Maire FLACHE Jérôme
Adresse Place de l'Hôtel de Ville - 21340 Nolay
Tél. 03 80 21 73 00 Fax 03 80 21 82 58
Email mairie.de-nolay-21@wanadoo.fr
Site www.nolay.fr
Population 1521 habitants. Les Nolaytois
Altitude 328 mètres
Superficie 1430 ha
Situation géographique Latitude: 46° 57' 6'' Nord - Longitude: 4° 38' 2'' Est
Communauté de Communes CA Beaune Côte et Sud
Canton ARNAY-LE-DUC
Très belle cité médiévale, Nolay, située à 18 km au Sud-Ouest de Beaune est proche du Parc naturel régional du Morvan.
Eglise Saint-Martin.
Plusieurs chapelles.
Au cœur de la cité, belle halle aux grains du XIVè siècle : un des plus anciens édifices de ce type existant encore en France. La charpente en chêne et châtaigner, dont les piliers reposent sur des blocs de pierre, supporte une magnifique toiture en laves.
Dolmen de Champin (Néolithique).
Maisons anciennes ; maison de Lazare Carnot.
Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON
Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON
PIERRES DE LÉGENDES DE LA CÔTE-D'OR, LE NOUVEAU LIVRE D'ANDRÉ BEUCHOT
Un nouveau livre pour les curieux, les promeneurs et les amateurs du petit patrimoine.
Plusieurs années de travail et de recherches ont été nécessaires pour réaliser ce nouveau livre, résultat de l'union de Patrice Vachon et d'André Beuchot.
Patrice Vachon avait déjà réalisé de nombreux ouvrages publiés par l'Arche d'Or, deux étant consacrés aux menhirs, dolmens et pierres légendaire. André Beuchot sillonne la Côte-d'Or à la rencontre des richesses du patrimoine et a déjà lui aussi publié de nombreux ouvrages. La collaboration et la complémentarité des deux auteurs permet de présenter aujourd'hui l'ouvrage le plus complet réalisé sur le sujet, avec les légendes associées. Les sites ont été recherchés sur le terrain, quelquefois retrouvés avec difficulté dans la végétation, puis photographiés. Certains, inaccessibles, ne sont pas présentés par respect pour les propriétés privées. Le livre regroupe les menhirs et dolmens, vrais et/ou faux, les pierres qui virent ou qui cornent, les roches des fées ou du Diable, les roches anthropomorphiques rochers de la vouivre ou des loups…etc. LIRE+
NOLAY. Canton d’Arnay-le-Duc. (Autrefois chef-lieu de canton).
Nolay devrait son nom aux nombreux noyers, arbres majestueux qui donnaient autrefois une huile réputée et du bois pour les crosses d'arquebuse. Mais ce n'est qu'une légende. La rue des Huiliers garde la mémoire de cette époque des artisans, comme les rues des Tanneries et des Cloutiers. La ville fut construite sur l'emplacement d'un camp gallo-romain. Au nord-ouest, l'éperon barré "Des Quilles" de l'âge de bronze avec son double rempart encore imposant et à l'est, le dolmen de la Garenne en ruines, marquent la première occupation des lieux. (Le dolmen de Champin n'est qu'une dalle naturelle). Du château qui abrita au XVe les Ducs d'Aumont, il ne reste que quelques vestiges dissimulés dans des cours privées. Au cœur du bourg, il faut découvrir les belles halles XIVe avec charpente en chêne et toiture en laves pouvant atteindre jusqu'à 600 kg au m2. Le dallage actuel reproduit le tracé des murs d'habitations découverts lors des travaux de restauration. Ces travaux prouvèrent l'emplacement sous les halles du four banal, coupable d'incendie et supprimé au XVIIIe. Les Halles accueillaient jadis deux marchés par semaine et quatre grandes foires annuelles. La production locale, vin, huile de noix… s'y échangeait contre grains, peaux et bétail du Morvan ou de l'Auxois.
Vous pourrez admirer à Nolay un haut-relief XVIIe caché dans la cour d'une ferme route de Change et l'église Saint-Martin XV-XVIIe éclairée par de beaux vitraux et agrémentée d'un Jacquemart en bois. Incendié par la foudre, il fut reconstruit puis récemment restaurés. Jacquot et Jacquotte, les petits automates sonneurs, rythment tous les quarts d'heure depuis 1935. L'édifice est dominé par un clocher en pierre sculpté de gargouilles, œuvre des fées. Avant de devenir célèbre et de laisser son nom au mariage du cassis et de l'aligoté, le chanoine Kir officia dans cette église profondément remaniée. De nombreuses vieilles maisons à pans de bois et à bossages rustiques, de vieilles boutiques préservées, deux pigeonniers carrés et la Maison des Pauvres édifiée sous Louis XIV, renforcent l'intérêt de la ville des Carnot.
La maison Carnot, devant laquelle une majestueuse statue de Lazare trône fièrement, s'orne d'un balcon XVIIIe frappé des armes de la famille. Ici naquit Lazare Carnot. Au-dessus de la ville, le petit village d'Épertully abrite lui aussi la demeure familiale des Carnot. C'est, pour les gens "les mieux informés", dans cette maison calée au sommet de la butte, que Lazare poussa son premier cri le 1er janvier 1753. N'allez pas en parler au maire de Nolay ! L'enfant est bel et bien inscrit sur son registre. Rien d'important penserez-vous. Mais Épertully est en Saône et Loire et non plus en Côte-d'Or ! L'enfant grandit sans problème, se montrant à peu près studieux. Fils de notaire mais de noblesse insuffisante, il ne pouvait prétendre entrer dans une des grandes écoles réputées. Qu'importe ! On raconte que le Duc d'Aumont, seigneur de la ville et excellent ami des Carnot, établit les faux documents adéquats. Lazare débutera ses études au collège d'Autun. Devenu plus tard un bel et intelligent capitaine, Lazare souhaitait épouser Ursule Bouillet qu'il connaissait depuis l'âge de huit ans. Un jour, le seigneur de Duesme lorgna lui aussi du côté de la demoiselle et osa provoquer Lazare en duel pour s'en débarrasser. Mal lui en prit. Mais la famille Bouillet n'acceptait pas cette union et imagina une sombre machination avec l'aide d'un proche parent, en bonnes relations avec Monsieur le Comte de Puységur, ministre de la guerre pour se débarrasser de ce prétendant sans noblesse. Un beau matin, une plainte concernant le capitaine Lazare fut déposée sur le bureau du chef des armées. Il était accusé de ne savoir tenir correctement son rang d'officier. Une lettre de cachet, acte d'arrestation du jeune homme, fut aussitôt rédigée. Le bouillant capitaine fut enfermé à Béthune. Le père Bouillet pouvait se réjouir, son plan avait merveilleusement réussi, la belle Ursule allait enfin pouvoir chercher un parti digne de la famille. Qu'avait-il donc découvert ? Rien de moins que les lettres de Lazare à sa maîtresse, qu'il avait évidemment volées à sa fille et qu'il chargea un ami de rendre publiques. Avouez qu'un capitaine ne peut manquer à ce point de dignité et de galanterie en laissant publier de tels documents ! Ironie de l'aventure, après deux mois passés en prison, Lazare convolera en justes noces. Mais c'est avec Sophie Dupont, fille d'une famille aisée de Saint-Omer qu'il unira sa vie. Elle lui donnera trois fils. Le second, Sadi, reprenant les travaux de son père, fut le fondateur de la thermodynamique. Les années donneront tort aux Bouillet. Le simple fils de notaire de campagne deviendra député de la Législative puis de la Convention. Entré au Comité de Salut Public en juillet 1793, nommé responsable des armées, il décrète la levée en masse qui sauvera la patrie, mais dont la date varie d'un livre à l'autre, août ou septembre 1793. On le surnommera alors pour toujours "l'Organisateur de la Victoire". Quel merveilleux parti pour Ursule !
Notons plusieurs variantes à cette histoire. Carnot aurait lui-même rendu publiques les lettres de sa maîtresse. Pour d'autres, il rendit publiques les lettres d'une autre de ses maîtresses qui n'était autre que la fille du chevalier de Duesme. D'où le célèbre duel qui suivit ! Mais les légendes qui courent sur la famille de Lazare Carnot ne sont pas terminées. Outre sa passion pour les sciences, Lazare s'enthousiasmait pour l'œuvre poétique d'un auteur persan méconnu, un certain Saadi. Un curieux nom qui inspira le grand homme à la naissance de son premier fils. Il décida de l'appeler Sadi. À cette proposition, la belle-famille, riche et prétentieuse fit aussitôt scandale. Mais malgré tous leurs efforts, impossible de faire fléchir Lazare. Aussi, les grands-parents Dupont organisèrent-ils un second baptême quasi-secret en Bretagne dans un couvent de Capucins. Le vrai père évidemment absent, c'est le propre frère de la mère qui servit d'époux pour cette cérémonie où l'enfant sera renommé par la belle-famille, Nicolas-Léonard Dupont !
Revenons à notre cité. La chapelle Saint-Pierre XVIe, dernière des quinze chapelles que comptait Nolay, profite d'un clocheton en bulbe. Elle servit d'hôpital et de léproserie. Trois lavoirs, l'un non couvert converti en bac à fleurs, ont été préservés à Nolay. Celui de la brasserie, alimenté dit-on par une eau moins froide et qui lavait mieux, attirait les lavandières. Quiconque en buvait était assuré de revenir un jour à Nolay. Ses qualités étaient si reconnues que M. Maupoil, son créateur, construisit en 1848, la brasserie de La Semeuse alimentée par la source et produisant la meilleure bière de la région. Aujourd'hui ruinée, elle employa jusqu'à 150 personnes. Le petit bâtiment administratif se distingue par sa couverture en grosses tuiles vernissées et ses fenêtres Art-déco. Chargée d'histoire, la ville qui ne resta dit-on en Côte-d'Or que suite à une querelle qui séparait Talleyrand, alors évêque d'Autun, de Lazare Carnot, l'enfant du pays, en mélangea ses blasons. Ainsi les "canettes de la famille Carnot" ont-elles remplacé par erreur les "merlettes des Ducs d'Aumont" sur le fronton même de la mairie. Prenez le temps de découvrir le musée d'histoire local et de paléontologie et le micro-musée de la maison de retraite. De leur côté, les nombreux gisements fossilifères que l'on trouve autour de la cité attirent les géologues et une fontaine XXe réalisée avec des élèves du collège le rappelle. Les deux lions qui gardent l'entrée de la cour de la mairie proviennent d'un monument érigé pour le centenaire de la Révolution qui comptait une colonne de bronze surmontée d'une victoire. À l'ouest de la ville, un sentier longe le ruisseau de Bruyère, l'enjambe plusieurs fois sur de frêles passerelles et rejoint les ruines du moulin Larcher. Tout près de là, l'ancien tunnel converti brièvement en champignonnière et les viaducs de la ligne d'Épinac captivent eux, les amateurs d'histoire ferroviaire.
Entre le moulin Blondeau et l'ancienne abbaye de Cirey-lès-Nolay, ils noteront la présence d'un aqueduc souterrain parallèle à la voie, chargé de drainer les eaux descendant des coteaux. La ligne contournait la ville et l'ancienne charcuterie Coc. Ah ! Quel spectacle que l'arrivée des troupeaux en train autrefois ! Énervés par leur interminable voyage dans les wagons vibrants, affolés par le noir et la fumée envahissante lors du passage sous le tunnel de la Roche à Bec, les pauvres bêtes libérées un court instant s'éparpillaient de la gare de Nolay à l'usine, au grand dam de leurs gardiens, coupant la grande route dans le désordre le plus total.
D'autres moulins tournaient aux environs comme le moulin Beurtaux et le moulin Menaults, proche d'une des entrées secondaires des mines de fer de Nolay-Change. Ces mines s’étendaient essentiellement en Saône-et-Loire. À partir de 1844 et jusqu'en 1914, elles ont été exploitées par les établissements Schneider pour les besoins des usines du Creusot. En 1867, elles livrent 70% de leur consommation, soit 243 375 tonnes de minerai et comptent 586 ouvriers. La galerie principale longue de huit kilomètres où des chevaux tiraient les wagonnets, desservait les galeries d'extraction hautes de cinquante à soixante centimètres seulement. Les mineurs commençaient à travailler dès 8 à 10 ans. Grâce à plusieurs puits, le puits Saint-Charles mise en service en 1869, le puits de la Molette profond de 36 m, les mineurs descendaient à l'aide d'une dizaine d'échelles de 4 m chacune et passaient une dizaine d'heures sous terre. En1905, beaucoup de vignerons se firent mineurs après le passage de la grêle qui détruisit les récoltes. Huit kilomètres de rails parcouraient les galeries. Les derniers vestiges du Puits Saint-Charles, fermé en 1914, murs, ouverture de puits, souterrains d'écoulement… se cachent dans les fourrés à 200 m de la limite de commune, côté Saône-et-Loire.
Au chapitre des traditions, on affirme ici que Nolay aurait été précédé d'une première cité sise au "Châtelet". La "Vieille" serait une étrange dame qui rôde le soir sur le chemin de Change. À Nolay, quand un chasseur rencontre un curé, il est sûr de rentrer bredouille. Côté histoires vraies, en 1870, la Galipotte ou si vous préférez loup-garou qui sema la panique les soirs dans la rue Monge, n'était qu'un habitant déguisé, en soif de vengeance. Enfin, l'aventure de Jeanne Gros, mystificatrice, marqua les esprits au XVIIe en se faisant passer pour sainte, au prix de supplices volontaires qu'elle s'infligeait sans broncher.
Voir aussi : Cirey-lès-Nolay, Saigey.
Cirey-lès-Nolay. (Nolay). Dans ce village vigneron rattaché à Nolay et dominé par la statue de Notre-Dame de la Délivrance, on découvre les restes de l'abbaye de Saint-Jean-d'Autun, baptisée autrefois Cirey-l'Abbaye, possédant une chapelle voûtée d'ogives et un beau pressoir. La chapelle Saint-Vincent XVIIIe couverte en laves s'honore d'un fin clocher d'ardoises.
Ajoutons deux lavoirs et une curieuse croix XVI-XIXe décorée de têtes de morts. Il faut rappeler que calvaire vient du latin calvarium qui signifie crâne. (À Jérusalem, le golgotha ou calvaire était une colline sur laquelle les romains crucifiaient les condamnés. Le mot araméen "gulgota" signifiait crâne, Golgotha en étant la forme grecque. Ce nom pourrait provenir de la présence de crânes ou d'ossements. Certains pensent aussi que le sommet de la colline avait la forme d'un crâne. Parmi les différents noms qu'on lui donna, on trouve celui de calvaire).
Une barre rocheuse qui domine la cité, et quand la lumière est favorable, certains y voit deux visages côte à côte. À ses pieds, on trouve l'ancien ermitage de Cirey et la chapelle Sainte-Reine, Saint-Jacques et Saint-Philippe. Recouverte d'une voûte en berceau chaînette, elle est surmontée d'un toit de laves. Une porte centrale et deux fenêtres s'ouvrent sur la façade. Les linteaux portent des coquilles sculptées, souvenir d'un voyage à Compostelle qu'effectua un de ses donateurs, l'honorable Philibert Regniaut, maître tailleur à Nolay. Elle pourrait aussi se situer sur un itinéraire de raccordement des routes de Compostelle. C'est en 1740 qu'elle fut érigée et non en 1723 comme le laisserait supposer une date gravée au-dessus de la porte. Rapportée par Alice Pouleau, l’histoire de Reine et Philippe, séparés pendant sept ans et mariés la veille de Noël, se termine devant cette chapelle. Surpris par une tempête de neige sur le chemin de la ferme de Dragny alors qu’ils venaient de fêter leur union, ils furent attaqués et dévorés par les loups au moment où ils allaient se réfugier à l'intérieur. Seule une vieille croix de bois branlante rappela longtemps le souvenir de cette mésaventure.
Ermitage et chapelle sont sans doute liés et rattachés à une troisième curiosité bien moins connue. Derrière la chapelle, on enjambe d'abord un tumulus, puis on atteint la falaise où un œil observateur remarquera une série de cinq trous taillés de main d'homme, visiblement destinés à recevoir des poutres de bois. Ici se dressait au XVIIIe un oratoire adossé à la montagne. Un acte de 1724 rappelle que Philibert Regniaut et sa femme ont rétabli et agrandi l'oratoire situé aux pieds des roches. Sous les substructions enfouies, des fouilles ont mis à jour un site encore mystérieux. Parmi le mobilier, on trouve des pièces de monnaie, fragments de poteries, bagues et trois squelettes d'enfants de quinze ans maximum. Est-ce l'emplacement d'un cimetière païen ? Il semble que des vertus cachées soient attribuées à cet endroit depuis le Moyen Âge, la datation des vestiges remontant jusqu'au XVe. Mais quel était le rôle exact de cet oratoire ? Les diverses campagnes de fouilles n'ont pas réussi à répondre à la question. En juillet 1844, l'abbé Mallat dans la revue de la Côte-d'Or et de l'Ancienne Bourgogne, rapporte également la présence d'un ermite dès le Moyen Âge. Cet homme aurait construit au pied de la falaise le fameux oratoire et le premier ermitage. L'ermitage actuel daterait du milieu du XIXe et serait l'œuvre… d'un ermite qui l'occupa pendant quelques années ! Toutefois, comment un homme seul aurait-il pu construire en si peu de temps, une maison en pierre avec deux chambres, une écurie, des terrasses englobant une cave, une chambre à four, une citerne, aménager un vaste jardin, planter des vignes et entourer le tout de murs ? Enfin, sachez que de la petite chapelle, vous découvrirez le jour de la Trinité, à 3 h justes, si vous êtes trois, le lever merveilleux de trois soleils. On vous dira aussi que les habitants plantaient autrefois un bâton au bout des rangs de vignes pour les protéger du vent et qu'ils partaient le soir en procession visiter les nids de chouettes.
Au bord du sentier qui de là, grimpe sur le plateau, on déniche une petite grotte qui révéla une occupation préhistorique. Enfin, comme dans toute la région, les fossiles sont innombrables, gryphées dans les vignes et articles de tiges d'encrines dans les falaises. Ces étoiles à cinq branches sont des fossiles d'un étrange animal marin disparu. Il se composait d'une tige terminée par un calice muni de longs bras flexibles chargés de filtrer dans l'eau les particules nutritives. Chaque étoile est un petit morceau de la tige fossilisée, un "article". Les premiers crinoïdes vivaient il y a plus de 400 millions d'années. Parfois, on déniche des morceaux de tiges composés d'une série d'articles (d'étoiles) encore collés ensemble. On surnomme ces petits fossiles, Croix de Jérusalem ou des Chevaliers, bâtons de Saint-Jacques, étoiles de Marie ou de Compostelle, ou encore Coquelusettes. Une légende affirme que les étoiles filantes qui rayent le ciel des nuits d'été viennent s'écraser ici contre la falaise. Ce sont ces étoiles éteintes que l'on retrouve ensuite en longeant les roches. On rapporte également parfois l'histoire d'une belle princesse attaquée par un bandit ou un chevalier mal intentionné. Tout en courant pour fuir le danger, elle pria la Vierge de lui venir en aide. Aussitôt, une pluie d'étoiles déferla sur le cavalier et l'aveugla, permettant à la belle de s'enfuir.
Saigey. (Cirey-lès-Nolay). Le hameau nous attend avec ses rares curiosités : un pigeonnier carré accolé à une maison et une croix en pierre marquant le chemin du lavoir à deux arcades, édifié en contrebas à l’écart au nord des habitations.
André Beuchot
©André Beuchot
Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON
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Ecoles maternelle et élémentaire. Centre de loisirs. Terrain multisports.
Collège Lazare Carnot ; Place de Pfeddersheim - 03 80 21 71 95.
Très nombreuses associations pour tous les âges et dans tous les domaines (culture, sports, loisirs) ; voir www.nolay.fr
Artisans. Tous commerces et services. Viticulture. Professions de santé. Art et artisanat.
La vigne des Hautes Côtes, très présente aux côtés de l’agriculture traditionnelle, apporte un plus économique.
Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.
CCI Côte-d’Or - Saône-et-Loire : votre partenaire 360°du développement territorial
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Visite guidée : Départ de l'office de tourisme, 24 rue de la République - 03 80 21 80 73.
A vélo sur la Voie Verte Santenay-Nolay.
Circuits pédestres dont le "Sentier Jean-Marc Boivin" et le "Sentier des Trois Carnot", inscrits au Plan Départemental d’Itinéraires, de Promenades et de Randonnées (PDIPR). Ces itinéraires bénéficient d’un véritable label de qualité, mis en place par le Conseil Général de la Côte-d’Or.