Balade au pays des grands vins

Balade au pays des grands vins

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CDRP 21

La Côte-d'Or c'est près de 3 000 km d'itinéraires de randonnée balisés : à la découverte du patrimoine urbain Dijonnais, des plaines de Vingeanne et du val de Saône, des paysages viticoles des côtes et hautes côtes, des vallées de l’Ouche ou du Suzon, des paysages agricoles de l’Auxois ou des forêts du Morvan et du Châtillonnais, il y en a pour tous les goûts.

Vous ne voulez pas y aller seul ? Rejoignez l’un de nos 57 clubs de randonnée : c’est la garantie de marcher toute l’année dans une ambiance conviviale et en toute sécurité grâce aux animateurs bénévoles.

Alors n’hésitez plus, enfilez vos chaussures de randonnée et partez parcourir les sentiers.

Comité départemental de randonnée pédestre de Côte-d'Or
CDRP 21 - 9 rue Jean Renoir 21000 Dijon
Tél. 03 80 41 48 62
www.cotedor-randonnee.com
cote-dor@ffrandonnee.fr

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Texte et photos ©André Beuchot

 

 


Partez à la découverte du château du Clos de Vougeot, des villages de Vougeot, Chambolle-Musigny et Morey-Saint-Denis, mondialement connus, et des paysages de vignes. Une balade au cœur des célèbres climats pour découvrir autrement le vignoble de Bourgogne. Et quand l'air est pur, vous pourrez apercevoir au loin, le Mont-Blanc.

Balade au pays des grands vins.

Autour du Clos de Vougeot

Distances : 8,5 km. Niveau : facile.

 

À DÉCOUVRIR EN CHEMIN

  

Chambolle-Musigny

Chambolle-Musigny.

L'histoire du bourg commença certainement au châtelet préhistorique du Grognot, superbement situé à l'entrée de la combe Ambin, au-dessus de la petite chapelle XVIIIe et de l'oratoire abritant une Vierge polychrome. Lors de fortes pluies, un ruisseau se forme dans cette combe et dévale vers le village qui fut victime d'une importante inondation le 28 Juillet 1900, le niveau atteint étant repéré sur une maison de la rue Basse. Chambolle tirerait d'ailleurs son nom de l'aspect bouillonnant des eaux du ruisseau après les orages, campus ebulliens, les champs bouillonnants. Version parfois contestée, certains préférant un diminutif gaulois, cambo, désignant la courbe d'une rivière. Les anciens affirment qu'un immense lac souterrain gardé par un génie se cache sous la montagne. Mais coléreux, il libérait les flots dès qu'un passant lui déplaisait. Aussi, les habitants demandèrent l'aide de la Vierge qui l'enferma dans un rocher. Depuis ce jour, les eaux n'envahissent plus le village. Musigny, nom du meilleur cru de Chambolle, fut ajouté au nom de la commune en 1878.

C'est ici qu'en 1938, les Chevaliers du Tastevin organisèrent la 1ère Saint Vincent tournante. Un pays de grands vins, élégants, subtils et féminins, dont le roi est le Musigny, les Amoureuses pouvant servir de reine. Les Bonnes-Mares débordent sur Morey-Saint-Denis, vins de garde pleins et vineux. Mares qui nous vient de mères, les Bonnes-Mères de l'abbaye de Tart, ordre féminin de Cîteaux, autrefois propriétaire de ces grands crus.

Chambolle-Musigny.

L'église Sainte-Barbe XVIe s'honore de magnifiques peintures murales éclairées par les fenêtres gothiques parées de beaux vitraux, d'un clocher dôme à impériale et d'un cadran solaire. Un vieux tilleul imposant datant, dit-on, des années 1500, se dresse d'un côté de l'édifice, un Christ aux Liens en mauvais état de l'autre.

En flânant dans le bourg, on déniche la fontaine Sainte-Anne ornée de pierres à bossages. En face, une niche accueille une statue polychrome de la sainte. Outre la mairie-école, on trouvait autrefois une école de filles à quelques mètres. Le lavoir XIXe se niche dans une petite rue à l'entrée est. La cité recèle de belles maisons de maîtres, un ancien relais de diligence et plusieurs demeures se disputant parfois le titre de château. On repère ainsi le château Grivelet XVIIIe et le château Mugnier XIXe, propriété de Frédéric Mugnier, dont la distillerie fut vendue en 1950 à la maison Héritiers Guyot qui conserva la marque devenue célèbre. Le château Ziltener (ou château du Petit-Musigny) édifié le siècle précédent qui abrite un petit musée du vin est devenu un hôtel. Difficile à découvrir, le domaine de Voguë XVe, remanié au XIXe, s'honore d'une tour hexagonale encastrée et de fenêtres à accolades. Avec sa parure de fausses briques rouges et ses balcons en bois découpé, le chalet de Montille de style Napoléon III, cache une curieuse petite tour en arrière. Semblable à une sorte de temple d'amour, elle est recouverte de tuiles vernissées.

Chambolle-Musigny.

Le flanc droit se décore de belles falaises calcaires aménagées en site d'escalade. Un parcours d'entraînement à la montagne y est fléché. Au départ de la dernière maison du village, il gravit le coteau, puis enchaîne falaises et blocs avec deux cotations de difficultés.

En descendant la Vouge, on repère, au bord de l'eau, une pierre à laver et, caché derrière un mur, un ancien vivier. Sur le plateau, la source du Chaignot se cache sous son abri couvert de laves, face à une mare demi-circulaire, alors qu'au sud-est naît la Vouge.

Ne quittons pas Chambolle-Musigny sans parler de la jolie luterne avec son poil soyeux, sa belle queue duveteuse et son long bec, variante locale du célèbre dahu.

Une papeterie modèle

Chambolle-Musigny.

Au-dessus de Vougeot mais sur le territoire de Chambolle-Musigny, la résurgence de la Vouge rejoint un vaste bassin où bouillonne une seconde source. Plusieurs séances de désobstruction en plongée n'ont pas permis de dégager un laminoir d'où surgit un violent courant.

L'étang baigne une demeure à l’allure de château sur les hauteurs de Vougeot, avant de se glisser sous un pont à trois arches. Ce château d'aspect sévère porte en façade un grand cadran solaire, un second plus petit sur le côté, tandis qu'un petit lavoir s'accroche à la rivière. Ici se tenait en fait autrefois une papeterie utilisant la force hydraulique de la Vouge. Courtépée nous en parle de la sorte :

La source de la Vouge, belle fontaine sur laquelle est une papeterie renommée, la plus belle et la mieux fournie d'ustensiles sur le finage de Chambolle.

Chambolle-Musigny.

Une cheminée ronde se reflétait alors dans les eaux dormantes. Au XVIIIe, le sieur Desventes, libraire à Dijon, établit en moins de 18 mois, sur la source de la Vouge, une très belle papeterie avec l'aide des États qui y ont contribué. Elle était dirigée par M. Varenne de Beost, secrétaire des États et conduit par le sous-ingénieur de la province, M Gothey. Cet homme a démontré ses grandes capacités techniques. Toutes les machines servant à la fabrication du papier furent simplifiées. Les roues principales sont en fer et l'une d'elles, de 11 pieds de diamètre, suscite l'admiration. Elle demande moins d'eau pour agir qu'une roue en bois et exige moins d'entretien. Son engrenage est si précis, qu'avec quatre à cinq pouces d'eau, toute la machinerie est en mouvement. Elles donnent en 15 ou 16 heures, les mêmes résultats que ceux obtenus ailleurs en 25 h ou 30 h. Le cylindre, d'une construction inconnue jusqu'à présent, tourne à environ 50 tours par minute et son fonctionnement amalgame les particules de chiffons au lieu de les briser, ce qui fournit un papier beaucoup moins cassant. Une cuve de 5 pieds 1/2 sur 2 pieds 1/2 appelée cuve de l'ouvrier, fut taillée dans un seul bloc de pierre. Les premiers échantillons sortis de cette manufacture font présumer que son papier égalera le plus beau qui arrive d'Angleterre.

Malheureusement, la fabrique ne durera que de 1758 à 1762, la cause semblant être l'installation du fameux cylindre, fondu d'une seule pièce.

Des petites grottes pour s'abriter.

Chambolle-Musigny.

Trois petites grottes attirent l'attention.

La Chambre aux Fées, de modeste importance, au-dessus du village dans les premières barres rocheuses, aurait été occupée aux temps préhistoriques. Elle pourra faire un bel abri en cas de pluie. La légende nous affirme qu'elle fut la demeure de la mère Girarde (une des fées ?). On rapporte que cette légende viendrait de l'occupation de la cavité entre 1840 et 1860 par la famille de la madame Girarde (ou Girade). Une autre famille s'y installa lors de la guerre de 1914-1918, donnant le jour à un enfant en 1915. Il est vrai que la température dans cette caverne, toujours agréable, peut la rendre habitable. Autre tradition : elle communiquerait avec la grotte des Bonnes Mares, nichée comme son nom l'indique, au-dessus du célèbre vignoble, et dont l'entrée est surmontée d'une petite voûte en pierre. 

Enfin, la dernière cavité, minuscule, simple abri pour 3 ou quatre randonneurs accessible par un raidillon sur la gauche, se cache dans le bras gauche de la combe en venant de Chambolle-Musigny, 200 m après la chapelle environ.

Morey-Saint-Denis.

Morey-Saint-Denis.

C'est en 1927 que Morey-en-Montagne devint définitivement Morey-Saint-Denis. Avec ses 1000 ha, Morey-Saint-Denis est une des plus petites appellations des grands vins de Bourgogne. Clos de Tart, Clos Saint-Denis, Bonnes-Mares (Les bonnes mères Bernardines), Clos de la Roche et Clos des Lambrays demeurent les plus réputés, même si on y aperçoit une fausse cabote. Ce clos fut la propriété de Camille Rodier, fondateur de la Confrérie des Chevaliers du Tastevin.

Très dispersé, le bourg se divise en trois parties. Le vieux village au cœur du vignoble, un quartier neuf à l'entrée de la combe qui entaille la montagne et un second quartier neuf à l'est de la grande route.

Commençons ce tour d'horizon rapide par le vieux village. L’église reconstruite en grande partie au fil des siècles, conserve une chapelle cistercienne XIIIe, le chœur actuel. On lui ajouta la tourelle sud au XVe, époque où elle fut fortifiée permettant aux habitants de s'y réfugier. Les modifications se poursuivirent au XVIIIe. La nef fut reconstruite tandis que la nouvelle façade de style grec arborait des ailerons en volutes surmontés de vases. Quelques beaux vitraux apportent une lumière colorée sur les stalles en bois XVIIIe où trônent deux cariatides.

Morey-Saint-Denis.

Au gré des rues, on découvre l'ancienne mairie école, la maison Morizot du XV-XVIe reconnaissable à sa tourelle, la demeure belle époque du domaine Rémy, le cellier de Saint-Denis, le domaine du Clos des Lambray et son parc XVIII-XIXe, la maison des Templiers, le vieux four banal, le pigeonnier carré XVIIIe surmonté d'un lanternon du domaine Dujac et des vieilles demeures et maisons de maîtres du XVIe au XIXe, l'une possédant d'intéressants communs ornés de bustes de chevaux en bronze. Une de ces demeures, située près de l’église, a été la propriété du mathématicien Gaspard Monge. Ancienne cuverie abritant un pressoir au XVIIIe, le castel de Très-Girard fut transformé en hôtellerie. Le domaine du Clos du Tart XVIe, ancien cellier médiéval des Bernardines fondé au XIIe, conserve toujours un majestueux pressoir perroquet à roue et deux étages de caves voûtées superposées aménagées au milieu du XIXe.

Au sud du village, le domaine XVIII-XIXe de la Bussière ou Petite Bussière, ancien logis et cuverie de l'Abbé de Cîteaux, garde toujours une chapelle.

Dans le cimetière surveillé par une croix en métal, on remarque contre un mur les stèles XIXe sculptées de deux prêtres. Plusieurs autres croix en pierre sont parsemées sur le territoire, la plus intéressante devant l'église.

Morey-Saint-Denis.

En grimpant vers le nord-ouest, on arrive au village haut veillé par une petite Vierge abrité sous un oratoire. Derrière les maisons s'ouvre la combe de Morey bordée de carrières en rive gauche. Les randonneurs qui remontent le vallon bordé de roches où une aiguille rocheuse a pris le nom de Cheveu Blanc, arrivent à un escalier qui se faufile jusque sur la crête. Plus loin, la ferme de Buère est désormais convertie en centre équestre.

Au sud-est, le village neuf peine à retenir les curieux. On observe toutefois une petite maison de maître XIXe au toit d'ardoises veillée par un cèdre majestueux.

Vougeot.

Vougeot.

Plus petite commune de la Côte viticole, mais non la moins connue. Clos de la Perrière et surtout Clos Vougeot (ou Clos de Vougeot) participent à sa renommée. Soixante-dix propriétaires se partagent les 50 ha de ce dernier. Fondé au XIIe par les moines de Cîteaux et fixé dans ses dimensions définitives avant le XVe, le château des XII-XVIe abrite salons Renaissance, cuverie, cellier roman surmonté d'un dortoir et quatre pressoirs majestueux du XVIe à balancier figurant parmi les plus grands de Bourgogne, formant un ensemble unique au monde. Sachez enfin que Dom Goblet fut le cellérier de l'abbaye de Cîteaux jusqu'en 1791 et André Croonembourg le dernier seigneur de Vougeot ! En 1791, les commissaires de la République qui se présentèrent au Clos Vougeot pour confisquer les biens, furent reçus par Dom Goblet. On raconte qu’il fondit en larmes. Les révolutionnaires émus, lui auraient alors laissé deux plats en argent et assez de bouteilles de vin pour le restant de ses jours. Jusqu’à sa mort en 1810, Dom Goblet n’accepta jamais de se séparer d’une seule de ses bouteilles.

La Révolution et la gloire du vin de Vougeot nous lèguent une autre anecdote. Selon le souhait du colonel Bisson, les troupes passant devant le Clos Vougeot devaient le faire en ordre et présenter les armes ! En mauvais état au XIXe, le château fut sauvé par Léonce Bocquet, un négociant inhumé au Clos Vougeot qui engagea tant de travaux qu'il frôla la faillite. L'allée qui accède au monument porte aujourd'hui son nom. Aujourd'hui, le domaine résonne au rythme des chapitres de la Confrérie des Chevaliers du Tastevin. La terre variant entre le haut et le bas du clos, on distingue souvent les qualités des vins selon leur provenance précise. On dit parfois que le haut donne la cuvée du Pape, le milieu celle des évêques et le bas la cuvée des moines.

Vougeot.

Le clos accueille également le château de la Tour du XIXe. En 1820, le Clos de la Perrière, planté en pinot blanc, ne faisait qu’un hectare. Il fut agrandi en ajoutant une carrière utilisée en décharge publique, remblayée au milieu du XXe seulement. En 1962, M. Bertagna racheta le domaine et poursuivi le remblaiement. Cette carrière avait servi à édifier les châteaux du Clos de Vougeot et de Gilly-lès-Cîteaux. Lors de la construction du château de la Tour, les matériaux tirés de sa future cave ont eux aussi été utilisés comme remblais.

Le village en contrebas, abrite de vieilles maisons et de beaux domaines viticoles, une mairie XIXe dominée par son horloge et sa cloche. Ajoutons un vieux pressoir sur roues, un lavoir à atrium à cinq arcades de 1938 et d’anciens moulins à eau actionnés par la Vouge qui prend sa source à l'ouest du village puis glisse sous un pont à deux arches. Jusqu'au début du XXe, un château de style néoclassique se dressait au village. La propriété comprenait de plus un chalet planté dans le parc qui s’étendait jusqu’à la ligne de chemin de fer, une glacière et une grotte de rocaille. En 1938, à la mort de Marie-Adèle Berligam, dernière propriétaire, le château est démoli faute d’acquéreur. Une déviation de la route nationale passera sur son emplacement en 1955. Actuellement, il ne reste, à l'ouest de la route, que l’orangerie, les caves, la grotte de la source alimentée en eau par un aqueduc souterrain au XIXe. De l'autre côté, à l'est, on retrouve une partie du parc entouré de mur. Il accueille toujours une grotte de rocaille et, à l'extrémité est, un joli pavillon avec tour.

Entaillant la Côte-d'Or, la combe d'Orvaux hérisse ses roches calcaires vers le ciel dans l'attente d'un grimpeur avide de solitude et de sites sauvages. Un petit cirque rocheux entaillé par une belle alcôve clôt le vallon d’où l’on s’échappe par un long escalier. Village natal d'Henri Barabant (1874-1951) qui deviendra maire de Dijon en 1904. C'est lui qui institua à la mairie le vin blanc/cassis, connu plus tard sous le nom de son successeur, le Kir qui aurait pu s'appeler… le Barabant !

Plus d'images et d'infos sur le patrimoine de Chambolle-Musigny.
https://www.echodescommunes.fr/commune_cote-dor_chambolle-musigny_131.html

Plus d'images et d'infos sur le patrimoine de Morey-Saint-Denis.
https://www.echodescommunes.fr/commune_cote-dor_morey-st-denis_452.html
http://morey-saint-denis.fr/

Plus d'images et d'infos sur le patrimoine de Vougeot.
https://www.echodescommunes.fr/commune_cote-dor_vougeot_717.html
https://mairie-vougeot.a3w.fr/

Plus d'infos sur le pays De Gevrey-Chambertin / Nuits-St-Georges :
https://www.echodescommunes.fr/detail_communaute.php?id_communaute=722
https://www.ccgevrey-chambertin-et-nuits-saint-georges.com/decouvrir-le-territoire/

Le Clos Vougeot et les Climats :
https://www.closdevougeot.fr/fr/

 

Circuit Autour du Clos de Vougeot

Circuit de randonnée pédestre. Balisage jaune.

Distances : 8,5 km. Niveau : Moyen. Dénivelé : 223 m

 

 Circuit

Ce circuit, créé par le Comité Départemental de la Randonnée Pédestre de Côte-d’Or, est balisé par des baliseurs bénévoles FFRandonnée Côte-d’Or.

Partez à la découverte du château du Clos de Vougeot, mondialement connu, et des paysages de vignoble qui l’entourent. Une balade au cœur des climats pour découvrir autrement le vignoble de Bourgogne.

La carte IGN 3023OT - Nuits-Saint-Georges vous permettra de profiter des variantes pour découvrir les vignobles situés aux abords de l'itinéraire.

Départ : Parking de la Grande Cave. Balisage jaune.

 ❶ Du Parking de la Grande Cave, en regardant vers la route Dijon-Beaune, gagner le coin gauche du parking. Passer le portillon et longer le mur en passant derrière l'abribus. Tout droit, passer à gauche de l'ancien lavoir. Emprunter à gauche la rue du Moulin. Traverser la D122 et s’engager tout droit rue de Vergy. Poursuivre la route en direction du château du Clos de Vougeot.

❷ Au niveau de l'entrée du Clos de Vougeot continuer à droite puis à nouveau à droite à 100 m. Après 650 m, déboucher sur la D122. Tourner à gauche en restant sur le bord gauche de la route. Bifurquer rapidement à gauche sur le chemin empierré. Le suivre jusqu’à Chambolle-Musigny.

❸ Arriver à l’église. Tourner à droite puis tout de suite à gauche. Descendre la rue Ste Barbe. Prendre à droite la rue Caroline Aigle. Après 250 m s’engager à gauche rue de Morey. A la dernière maison, s’orienter à droite sur le chemin qui part dans les vignes. Traverser une petite route et poursuivre tout droit en direction du village. Suivre à gauche la rue Saint Roch.

❹ Dans le village de Morey-Saint-Denis, déboucher sur la Grande Rue. S’y engager à gauche. Après l'église, continuer à droite sur la D122. Après 100 m, monter à gauche le premier chemin en direction des vignes. L'itinéraire est ensuite commun avec le GR de Pays des Grands Crus balisé en jaune / rouge.

❺ Après une montée assez raide, en haut des vignes, suivre à gauche le chemin en lisière puis qui pénètre dans le bois. A l’intersection, descendre en direction des vignes et du village. Dans Chambolle-Musigny, continuer tout droit le Chemin du pied du four puis la rue de Vergy. Sortir du village et poursuivre dans les vignes.

❻ Après un grand virage sur la gauche, à l’intersection, s’orienter sur le chemin de gauche. À l’intersection, laisser les marques jaune / rouge sur la gauche et continuer tout droit. Descendre en direction du Clos de Vougeot. À la route, tourner à gauche. Prendre la première route à droite. Passer devant l’entrée du Clos de Vougeot. Poursuivre tout droit jusqu'au parking.

 

Retrouvez ce circuit dans le topo-guide La Bourgogne… à Pied en vente à la FFRandonnée Côte-d’Or - 9 rue Jean Renoir - 21000 DIJON au prix de 15 € 40.

Fiche randonnée de ce parcours :
http://www.cotedor-randonnee.com/sentiers/autour-du-clos-vougeot

Découvrez d'autres balades en Côte-d'Or avec le comité départemental de la randonnée :
http://www.cotedor-randonnee.com/randonnees-journee-cote-d-or

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Recommandations COVID 19 randonnée
https://www.ffrandonnee.fr/actualites/19093/les-conditions-de-la-pratique-s-assouplissent-.aspx