Maire Guy Vadrot
Adresse Place de la Mairie - 21590 Santenay
Tél. 03 80 20 60 32 Fax 03 80 20 66 06
Email info@ville-de-santenay.fr
Site www.ville-de-santenay.fr
Population 913 habitants. Les Santenois et Santenoises
Altitude 367 mètres
Superficie 1036 ha
Situation géographique Entre Beaune et Chalon-sur-Saône
Communauté de Communes CA Beaune Côte et Sud
Canton LADOIX-SERRIGNY
Santenay, commune viticole (390 hectares dont 140 hectares en premier cru) est adossée à la montagne ; c'est une station hydrothermale et climatique depuis 1968. Ses eaux bienfaisantes et ses vins sont propices à un art et une douceur de vivre.
Elle est partagée en quatre zônes habitées ;
- Santenay-le-Haut, la partie la plus ancienne, s'appelait autrefois Narosse. Aujourd'hui elle est partagée entre la Charrière et le quartier thermal.
- Saint-Jean, au pied de la falaise est surplombé par le Mont de Sène.
- La Crée sépare ces deux dernières agglomérations de Santenay-le-Bas.
- Santenay-le-Bas est devenu le centre commercial en particulier après l'apparition du chemin de fer.
Eglise romane Saint-Jean de Narosse du XIIIè siècle.
Lavoir. Croix.
Château ; donjon, douves, pigeonnier, deux très beaux platanes encadrent le pont-levis.
Le Moulin Sorine *.
Découvrez la vue panoramique offerte du sommet du Mont de Sène, appelé aussi Montagne des Trois Croix.
Photo Echo des communes
Côte-d'Or Tourisme © R. GUITON
©André Beuchot
©André Beuchot
©André Beuchot
UN CURIEUX EN BALADE
Le 17e opus d’un infatigable découvreur !
Passionné par son département, André Beuchot livre un formidable inventaire de ses communes, hameaux, histoires et légendes...
Marcheur, chercheur de pierres légendaires, randonneur au long cours André Beuchot sillonne, inventorie l’histoire des chemins, des pierres et des centaines de villages et de hameaux côte d’oriens... Un de ces oiseaux rares et discrets ? Allez savoir... en tous cas Un curieux en balade est un ouvrage à lire, à conserver comme les anciens almanachs qui font toute la saveur de nos villes et campagnes !
CONTACT
Éditions André Beuchot :
8 rue Pierre de Saint-Jacob 21000 DIJON
beuchot@numericable.fr
Canton de Nolay
Depuis le fond des temps, le Mont de Sène (521 m), qui n'est autre dit-on qu'une gravelle de terre tombée des bottes de Gargantua, appelé aussi Montagne des Trois Croix, semble être un lieu sacré. Pour certains, son nom ferait référence à la Cène du Christ. Pour d’autres, ce patronyme découlerait de Senelée, désignant une haie d’épines blanches. Le fruit de l’aubépine était appelé Cenelle en ancien français. Les plus bourguignons y voient la présence de la moutarde, le sénevé, qui poussait peut-être sur ses flancs au temps des ducs de Bourgogne. Voilà bien des théories, toutes plus symboliques l'une que l'autre ! En 1767, Pierre Millard, marchand de cuir originaire de Santenay, fit édifier au sommet un premier calvaire. Après bien des destructions et reconstructions, il a cédé la place aux trois croix actuelles en béton. Elles donneront son surnom à la montagne.
Des dolmens étaient érigés tout autour, les trois dolmens du Cul Blanc subsistent encore, un seul étant en bon état (en réalité, sur le territoire de Dezize-lès-Maranges). On raconte qu'il abrita un ermite, puis au XIXe siècle, un habitant du village tentant d’échapper à la conscription ou pour on ne sait quel autre crime. Le second monument se terre à cinq mètres, dans les buis, la dalle effleurant le niveau du sol. Le dernier, en ruines, se cache à 400 m au nord-est dans une doline.
La grotte de la Roche Fendue, dans les roches du bois de la Fée, recela des foyers et sépultures néolithiques. Notons encore dans la région, le faux menhir du bois de la Fée, qui n'est rien d'autre qu'un des Teux Blancs. À 2 km au sud-est de Santenay, un mégalithe retrouvé brisé caché dans une haie, face à la Fontaine Salée, fait l'objet d'un projet de restauration.
Sur le mont de Sène, s'installa un temple celtique. Puis les Romains édifièrent un temple à Mercure qui fut ensuite christianisé et dont subsistent les bases (recouvertes). Le sentier de grande randonnée (GR®) qui monte vers le Mont de Sène et Nolay, emprunte au-dessus du hameau de Saint-Jean une voie antique dallée et munie de deux sillons taillés dans le roc pour guider les attelages. Sous la montagne, se glisseraient d'interminables souterrains !
Les curieux remarqueront plusieurs pitons rocheux à 300 m au nord-est de la Roche Fendue. Certains d'entre eux, surnommés les Teux Blancs, seraient un fermier et son épouse pétrifiés pour avoir labouré le dimanche de la Fête-Dieu. Les bœufs ont été transformés en tas de pierre. On parle aussi du vilain et de la vilaine pétrifiés, par Dieu ou une fée, là encore pour avoir travaillé un jour de Fête-Dieu. Leur couleur changeante annonce le temps. Ils foncent à l'approche de la pluie et leurs ombres donnent l'heure. On dit encore que l'un d’eux serait le repaire secret d'une Vouivre qui y cacherait son trésor.
On raconte encore que la paroisse de Santenay était troublée par deux horribles génies malfaisants, aussi grands que laids, aussi stupides que méchants, dont les patronymes se sont perdus dans la nuit des temps. Non seulement ils piétinaient et dévastaient pâtures et cultures de leurs lourdes démarches, mais ils étaient toujours à la recherche d'un mauvais tour. Mais le bois qui s'étire sur la montagne s'appelle le bois de la Fée. Une fée réputée pour sa bonté et sa gentillesse y habitait. Lasse des dégâts causés par ses gigantesques voisins, elle réussit à les surprendre en pleine action et, d'un coup de sa baguette magique, les transforma en blocs de roche. Croyez-moi, si vous montez sur la Montagne des Trois Croix, vous ne pourrez manquer de remarquer à sa base, ces deux éperons de pierre qui tranchent au milieu des arbres.
Ville d'eau et... de grands vins, rouges principalement, terre d'accueil des derniers vignobles de Côte-d'Or avant la Saône-et-Loire, la commune se divise en deux : Santenay-le-Haut et Santenay-le-Bas.
Santenay-le-Haut englobe maintenant le hameau de Saint-Jean, appelé jadis Cernay puis Narosse qui fut autrefois plus conséquent. Une chapelle y fut édifiée dès le début du XIIIe siècle. Elle deviendra vite église paroissiale. Deux siècles plus tard, le chœur et les collatéraux laissèrent la place à un nouveau chœur adjoint de deux chapelles. Il faudra attendre le XVIe siècle pour voir apparaître le clocher. Une croix "templière" est gravée sous le porche. À l'intérieur, on observe des boiseries, vitraux, une litre funéraire du XVIIIe siècle de la famille Parigot, une fresque datant peut-être du XVe siècle et deux saints Michel combattant le dragon, le premier sur une peinture murale, le second sous forme de statue. Cette belle église fut fermée au culte à la fin du XIXe siècle, après la construction de Notre-Dame du Rosaire à Santenay-le-Bas. Elle mérite une visite, tant pour son aspect extérieur que pour son intérieur. Le cimetière accueille une croix en pierre au socle joliment sculpté au XV ou XVIe siècle.
Près de la source voisine, le clos de Malte porte lui aussi des croix templières. Selon la tradition, le vignoble aurait été appelé ainsi vers 1850 pour honorer l'ordre des Chevaliers de Malte, à l'initiative de l'église voisine. Pourtant, l’église n’a pas d’origine templière et la croix sur le porche n’est ni une croix templière, ni une croix de Malte... ! Le vignoble fut replanté et vendu en 1940. Sauf si le propriétaire était secrètement rattaché à l'ordre du Temple, aucun lien historique ne nous relie aux Templiers ou aux Hospitaliers.
Au fil des rues de Santenay-le-Haut, on note plusieurs lavoirs, sans toit ou avec toit en atrium sur le Terron qui voisine des bassins ayant pu servir de rouissoirs. D'autres rouissoirs et un moulin dont il ne reste que des brides de murs se trouvaient en amont.
On croise d'imposants domaines viticoles, le domaine Prieur-Brunet couvert en belles tuiles vernissées dissimulant un puits couvert dans sa cour. À l'ouest, deux tours carrées encadrent le château de la Charrière construit au XVIIIe siècle par François Millard. La chapelle Saint-François, nichée à proximité, fut également construite au XVIIe siècle par François Millard. Plus loin vers l'est, le château de la Crée reconstruit au XIXe siècle, repose sur d'antiques caves du XIIIe siècle. Une centaine de mètres au sud-ouest, on découvre la belle demeure du XIXe siècle couverte d'ardoises du domaine Chapelle. Au XVIIe siècle, l'ancienne maison de la confrérie du Saint-Sacrement abritait une cuverie au rez-de-chaussée et une école religieuse de garçons à l'étage.
Santenay-le-Bas, est dominé par le château de Philippe le Hardy qui abrite un petit musée du vin. Il se couvrit au XXe siècle de tuiles vernissées. Le donjon daté du XIVe siècle côtoie des bâtiments plus récents du XVIIIe siècle. Un pigeonnier rond se dresse contre le mur du parc. Sous l'édifice, des aqueducs souterrains identiques à ceux de l'abbaye de Saint-Vivant, apportent l'eau à une citerne. Deux platanes , celui de droite étant creux, encadrent le pont de pierre du XVIIIe siècle qui enjambe les douves. Plantés en 1599, ils seraient une récompense royale accordée par Henry IV.
En descendant dans le village par la Grande Rue, on rencontre une demeure de maître du XVIe siècle dite de Bouligneux, illustre maison de Bresse, selon Courtépée. Plus bas, une fine flèche en ardoises encadrée par des chiens-assis surmonte le clocher porche de l'imposante église néo-gothique Notre-Dame-du-Rosaire, bâtie au XIXe siècle, qui tourne le dos à la rue. Un motif floral ornemente le tympan.
La belle mairie école du XIXe siècle n'est pas loin et après une cinquantaine de mètres, on atteint la chapelle Sainte-Agathe construite au XVIe siècle, convertit en prison à la Révolution, époque où fut dressé le beffroi accueillant le tocsin qui deviendra son clocher. On débouche plus bas sur la place du Jet d'Eau dominée par l'hôtel Duvault-Blochet/Maufoux/Evenstad du XIXe siècle, édifié sur des caves du XVe siècle.
Plusieurs beaux puits, de nombreuses autres maisons de maîtres, cuveries ou hôtels particuliers parsèment Santenay, comme le château du Passe-Temps à l'entrée est. Notons encore un lavoir sans toit proche de la Dheune.
Santenay accueillait autrefois deux lignes de chemin de fer. La ligne de Nevers à Chagny, toujours active, et la ligne d'Épinac-les-Mines ouverte en 1870. Fermée aux voyageurs en 1979, puis aux marchandises en 1987, elle fut réaménagée en voie verte. Quelques ouvrages d'art, la gare et les maisons des gardes barrière ont subsistés
À Santenay, la fontaine Saint-Martin guérit de la teigne, celle du Téron (ou Terron), des maladies d'yeux, ce qui invite à évoquer l’histoire des sources thermales, radioactives lithinées. Autrefois, la ville comptait quatre sources pouvant être exploitées : la fontaine Salée, la source Carnot, la source Lithium et la source Santana. Sadi Carnot, Président de la République, souhaitait faire de Santenay une station thermale. La station connut une histoire rocambolesque. Sous l’Ancien Régime, les habitants récupéraient le sel de la fontaine Salée afin d'éviter de payer la Gabelle. Les receveurs de l'État jetaient alors des ordures dans la source pour essayer de récupérer ce manque à gagner. Les derniers vestiges de la Fontaine Salée, connue à l'époque gallo-romaine, somnolent 400 m au sud-ouest de la piscine, en face du pont de chemin de fer.
En 1898, Lucien Garreau fit édifier le bâtiment de la source Carnot et sa tour. Comme la fontaine salée, l'eau était aussi vendue en bouteilles. Son nom rend hommage au président assassiné. En 1904, on inaugura le centre thermal et l'hôtel. Mais rien ne fonctionna comme prévu. Il faudra attendre 1946 pour que le Grand Hôtel soit racheté en par la S.N.C.F. pour en faire une école d'apprentis puis une maison de retraite. Le pavillon de la source rehaussé de motifs en céramique vient lui aussi d’être refait mais la tour qui abritait le tubage a été tronquée lors des derniers travaux.
L'eau de la source Lithium arrive de plus de 80 m de profondeur (comme les autres). Source artésienne, elle coule naturellement à la surface. En 1888, elle est la plus lithinée des eaux de France. À la fin du XXe siècle, le docteur Gagey fit construire une installation balnéaire avec une série de cabines et un kiosque. Puis naîtra l'hôtel Kursaal. La guerre de 1914-1918 fera cesser l'exploitation. L’hôtel est devenu le casino.
La source Santana est opérationnelle en 1906. L'eau vendue sous la marque Apollo fait référence aux découvertes archéologiques d'un temple dédié à Apollon… qui n'exista pas ! Le temple de la montagne des Trois croix était dédié à Mercure. De plus, l'eau est additionnée artificiellement de sulfate de magnésium. En 1917, les autorités de surveillance médicale réagissent contre cette publicité mensongère, les étiquettes faisant croire à une eau naturelle. Le pavillon d’architecture mauresque rehaussé de briques colorées situé face à la maison de retraite SNCF a disparu lors de la construction du nouveau centre thermal.
Les quatre sources sont rachetées par la municipalité en 1956. En 1958, un nouveau kiosque (disparu lui aussi de nos jours) fut construit et regroupait les eaux des sources Carnot et Lithium. Mais tout sera de nouveau fermé. Aujourd'hui, la nouvelle station thermale de Santenay propose deux orientations : la rhumatologie et les affections digestives et métaboliques.
Qu'en est-il de l'histoire des moulins ? Au milieu du XVIIIe siècle, deux moulins à eau s'activent à Santenay, le premier sur la Dheune, le second sur le Terron. Ce dernier disparaîtra rapidement, tandis qu'un nouveau moulin apparaît sur la Dheune. Les deux moulins à farine de la Dheune, le moulin Sauge (ou Saule) et le moulin du Pont, pouvaient tourner jour et nuit si l'eau ne manquait pas. Hélas, cela arrivait parfois. Le moulin Sauge fut alors équipé d'une machine à vapeur et l'idée d'un moulin à vent insensible à la sécheresse et au gel fut évoquée. En attendant, François Chary demande en 1812 l'autorisation de construire un nouveau moulin à la source du Boichot, sortie présumée d'un vaste lac souterrain. Sa demande est rejetée, mais en 1823, François Sorine, fils d'un vigneron de Santenay, reprend le projet et arrive à le construire. Il est vite déçu car le débit de la source est très irrégulier. On lui accorde l'autorisation de bâtir un second moulin avec bief à condition qu'il construise un pont pour enjamber la rivière et un lavoir pour remplacer celui qu'il a détruit. Il ne fera ni l'un ni l'autre. Malgré cela, entre 1825 et 1835, la commune lui cède un terrain pour édifier un moulin à vent au lieu-dit "les Gravières". À partir de plans établis en 1823, le moulin voit le jour. Le toit mobile rotatif porte les ailes et un long levier arrière permet de le faire tourner sur la maçonnerie pour le mettre face au vent. Hélas, s'il peut fonctionner quand les autres manquent d'eau, il produit 15 fois moins de farine. Quarante ans plus tard, le chemin de fer arrive. La ligne Chagny-Nevers doit passer sur l’emplacement des moulins de Boichot. Malins, les héritiers Sorine vendent alors à la Compagnie PLM un lot de trois moulins, les deux moulins à eau et le moulin à vent dont l’exploitation est abandonnée. Les moulins à eau disparaissent, le moulin à vent est abandonné. Il sera sauvé en 1990 par la ville de Santenay qui le restaurera. De leur côté, le moulin Sauge et le moulin du Pont ont bien changé mais existent toujours.
Sur les hauteurs de Santenay, au lieu-dit La Montagne ou la Grande Chaume, plusieurs carrières souterraines fournissaient autrefois la dolomie utilisée pour la fabrication du verre. De nombreuses galeries et puits sillonnent le plateau en totalisant une douzaine de kilomètres de réseau ! À l'intérieur, on croise poudrières et restes de rails. On trouve également les vestiges d'installations de broyage de la dolomie. La Petite Chaume, en contrebas, compte pour sa part une douzaine de petites cavernes de 4 à 50 m et puits de 3 à 10 m. Plus à l'ouest, à la même altitude, un puits de 8 m accède à la grotte de la Brèche aux Ossements qui se révéla un riche gisement ossifère. La dolomie était évacuée par le canal en direction des verreries du Creusot. Une rigole supplémentaire d'alimentation captant les eaux de la Cozanne existait alors, terminée par un joli viaduc disparu au-dessus de la Dheune à Cheilly-lès-Maranges. Délaissée quand le trafic du canal diminua, elle a hélas été en grande partie détruite. À l'emplacement du port de Corchanu, on trouve les restes d'un broyeur de dolomie, une meule et les vestiges de bâtiments réutilisés.
André Beuchot
© André Beuchot Meule pour broyeur dolomie
©André Beuchot
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©André Beuchot
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Notre société et nos territoires connaissent de profondes mutations. Ils font face à des évolutions majeures liées aux changements des habitudes de consommation, aux déplacements, aux nouvelles formes de travail, à la pression environnementale, à l’équilibre entre espaces ruraux et urbains ou à l’impact des technologies numériques.
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Découvrez le Mont de Sène ou Montagne des Trois Croix, classé "parc naturel" depuis 1993 : ce site domine la vallée qui se termine en "bout du monde" et où se trouve le hameau de Saint-Jean. Il forme un mamelon d'environ 100 mètres de long culminant à 521 mètres.
Site de la Montagne des Trois Croix pour les amateurs de parapente.
* Le Moulin Sorine se visite sur rendez-vous toute l'année pour les groupes ;
Renseignements : Office de Tourisme - 03.80.20.63.15.
Email : info@ville-de-santenay.fr