Flavigny-sur-Ozerain


Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON


Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON

Maire Dominique BONDIVENA
Adresse Place de l'église - 21150 Flavigny-sur-Ozerain
Tél. 03 80 96 21 73 Fax 03 80 96 21 73
Email mairie.flavignysurozerain@wanadoo.fr
Population 301 habitants. les Flavigniens
Altitude 495 mètres Superficie 28 ha
Situation géographique Haute Côte d'Or
Communauté de Communes Pays d'Alésia et de la Seine
Canton MONTBARD

Je suis fan de ma commune

Présentation

Au coeur de l'Auxois et proche du site d'Alésia, le village médiéval de Flavigny-sur-Ozerain est un haut-lieu du patrimoine. Dès l'arrivée, l'odeur de l'anis caresse les narines : capitale mondiale du bonbon à l'anis. On entre par la Porte du Bourg du XIVè siècle, en longeant l'ancien hôtel, beau bâtiment du XVIIIè siècle, aujourd'hui devenu l'Abbaye Bénédictine Saint-Joseph de Clairval.

Plus d'infos

Un jardin botanique autour d’un ancien rouissoir fait partie intégrante de la Maison des Matières et du Design textile et permet de découvrir l’origine même des plus beaux tissus. Le jardin présente la croissance et la transformation des plantes dont on tire fibres végétales ou colorants, plantes indigènes et plantes tropicales.

Office de Tourisme du Pays d'Alesia et de la Seine :
03 80 96 89 13
www.alesia-tourisme.net
alesia-tourisme@wanadoo.fr



Tourisme & Patrimoine

Flavigny fait partie des Plus Beaux Villages de France
La Fabrique d’Anis est reconnue Site Remarquable du Goût par les Ministères du Tourisme, de l’Environnement et de l’Agriculture.
Plusieurs Monuments Historiques Classés.
Chaque avant dernier weekend d’octobre, à l’occasion de la foire de la St Simon, plus de 4000 personnes viennent se régaler, chiner, papoter, s’amuser en famille, entre amis, dans toutes les ruelles de Flavigny.
En hiver, derrière de nombreuses fenêtres du village les habitants présentent aux promeneurs des crèches les unes plus originales et poétiques que les autres.
Visite du village et de l'église Saint-Genest : 03 80 96 25 34.
Visite de la crypte carolingienne de l'abbaye : 03 80 96 20 88.
Visite de la fabrique d'anis : 03 80 96 20 88.
Point Information : "la Maison du Donataire" : 03 80 96 25 34.
Vignoble de Flavigny-Alesia : accueil, visite, vente : 03 80 96 25 63.
Galerie d'Art "La Licorne Bleue" : 03 80 96 20 59.

Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON



UN CURIEUX EN BALADE

Le 17e opus d’un infatigable découvreur !
Passionné par son département, André Beuchot livre un formidable inventaire de ses communes, hameaux, histoires et légendes...
Marcheur, chercheur de pierres légendaires, randonneur au long cours André Beuchot sillonne, inventorie l’histoire des chemins, des pierres et des centaines de villages et de hameaux côte d’oriens... Un de ces oiseaux rares et discrets ? Allez savoir... en tous cas Un curieux en balade est un ouvrage à lire, à conserver comme les anciens almanachs qui font toute la saveur de nos villes et campagnes !


CONTACT
Éditions André Beuchot :
8 rue Pierre de Saint-Jacob 21000 DIJON
beuchot@numericable.fr



Un curieux de passage à Flavigny-sur-Ozerain

Un curieux de passage à… FLAVIGNY-SUR-OZERAIN.

Chef-lieu de canton depuis 1801, Flavigny était au XIXe une bourgade vigneronne animée avec plusieurs auberges, gendarmerie, justice de paix, perception, halles et accueillait régulièrement foires et marchés. L'implantation aux Laumes de la gare et du dépôt de chemin de fer de la ligne P.L.M. au début du XXe changea la donne. Commerces et industries se rapprochèrent de la ligne. En 1910, la ville des Laumes remplacera Flavigny comme chef-lieu de canton. Magnifique village médiéval fortifié, célèbre pour sa fabrique de petits bonbons ronds à l'anis dont la recette remonterait au IXe siècle. Selon la légende, César aurait offert une terre à un de ses officiers, Flaviniacus, Flavien ou Flavinius. Il installa une villa qui deviendra au gré des siècles, le village actuel. Mais surtout, cet officier arriva ici avec dans sa pharmacopée, diverses plantes médicinales. L'une d'elle connue pour soigner les maux de ventre et la nervosité, n'étant autre que l'anis. Les Romains en usaient largement et au Ier siècle avant notre ère, Pline écrivit : Il rend l'haleine plus douce et ôte la mauvaise odeur de la bouche. Il donne de l'appétit, l'appétit que la mollesse de nos jours demande à une plante depuis que le travail a cessé de le procurer. Bouilli, flairé ou pris en boisson, il arrête le hoquet. Les feuilles en tisane font passer l'indigestion. Sosiméne assure aux voyageurs qu'en buvant la graine de l'anis, ils se préserveront de la fatigue. L'anis est diurétique, aphrodisiaque et calme la soif.
Suite à des dons de Charles Martel, l'abbaye Saint-Pierre est construite à Flavigny. Il ne subsiste que la crypte carolingienne VIIIe de l'ancienne église abbatiale. L'abbaye reconstruite au XVIIIe abrite maintenant la fabrique d'anis. En 1650, les Ursulines de Langres s'installent à Flavigny et commencent à fabriquer quelques dragées à l'anis. Cependant, l'activité ne prendra son envol qu'après la Révolution. En 1814, on trouvait huit fabricants d’Anis qui succédaient aux moines et se partageaient le marché. Peu à peu, un seul subsista, Jacques Edmond Galimard, installé dans l'abbaye Saint-Pierre abandonnée à la Révolution, qui racheta ses concurrents. Vingt tonnes d’Anis sont produits en 1870, trente en 1900, cinquante en 1910 et 250 tonnes de nos jours, distribuées un peu partout en France et dans le monde. De six mois autrefois, le délai de fabrication des anis est passé à deux semaines de nos jours.
Remparts, pigeonniers, belles portes fortifiées, rues étroites, escaliers, tourelles, tour "de guette", la visite de la cité mérite le déplacement et séduit par son atmosphère tranquille. De nombreuses vieilles maisons attirent le regard, comme celle du Donataire avec sa façade XVe qui porte la statue polychrome d'une Vierge à l'Enfant. Le personnage sculpté calé aux pieds de la Vierge est sans doute le donataire de l'œuvre d'art et aurait donné son nom à la demeure. L'église gothique Saint-Genest XIIIe, fut remaniée aux XV, XVI et XVIIIe. On y découvre des stalles du XVIe décorées de figurines peintes, une magnifique et rare tribune XVe ressemblant à un jubé, tandis qu'un campanile en bardeaux domine l'entrée. Trois portes s'ouvrent dans les remparts : La porte du Bourg, dite jadis "Porte de Barme", reste un bel exemple d'architecture militaire du milieu du XVe. Elle faisait partie des défenses de l'abbaye et se confondaient avec celles de la ville. Les rainures d'un pont levis nous rappellent la présence de fossés disparus. La porte du Val compte deux portes successives. La première remonte au XIIIe. On y voit l'emplacement de la herse et les archères. Elle n’empêcha pas les Anglais de prendre la ville en 1359 et de s'y installer pendant six semaines. Flavigny devint le point de départ de nombreux raids meurtriers, si bien que les États s'assemblèrent à Beaune et négocièrent avec les Anglais, versant 100 000 moutons d'or en échange de leur départ. La seconde porte, encadrée par deux tours rondes percées de bouches à feu, remonte aux guerres de religions. Les habitants ayant pris position en sa faveur contre la Ligue, le roi Henri IV l'aurait fait réparer à ses frais. La poterne, plus modeste que les deux autres, reconstruite au XVe, fut appelée "Porte de la Côte d'Or". Sans doute était-elle à l'origine protégée par des meurtrières ou une bretèche. Le niveau du sol, aujourd'hui très rehaussé, permettait autrefois le passage d'un cavalier. Retrouvée brisée en contrebas au lieu-dit Saint-Vincent, une statue de Saint-Vincent occupait peut-être la niche vide. Enfin, un puits encastré fut découvert dans le mur voisin en 1972, lors des travaux de restauration. Quant à la porte Sainte-Barbe, entre l'abbaye et l'ancien bureau de poste, elle ne fut ouverte dans les remparts qu'au XVIIIe et ne faisait pas partie des fortifications.
En 1848, le Père Lacordaire implanta à Flavigny un noviciat de l'Ordre dominicain. Le succès aidant le bâtiment fut agrandi à la fin du XIXe. Cet ancien couvent, appelé maison Lacordère, cache de beaux jardins et accueille désormais le séminaire du saint Curé d'Ars.
Venu de Langres, les Ursulines s’installent à Flavigny en 1632. Les années passant, elles étendent leur territoire et ouvrent une école où seront accueillis jusqu’à 145 élèves. Au XVIIIe, elles attaquent la construction d’un nouveau couvent dont la construction sera abandonnée en cours de route. Elles construisent également une sorte de "Grotte de prière", récemment restaurée. Suite à des incendies, l’apparence des bâtiments situés à la pointe est du bourg, sera modifiée au XIXe.
En 1700, Claude Couthier, marquis de Souhey, fait bâtir à Flavigny, près de la porte du Bourg, un hôtel particulier. Neuf ans plus tard, pour aménager des jardins en terrasses dans un enclos qui surplombe la vallée, il embauche une grande partie des ouvriers locaux pour les préserver de la famine qui dévaste la Bourgogne. En 1829, les religieuses Ursulines de Flavigny s'installent dans les bâtiments qu'elles complètent. Après leur expulsion en 1906, l'hôtel devient jusqu’en 1967 le petit séminaire diocésain, puis est abandonné. Arrive alors en 1976, un groupe de moines Suisses du monastère Saint-Joseph vivant selon la règle de Saint Benoît, qui s'installe dans les bâtiments délabrés. La restauration de la façade du château commence, tandis qu'une église conventuelle remplace la petite chapelle. En janvier 1992, le Saint-Siège érige le monastère en abbaye. Il ne faut donc pas confondre les deux abbayes de Flavigny. Au centre de la façade, la grande entrée accueille une statue de saint Joseph. Sur le pignon de l'église, deux autres niches accueillent les statues de saint Egil et sainte Reine. Egil de Prüm, abbé de Favigny en 860, procéda le 22 mars 864, selon Hugues de Flavigny, à la translation des reliques de sainte Reine d'Alise-Sainte-Reine à la crypte de l'abbaye Saint-Pierre.
Au XIXe, sous l'impulsion du maire Abel Labourey, adjoint de l’ingénieur dijonnais des Ponts et Chaussées, Henry Darcy, connu pour ses travaux d’adduction et de distribution en eau potable à Dijon, Flavigny-sur-Ozerain fut en 1865, le premier bourg de la région desservi en eau courante. Dans le registre des délibérations du 19 avril 1864, on lit les conclusions d’un membre de l’Académie des sciences : « le besoin d’une eau salubre se fait depuis longtemps sentir à Flavigny, dont la population n’est alimentée que par de mauvaises citernes… ». On décide de capter de la source Milière à 1 500 mètres au sud. Évoquant l’eau de la source, le représentant de l'académie ajoute : « elle est très agréable à boire, elle dissout également bien, à chaud comme à froid, le savon blanc et cuit assez promptement les légumes secs… » ! La belle fontaine de style néo-renaissance marque l'arrivée de l'eau courante dans la ville.
La mairie-école remonte elle aussi au XIXe, tout comme le lavoir caché à l'ouest qui dispose d'une imposante cheminée. Le ruisseau de la Recluse qui en ressort donna naissance à une cascade de tuf et légua son patronyme à un des producteurs d'anis du village. Entre le village et le lavoir, on retrouve la source qui illustre les célèbres boîtes d’anis de la dernière fabrique existante, avec son tendre couple d'amoureux. Toutefois, certains descendants des fabricants d'autrefois, évoquent la présence, non pas d'amoureux, mais d'un frère et d'une sœur !
Des nombreux moulins de Flavigny, certains existent toujours : le moulin Chantrier, le moulin Sainte-Reine, le moulin Savy implantés sur l'Ozerain. Entrainée par la Recluze, le moulin des Tanneries profita également à un foulon et une huilerie. D'autres ont disparu : le moulin Rouge, le moulin de Sire Eude, cité en 1430, le moulin de Vaux cité en 1285 et 1355, qui en 1597, dépendait de l'office du courtillier de l'abbaye de Flavigny. En 1863, Flavigny fut premier bourg de la région à être desservi en électricité grâce au moulin Chantrier, également appelé moulin des Rattes, convertit un temps en scierie. Le moulin Savy produisit lui aussi de l'électricité. Du moulin l'Abbé, il ne reste que des ruines et canalisations souterraines.
En contrebas du cimetière proche du séminaire, une belle falaise calcaire abrite deux grottes, la première à ses pieds, la seconde en hauteur appelée Grand Caveau, demandant une dizaine de mètres d'escalade. Cette dernière, la plus importante, fut habitée au néolithique. Elle s'enfonce profondément avant de devenir impénétrable, mais pas jusqu'au cœur du village comme le voudrait la légende affirmant qu'elle rejoint d'hypothétiques souterrains de l'abbaye. Néanmoins, un souterrain existe bien, débutant sous l'ancienne poste. Une pente raide donne accès à un couloir bordé par neuf niches réparties sur les deux côtés. La datation est estimée autour des XIII-XIVe. Il fut sans doute destiné à entreposer des vivres et ressemble à celui de Vernot.
À l'extrémité nord de la falaise, sous la poterne, la roche de la "Motte de Beurre" ou "la Livre de Beurre" où se dresse un calvaire, était appréciée des fermières qui gravissaient la côte pour venir vendre leurs produits au village. Elles y posaient leurs fardeaux le temps de reprendre souffle. On raconte qu'elles y vendaient souvent leurs productions afin d'éviter de franchir les remparts et de payer les droits d'octroi. Mais plus simplement, cette pierre formait peut-être une étale évitant de poser le beurre sur le sol. Le dessus aplati et les bords arrondis évoquent-ils une motte de beurre ? Certains préfèrent y voir un cœur dont la pointe se serait émoussée. Qui dit cœur et roche branlante, dit légendes et traditions. Faut-il monter dessus et regarder si elle bouge quand on l'interroge pour connaitre le nom de son aimé, pour savoir si sa femme (ou son époux) est toujours fidèle ? Autrefois, les druides célébraient, dit-on, leurs rites sur la Motte de Beurre (?), puis les sorciers le sabbat.
À l’ouest, le hameau des Tanneries conserve plusieurs colombiers et un rouissoir. La ferme du Pont Laizan convertie, elle, en domaine vigneron, en garde également un bel exemplaire rond. Elle fut construite à l'origine au XIIIe par les moines. Le pigeonnier rond compte plus de 900 boulins en terre cuite, petites niches destinées autrefois aux pigeons. Pendant les vendanges, des grappes soigneusement choisies y sont entreposées sur des claies séparées par des moellons. Les grappes dorment quatre mois avant d'être pressées. Vingt-quatre mois de vinification en fûts de chêne seront encore nécessaires pour obtenir un vin issu de raisins passerillés, unique en Auxois.
Le vin de l’Auxois est cité dès le VIIe. L'abbaye de Flavigny possédait des droits de "grosses dimes" et la 11eme hottée des vendanges lui revenait. Jusqu'en 1180, elle avait également "droit de banvin", signifiant qu'elle se réservait le droit exclusif de vendre du vin pendant 30 ou 40 jours après le ban des vendanges. Elle gardait également l'exclusivité de la vente des vins pendant les "bans de l'abbé". Le premier ban courait du 17 janvier au 1er février à midi. Le second du vendredi à midi avant la semaine des Rogations et se terminait la veille de la Pentecôte à midi. Le troisième ban allait du 10 au 31 juillet à midi. Au XIVe, le vin de Flavigny est fort renommé. Au fil des ans, la superficie du vignoble se développe tant qu'en 1623, il faut réagir. Pour préserver les terres céréalières, les plantations de vignes sont réglementées. En 1660, un arrêté renforce ces contraintes et interdit "de planter à l'avenir aucune vigne sur les terres à bled (à blé) et dans les campagnes, mais seulement sur les collines". Le canton de Flavigny se couvre pourtant de parcelles. L'excès de production ne tarde pas et le commerce du vin dégringole en 1685, entrainant les premiers arrachages. Les guerres de 1688 à 1691profiteront aux vignobles, l'armée de Louis XIV ayan


Vie Sociale

Economie & Développement

Epicerie l'Echoppe : 03 80 96 28 01.
Restaurant l'Abbaye de Flavigny : 03 80 96 27 77.
Crêperie Les Ursulines : 03 80 92 66 37.
Chambres d'hôtes et gîtes (Liste en Mairie).
Moulin Chantrier : Horticulture : 03 80 96 28 51.

ZA INTERCOMMUNALE -(4 ha en projet)


Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.


CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial


En tant qu’élus, vous considérez sûrement le développement et l’animation de vos territoires comme des priorités de votre mandat. Face à la diversité des enjeux, la CCI Côte-d’Or-Saône-et-Loire s’est donc organisée pour vous apporter son expertise, ses outils et ses réseaux dans vos projets de développement socio-économique et territorial. Notre ambition est de travailler à vos côtés, dans un objectif partagé de développement, en s’appuyant sur nos équipes de terrain, notre réseau de partenaires, notre connaissance fine des territoires et notre relation de proximité avec les entreprises... LIRE+



Que faire ?

Promenades pittoresques dans les ruelles du village et visite des différents sites.
Foire de la Saint-Simon.


Fan de ma Commune

Romain
31/03/2013
Stéphan Bern a présélectionné pour la Bourgogne Flavigny-sur-Ozerain. Pour que notre village soit élu « Le Village Préféré des Français », il faut maintenant qu’un maximum de personnes votent pour Flavigny ! Le vote sera ouvert aux internautes entre la mi-avril et la mi-mai sur le site de France 2 En chiffres, 5.8 millions de téléspectateurs, tournage pour Flavigny les 11 et 12 avril, diffusion de l’émission en juin

Romain
31/03/2013
Stéphan Bern a présélectionné pour la Bourgogne Flavigny-sur-Ozerain. Pour que notre village soit élu « Le Village Préféré des Français », il faut maintenant qu’un maximum de personnes votent pour Flavigny ! Le vote sera ouvert aux internautes entre la mi-avril et la mi-mai sur le site de France 2 En chiffres, 5.8 millions de téléspectateurs, tournage pour Flavigny les 11 et 12 avril, diffusion de l’émission en juin

GUILLIER
26/03/2013
Bonjour, je vous informe que depuis le 11/05/11, il y a un point de restauration à Flavigny : LE RESTAURANT DE L'ABBAYE, Merci d'avance pour la rectification, Cordialement, Natacha GUILLIER RESTAURANT DE L'ABBAYE 03 80 96 27 77

pernes
26/03/2013
l'information est très intéressante . que flavigny garde son authenticité! jocelyne pernes

Labaume
03/11/2015
Déjà ouverte à la visite depuis 1923, la Fabrique d’Anis ouvre maintenant son petit musée. Laissez-vous guider par le doux parfum anisé qui parcourt les ruelles du village, jusqu’au cœur de l’ancienne abbaye bénédictine. Une fois franchie la porte, vos yeux ne sauront plus quoi regarder, entre la beauté de l’abbaye, l’omniprésence des boîtes et paquets de bonbons, les allers et venues des équipes de la Fabrique. Une « dame » vous accueillera et vous guidera pour découvrir tour à tour : La fabrique d’Anis, le musée des Anis, la crypte carolingienne, la boutique et sa dégustation d'Anis. tel : 03 80 96 20 88 mail: contact@anisdeflavigny.com web : wwww.anisdeflavigny.com

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