hôtel Dieu et son musée, la maison Bossuet où se trouve l'Office de tourisme et le musée de la Saône et des gens de la Saône, le couvent des Ursulines et l'église St Martin. En bord de Saône, sont installés pour vous accueillir le port de plaisance, une station de camping-cars, le camping municipal de la plage et sa base nautique. A la sortie de la ville en direction de Lanthes, l’écomusée de l’Etang-rouge vous propose de découvrir le patrimoine architectural et historique de la plaine de Saône.

Le port de plaisance @LBON

Côte-d'Or Tourisme©M.Beigenger

©André Beuchot

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UN CURIEUX EN BALADE

Le 17e opus d’un infatigable découvreur !
Passionné par son département, André Beuchot livre un formidable inventaire de ses communes, hameaux, histoires et légendes...
Marcheur, chercheur de pierres légendaires, randonneur au long cours André Beuchot sillonne, inventorie l’histoire des chemins, des pierres et des centaines de villages et de hameaux côte d’oriens... Un de ces oiseaux rares et discrets ? Allez savoir... en tous cas Un curieux en balade est un ouvrage à lire, à conserver comme les anciens almanachs qui font toute la saveur de nos villes et campagnes !


CONTACT
Éditions André Beuchot :
8 rue Pierre de Saint-Jacob 21000 DIJON
beuchot@numericable.fr



Un curieux de passage à Seurre

Un curieux de passage à… SEURRE. Canton de Brazey-en-Plaine. (Autrefois chef-lieu de canton).
Commençons notre tour d'horizon en citant la nécropole gallo-romaine des Fougerets, non loin de la voie romaine, au nord de la ville.
Ancienne place forte du bord de Saône entourée de fortifications, Seurre posséda pour sa défense des "orgues de guerre", sorte d'ancêtre de la mitrailleuse. Il ne reste qu'un maigre vestige des anciens remparts, construction en briques comportant un passage intérieur.
La belle église gothique Saint-Martin, édifié également en briques au XIVe siècle, fut complétée aux XV et XVIe siècles et bien remaniée. Son curieux clocher octogonal du XVIIIe siècle accueille un carillon installé en 1990 équipé de 47 cloches. On admire de magnifiques vitraux et une imposante rosace de 6 m de diamètre surmontant le portail trilobé. Parmi le mobilier intérieur, on remarque la chaire, les stalles et boiseries du début du XVIIIe siècle et la maquette du XIXe siècle d'un magnifique voilier, vaisseau de guerre des XVIIe et XVIIIe siècles. L'église est également fière de son orgue du XVIIe siècle, réalisé par Julien Tribuot pour l'abbaye cistercienne de Maizières. Il fut racheté après la Révolution par la paroisse de Seurre et fit ensuite l'objet d'améliorations et modifications.
Caché dans son parc, le château de Seurre n'est pas très loin. Construit par le duc de Bellegarde en 1625, il remplace un édifice plus ancien. Baptisé "Maison de Bellegarde", il n'est en fait, malgré sa belle toiture d'ardoises et les deux tourelles qui l'encadrent, que le bâtiment des communs, qui seuls, subsistent. Le dernier seigneur de Seurre ajouta à la fin du XVIIIe, le grand pavillon coloré à l'Italienne que l'on entrevoit depuis le pont sur la Saône. Un joli porche en briques rouges donne accès au domaine.
Construit au XVIIIe siècle, l'hôtel de ville a conservé des prisons du XVIe siècle. On s'étonne devant le portail du XVIe siècle encastré dans la façade de la maison voisine édifiée aux XVII-XVIIIe siècles.
En arpentant la cité, on observe encore l’ancienne chapelle des Capucins, édifiée au XVIIe siècle en briques, mais de nos jours dans un triste état. On y remarque un cadran solaire. L'ancienne halle au blé mêlant briques et pierre, s'honore d'un majestueux portail néoclassique et rappelle l'importance du commerce du blé autrefois, la commune produisant 200 tonnes de blé par an. Mais à partir de 1871, le houblon prit en partie la relève.
Le couvent des Ursulines fut construit à partir du XVIIe siècle, mais terminé seulement en 1701, la façade en pierre au fier portail de la chapelle en brique dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Il ferma ses portes après la Révolution. Acheté par la ville en 1835, il fut transformé en école de garçons, la salle de classe principale occupant l'ancienne chapelle jusqu'en 1960.
L'ancien collège communal, lui, accueille le Jacquemart du XVIIIe siècle. Ce pittoresque automate est actionné par une horloge de 1850, avec cadran carré, provenant du château disparu de Montmain. Lors de sa restauration en 1872, la tête devint mobile et un cadran rond fut mis en place. Une légende rapporte qu'il aurait été rapporté de Courtrai au XIVe par le duc Philippe le Hardi, mais fait sans doute écho à l'histoire de son homologue dijonnais.
La ville possède de vieilles maisons des XVe et XVIe auxquelles les briques rouge et oranger ajoutent beaucoup de charme. On découvre la demeure de l'écrivain Bossuet et la maison du Gouverneur avec sa tourelle ronde. Selon la tradition, Étienne Bossuet fit placer un escargot à l'angle de la maison pour narguer le gouverneur voisin trompé par sa femme. L'homme fit aussitôt couper la tête du gastéropode aux cornes trop dérangeantes ! La demeure de Bossuet accueille le passionnant musée de la Saône.
Toujours flânant, vous croiserez près du château, une porte des XVII-XVIIIe siècles surmontée d'un lion sculpté, donnant sur la cour d'une maison du XIXe siècle ornée de mascarons et de petits bas-reliefs. Vous vous attarderez devant des maisons à pans de bois du XVIe siècle, des niches accrochées aux façades, ou encore, la curieuse boutique de Léon Fleurot et fils, à l'extrémité du Cours Verdun. Au nord, le Clos des Augustins donne l'emplacement de l'ancien couvent du XVIIe siècle des Augustins Noirs. Plus loin, une cheminée d'usine isolée a été préservée près d'une maison de maître ornée d'une frise décorative.
L'imposant bâtiment en brique construit en U en bord de Saône était l'ancien hôtel du Chapeau Rouge. Le précédent pont de Seurre se trouvait naguère à cet emplacement et la rue s'appelait tout naturellement, rue du Pont. Si vous la suivez jusqu'à l'autre extrémité, puis celle qui la prolonge, vous trouverez le manoir de la Dombe dont les origines remonteraient au XVIe siècle, ancienne dépendance de l'Hospice Saint-Michel.
La ville s'étire également vers le sud où l'hôpital des XVIII-XIXe siècles, s'enorgueillit de deux salles de 18 lits mi-clos. La première construite en 1688, fut suivie de la chapelle érigée en 1731-1734, puis de la seconde salle en 1765-67. Il devint alors possible de séparer les femmes des hommes et de permettre aux malades de suivre l’office depuis leur lit. Une aile supplémentaire dotée de 16 lits fut ajoutée au XIXe siècle. Ces salles au mobilier d'époque ont été préservées, tout comme l’apothicairerie qui compte une centaine de pots en faïence, la chambre de l’évêque et l’ancienne cuisine. Surmontée par un clocheton, la chapelle Saint-Louis à la façade dotée de statues, profite de vitraux du XVIIIe siècle relatant la vie du saint.
Dans la rue qui file vers le sud, on croise de nombreuses maisons de maitres.
Si la gare n'a rien d'extraordinaire, elle mérite d'être citée pour son rôle lors de la dernière guerre. Elle était la dernière avant le passage de la ligne de démarcation et de fait, sujette à des contrôles sévères et des fouilles aléatoires.
Seurre accueille l'écomusée de l'Étang-Rouge qui regroupe une collection passionnante d'une quinzaine de maisons caractéristiques de la région, en briques et à colombages, démontées puis remontées ici. On visite le café, la grange, la chambre à four, le pigeonnier, le teck à porcs, le jardin des simples, la vigne conservatoire et on croise poules, chevaux…etc.
Plus loin au nord-est, on repère le pigeonnier carré de la ferme de Chefin.

Les habitants de Seurre sont parfois surnommés les "avares", en réponse au fait de savoir "serrer" leur budget (Seurre = serrer).
Du côté des traditions, la fête des rats avait lieu le 29 décembre. Ceux qui n'étaient pas allés à la messe (des rats), risquaient de voir leur linge ou leurs sacs dévorés par les rongeurs. Un jour, le linge de deux familles fut mélangé. Mais les rats ne dévorèrent que celui de ceux qui avaient manqué l'office.
François Bourdon, issu d'une famille de notables Mâconnais liés à la navigation sur la Saône, naquit à Seurre en 1797. Il utilisa la machine à vapeur de la minoterie familiale pour débuter la construction de bateaux. En mars 1837, les frères Schneider reprennent Le Creusot. Ils lui proposent la direction de l'atelier de construction mécanique. C'est pour réaliser les grosses pièces des machines de la Marine Royale qu'il inventa alors le célèbre marteau-pilon. Né à Seurre en 1835, Eugène Spuller fut ministre sous la IIIe République.
André Beuchot

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La fête de la musique sous les Maronniers@PTURC

©André Beuchot

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Vie Sociale

De nombreuses associations culturelles, sportives (rugby, basket, foot, tennis, judo, karaté...)
Des équipements pour les jeunes : un terrain multisports et un skatepark, 2 salles de sports et une piscine ouverte pendant la période estivale.
Le centre culturel des Ursulines accueille l'école de musique et une médiathèque.
Collège Dinet ; 23, Grande rue du Fbg Saint-Michel - 03 80 21 13 43.

Economie & Développement

- Tous commerces et artisanats.
- Marché tous les samedis matins place des Quinconces.
- Entreprises : Protéor, Socimet, Adventis, Sms Magyar ...
- Techno-port de Pagny.


Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.


CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial


En tant qu’élus, vous considérez sûrement le développement et l’animation de vos territoires comme des priorités de votre mandat. Face à la diversité des enjeux, la CCI Côte-d’Or-Saône-et-Loire s’est donc organisée pour vous apporter son expertise, ses outils et ses réseaux dans vos projets de développement socio-économique et territorial. Notre ambition est de travailler à vos côtés, dans un objectif partagé de développement, en s’appuyant sur nos équipes de terrain, notre réseau de partenaires, notre connaissance fine des territoires et notre relation de proximité avec les entreprises... LIRE+



Que faire ?

Visites de l'apothicairerie de l'Hôtel Dieu, le musée de la Saône et des gens de la Saône, l'écomusée de l'Etang-Rouge.
Découvrir la médiathèque aux Ursulines.
Profiter des différentes activités proposées au camping de la Plage : canoë kayak, pêche, ski nautique et tourisme vert.


Fan de ma Commune

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