Balade à Auxonne

Balade à Auxonne

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CDRP 21

La Côte-d'Or c'est près de 3 000 km d'itinéraires de randonnée balisés : à la découverte du patrimoine urbain Dijonnais, des plaines de Vingeanne et du val de Saône, des paysages viticoles des côtes et hautes côtes, des vallées de l’Ouche ou du Suzon, des paysages agricoles de l’Auxois ou des forêts du Morvan et du Châtillonnais, il y en a pour tous les goûts.

Vous ne voulez pas y aller seul ? Rejoignez l’un de nos 57 clubs de randonnée : c’est la garantie de marcher toute l’année dans une ambiance conviviale et en toute sécurité grâce aux animateurs bénévoles.

Alors n’hésitez plus, enfilez vos chaussures de randonnée et partez parcourir les sentiers.

Comité départemental de randonnée pédestre de Côte-d'Or
CDRP 21 - 9 rue Jean Renoir 21000 Dijon
Tél. 03 80 41 48 62
www.cotedor-randonnee.com
cote-dor@ffrandonnee.fr

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Texte et photos ©André Beuchot

e nouveau topoguide : La Bourgogne à Pied®.  FFRandonnée Côte-d’Or

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Patrimoine bâti, faune et flore se côtoient tout au long de ce parcours. Du château Louis XI à l'écluse, vous suivrez le fil de l'eau pour rejoindre ensuite les terres agricoles et maraîchères, héritage emblématique du Val de Saône. Vous découvrirez le célèbre barrage à aiguilles d'Auxonne et son canal de contournement qui forma une ile, petit havre de paix. Mais il faut aussi en profiter pour visiter Auxonne, ville riche en curiosités

SENTIER DU CANAL

Distance : 9,6 km. Niveau : facile. Dénivelé : 33 m. Durée : 2 h 30.

Vérifier les possibilités en période de chasse.

Balisage jaune 

 

 

À DÉCOUVRIR EN CHEMIN ET AUTOUR DU CHEMIN

 

AUXONNE.

Orthographiée autrefois Aussonne, ce qui rappelle la bonne prononciation, cette ancienne ville fortifiée mérite le déplacement. Il est possible de faire le tour de ses remparts, par l'extérieur et même parfois par des galeries internes. Ils étaient protégés côté Saône, par des douves en eau où l'on remarque encore un ancien petit lavoir. Dès le XIIIe siècle, la ville, qui battait sa monnaie, fut fortifiée. Tout d'abord par des remparts en terre surmontés de palissades, et une ceinture de fossés et marécages. Puis des fortifications en pierre furent levées par Louis XI et François Ier.

Le château proprement dit, bâti au XVe siècle par Louis XI, comptait cinq tours d'angle reliées par des courtines côté Saône. La tour Notre-Dame, la plus imposante, s'élève sur trois niveaux voûtés. À leurs bases, les murs peuvent atteindre six mètres d'épaisseur. Enjambant les fossés alimentés par la Saône, deux portes à pont-levis s'ouvraient sur l'extérieur, mais seule la porte nord a perduré. De son côté, le logis du Gouverneur abrite une magnifique cheminée arborant l'écu de France et la salamandre couronnée de François Ier.

 

Le comte d'Aspremont et Vauban vont édifier à la fin du XVIIe siècle, une série de bastions, un magasin à poudre, une caserne et un arsenal protégé par de hautes toitures abritant une fabrique d'affûts de canons. Le bâtiment en L accueillait d'une part les ouvriers du bois, d'autre part les forges dotées de huit feux. On y accède par trois entrées surmontées de frontons ornés de trophées d'armes. Il sera plus tard converti en halles pour abriter les marchés.

Les fortifications seront complétées aux XVI et XVIIe siècles. Ainsi, dès le début du XVIe siècle, la Porte de Comté, qui garde les rainures de son pont-levis et des décors sculptés, notamment côté parc, se dressent à l'est, la Tour de Belvoir, vestige de l'enceinte du XIVe siècle, remaniée et rehaussée en briques rouges, au nord-est. La Tour du Signe, renforcée au XVIIe siècle, porte elle aussi une salamandre, emblème de François Ier. La Porte Royale arrive plus tard, aux XVII-XVIIIe siècles et garde la ville côté nord. Au XIXe siècle enfin, on renforça encore les défenses de la cité avec de nouveaux parements en pierre comme au bastion du Béchaux (ou Bescheaux) ou une courtine casematée au sud.

 

La belle église Notre-Dame du XIIIe siècle (transept XIIIe), en partie transformée au XVIe siècle, s'ouvre par un magnifique porche du XVIe siècle orné de sculptures. Son clocher  en ardoise légèrement vrillé, entouré de multiples statues, est un des rares clochers tors de Côte-d'Or. Tout autour de l'édifice aux nombreuses chapelles latérales, on admire les baies trilobées aux beaux vitraux et les gargouilles menaçantes. L'orgue avec son superbe buffet en chêne, remonte au XVIIe siècle, mais fut partiellement démantelé en 1925, avant d'être restauré. Les visiteurs pourront encore admirer les boiseries et stalles, le lutrin du XVIe siècle décoré d'un aigle, une Vierge au Raisin du XVe siècle attribuée à Claus Werve et une Vierge à l'Enfant du XVe siècle.

 

Sur l'arrière, l'hôtel de ville en briques rouges, ancien Logis des Ducs de Bourgogne érigé au XVe siècle, fut restauré au XIXe siècle et arbore une magnifique façade néo-gothique. Sur l'arrière, s'élève une tourelle d'escaliers hexagonale en brique. Sur le côté droit, une maison gardée par deux petits canons fondus à Auxonne décorés de l'aigle impérial, présente une étonnante série d'escaliers et galeries en bois. Sur le côté gauche, on repère un cadran solaire et l'ancien bureau central d'octroi. On  retrouve des bureaux d'octrois de part et d'autre de la porte de Condé et à l'entrée de la ville à côté du pont.

 

Un premier hôpital fut édifié à Auxonne en 1374. Détruit par un incendie en 1418, il fut reconstruit en 1435 dans l'actuelle rue du Bourg. En 1595, la peste ravagea la ville. Plus tard, l'hôpital fut transféré au couvent des Ursulines en 1631. Enfin en 1874, il devient un hôpital civil et militaire avec apothicairerie constituée au XIXe siècle, tout en conservant une belle chapelle du XVIIe siècle. Pavillons latéraux en pierres de taille, statues, clocheton dominée par une Vierge, grilles en fer forgé…, la façade mérite le détour.

 

On découvre en flânant le long des rues d'Auxonne, des maisons à pans de bois, de vieilles demeures Renaissance, l'une portant une Piéta, sans oublier de pittoresques boutiques anciennes, l'une des plus intéressantes se trouvant face au tribunal de commerce. On remarque dans la rue principale la façade ouvragée de la bibliothèque, ancien passage Xavier Girault du XIXe siècle. Plusieurs cadrans solaires seront aussi repérés. Outre la statue de Napoléon due au sculpteur Jouffroy, on s'attardera devant l'ensemble de Jean-Louis Vautrin, près de la porte de la Comté, représentant des lavandières au travail. Derrière cette porte, un détour dans le quartier est de la ville permettra de découvrir plusieurs jolies demeures Belle Époque, harmonie de pierres et de briques, toits couverts d'ardoises aux charpentes débordantes ornementées, tourelles… À deux pas du château, une modeste construction portant une tête de vache, signale l'ancien abattoir construit au XIXe siècle.

Auxonne fut la ville natale en 1806 d'Antoine Masson qui étudia les phénomènes d'électromagnétisme, inventeur en 1838 avec Bréguet, du téléphone électrique, et de Claude-Antoine Prieur-Duvernois en 1763, dit Prieur de la Côte-d'Or, qui fit adopter l'unification des poids et mesures. Sa maison natale, rue Vauban, se distingue par une curieuse porte cochère à bossages.

 

Une incroyable affaire de sorcellerie

Au bord de la rue des Remparts des Ursulines, se trouvait le couvent éponyme, siège d'une étrange affaire de sorcellerie au XVIIe siècle, l'affaire Barbe Buvée, appelée aussi : affaire des possédées d'Auxonne. La ville abritait des Ursulines depuis 1624, mais tout commence en 1656. Claude Nouvelet et Jean-Baptiste Pelletier, deux jeunes curés arrivent à Auxonne. Le premier est nommé vicaire de la paroisse Notre-Dame, le second confesseur extraordinaire. Leurs entretiens avec certaines religieuses deviennent fréquents et… suspects ! Une sœur, Marie Bothon, dit avoir quelques agitations jugées comme possession. L'enquête ordonnée reste sans suite. En 1658, Marie Bothon est néanmoins exorcisée. En 1660, une seconde religieuse entre en transe et blasphème. La supérieure fait appel à des exorcistes qui affirment que dans le couvent, se trouve un grand nombre de sorciers(ères) et de sortilèges. En fait, selon certaines vieilles Ursulines délaissées, il se manifeste surtout en présence des jeunes prêtres qui réconfortent des religieuses plus jeunes, alors qu'elles sont dans leurs lits. Malgré cela, les exorcistes prennent cette affaire sérieusement et à force de chercher sorcières et sabbat, ils accroissent la peur du Malin. Des Ursulines accusent des habitants d'Auxonne. Le parlement de Dijon condamne quatre veuves et un charpentier dont le père serait sorcier. Deux des femmes relaxées sont accusées par un nouvel exorciste et brûlées par le peuple en colère. Le phénomène de possession se répand et on dénombre quinze sœurs contant leurs soucis en détails. Barbe Buvée, qui a de nombreux différends avec le supérieur et la supérieure d'Auxonne, critique les exorcistes et la conduite des prêtres. Le 28 octobre 1660, lors d'une procession expiatoire, elle est accusée d'être à l'origine de tous les méfaits du Diable, d'avoir eu un enfant au sein du couvent, de l'avoir fait mourir et d'avoir pactisé avec le Diable. Cependant, le parlement de Dijon rejette ces accusations et rend à Barbe Buvée sa liberté et ses biens. La mort d'une jeune religieuse de 22 ans dénommée Moroge, relance les polémiques. Les autopsies réalisées se révèlent contradictoires. L'une laisse supposer que la religieuse a accouché il y a quelques mois. L'autre affirme qu'elle est morte d'un abcès. Enfin, l'un des curés certifie qu'elle n'est pas morte, mais seulement assoupie par le Diable !

 

Auxonne, ville de garnison et kiosque à musique.

Auxonne reste une importante ville de garnison et accueille toujours le 511e régiment du train. L'implantation des casernes a entrainé la construction de bâtiments caractéristiques du XVIII-XIXe siècle. On y remarque un cadran solaire et un cadran lunaire du régiment de Grenoble. En fait, deux sites voisins cohabitent au nord de la ville, Marey-Monge et Bonaparte construit en pierres roses de Moissey.

Les orchestres des régiments accompagnaient la vie des militaires et en 1876, une estrade à musique octogonale vit le jour, tandis que des becs de gaz apportèrent l’éclairage la nuit venue. Le 14 juillet 1892, il pleuvait tellement que les musiciens se replièrent au théâtre. Hélas, le plancher s’effondra sous leur poids. Le temps s’améliorant, on retourna sur l’estrade. Mais la pluie revint…

En 1901, l’estrade étant très dégradée, on décida de construire un kiosque à musique couvert. La maison Blairon de Charleville qui reçut une médaille d’argent à l’exposition universelle de 1900, fut retenue. Huit colonnes en fonte, creuses, cannelées, supportent la couverture de la construction octogonale. Des poinçons et des rosaces en fonte, des arcades et consoles en fer forgé décorent l’ensemble. Un lustre central, huit petits lustres entre les colonnes et huit appliques apportaient la lumière grâce à 37 becs de gaz. Le kiosque terminé le 10 aout 1901, sera restauré en 1981 et en 2011.

 

Le barrage

À Auxonne, la Saône est barrée par un des derniers barrages à aiguilles en bois de 220 m, classé monument historique, un des plus longs conservé en France. Ce procédé mis au point par l'ingénieur Poirée a remplacé en 1894, un barrage fixe datant de 1840. En période de crues, les 1 040 aiguilles sont retirées manuellement et le fleuve coule librement. Opération évidemment plutôt périlleuse. Dans les années 1950 une microcentrale hydroélectrique y fut accolée. En 2011, la rénovation du site voit le barrage doublé par un mécanisme à cousins gonflants automatisé dit système Obermeyer.

Le grand pont voisin fut un point stratégique lors de la dernière guerre. Il reliait la zone occupée à la zone libre.

 

Napoléon Bonaparte

Napoléon Bonaparte séjourna à Auxonne avec son frère Louis de 1788 à 1791. Jeune lieutenant en Second du Régiment de la FERE, il apprit ici le métier d'artilleur (Voir aussi Tillenay). Une des deux chambres qu'il occupa a été remise en état en 1976, avec des copies du mobilier original préservé au musée de l'Armée. Côté anecdote, on raconte qu'un scieur de bois refusa la main de sa fille à un certain petit lieutenant sans envergure, en l'occurrence Bonaparte !

Le jeune lieutenant Bonaparte apprit son métier d'artilleur entre 1788 et 1791 à l'École Royale d'Artillerie d'Auxonne et effectuait des tirs de batterie de campagne et de siège à Tillenay. Depuis les modestes hauteurs du village, il surveillait le mouvement des troupes qu'il faisait manœuvrer au lieu-dit le Polygone. On ne peut pas évoquer cet endroit sans parler du savant, professeur de mathématiques et écrivain militaire, Jean-Louis Lombard (1723-1794). En 1759, lors de la création de l’École Royale d’Artillerie d’Auxonne, il fut sollicité pour y enseigner les mathématiques et l’art de l’artillerie. Passionné par la balistique il mena une série d'expérimentations au polygone de Tillenay. Napoléon Bonaparte, alors lieutenant au régiment de la Fère, devient son élève en 1788. Lombard raconte : « Ce jeune homme, ira très loin ». Pour sa part, Bonaparte reconnaissait l’école comme la seule où les officiers fussent à même de s’instruire. Outre des traductions d'œuvres étrangères, Jean-Louis Lombard réalisa plusieurs ouvrages sur l'utilisation du tir du canon de bataille, le Mouvement des Projectiles…etc. Aujourd'hui, vous apercevrez au Polygone deux maisons de maîtres cachées dans un bosquet. De temps à autre, de vieux boulets, témoins des exercices d'autrefois, sont encore retrouvés au lieu-dit, Les Bombes.

À la limite de commune avec Villers-les-Pots, la chapelle XIIIe de La Levée fut surnommée chapelle Napoléon au XIXe alors que le jeune Bonaparte s'y rendait souvent en promenade. Elle fut complétée d'un chœur voûté d'ogives au XVIe. Elle fut un lieu de pèlerinage fréquenté jusqu'à la Révolution. On y remarque un bas-relief de Bonaparte studieux.

Fils d’un perruquier, grand admirateur de Napoléon, Claude Noisot, né le 5 septembre 1787 à Auxonne près de l'église (sa maison se situait à l'emplacement de la pharmacie), édifia le parc Noisot à Fixin.

Le musée Bonaparte actuellement fermé devrait être réouvert au public d'ici 2024 ou 2025.

 

Une belle gare

Ne quittons pas la cité sans mentionner son élégante gare de chemin de fer du XIXe siècle classée à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (en réalité, sur le territoire de Tillenay). De style néo-gothique, amplement décorée de détails d'architecture typiques de son époque, elle a hélas aujourd’hui perdu sa marquise, si caractéristique du XIXe siècle.

 

 

Plus d'infos sur Auxonne

https://www.echodescommunes.fr/commune_cote-dor_auxonne_37.html

https://www.echodescommunes.fr/coeur_73_cap-val-de-saane-le-territoire-au-fil-de-l-eau.html

https://www.echodescommunes.fr/coeur_43_si-nous-commenaons-a-parler-d-auxonne-nous-n-avons-pas-fini-s-esclaffe-monsieur-le-maire-raoul-langlois.html

 https://www.auxonne.fr/

 

OT Auxonne

https://www.capvaldesaone-tourisme.fr/fr/

 

 

Balade à Auxonne

SENTIER DU CANAL

Distance : 9,6 km. Niveau : facile. Dénivelé : 33 m. Durée : 2 h 30.

Vérifier les possibilités en période de chasse.

Balisage jaune.

 

PARKING : En bord de Saône, près du Port Royal d'Auxonne.

La carte IGN 3123SB - DIJON,vous permettra de profiter des variantes pour découvrir les abords de l'itinéraire.

1 - En face du panneau de départ, prendre à droite et longer les quais de Saône. Passer successivement sous le pont de France, (Observez à gauche, les fortifications construites par le comte d'Aspremont, puis par Vauban qui lui succédera à la direction des travaux à sa mort) puis sous la voie de chemin de fer, poursuivre tout droit.

Se dresse à gauche, le château Louis XI, ancien château fort du XVe siècle, l'un des trois construits sous Louis XI au moment de la conquête de la Bourgogne par la France.

2 - À l'intersection, bifurquer à droite et franchir le pont de l'écluse (porte de garde qui, lorsqu'il fallait réguler les crues de la Saône, était fermée à l'entrée du canal), puis tourner immédiatement à gauche.
Poursuivre tout droit sur le chemin en terre qui longe le canal.

3 - Franchir le pont de l'écluse (vue sur le canal) puis tourner immédiatement à droite. Poursuivre tout droit et franchir la passerelle.
Écluse avec la maison éclusière. Petit bâtiment construit au bord de l'écluse, utilisé auparavant par les éclusiers.

4 - Au croisement, continuer à gauche sur la route goudronnée.

5 - Emprunter le chemin à droite et poursuivre tout droit. Le chemin passe à travers les terres agricoles et maraîchères, héritage emblématique du Val de Saône.

6 - Poursuivre tout droit.

7 - A l'intersection, se diriger vers la gauche. Le chemin longe la forêt sur 550 m avant d'y pénétrer.

8 - A l'intersection, poursuivre le sentier tout droit sur 250 m environ.

9 - Tourner à gauche sur le chemin empierré.

10 - Au carrefour, négliger le chemin en terre qui part à gauche et poursuivre tout droit sur la route goudronnée pour rejoindre le canal. Franchir la passerelle et longer les quais pour rejoindre le point de départ.